Daniel Cohn-Bendit
La compétition s’enlise dans les marécages de la bien-pensance.
Maintenant, imaginons qu’un Gilbert Collard ait envoyé Mme Moncond’huy se « faire foutre ». Imaginons, juste un instant…
J’éprouve une forme de nausée face à certains propos de Daniel Cohn-Bendit en 1975 et le 23 avril 1982 lors de l’émission « Apostrophes »…
Plus tard, tu n’as pas craint non plus de cautionner le hold-up présidentiel de Macron dont tu t’étais fait le très zélé agent électoral.
Comme un coucou régulier, Daniel Cohn-Bendit surgit de temps à autre de la pendule dans laquelle il s’est confiné à double tour.
La parole est d’argent, le silence est d’or, enseigne un bon vieil adage populaire. Chez certains verbigérateurs impénitents, elle est même de bronze, voire de
On ne peut plus confiner tranquille, sans être dérangé par une polémique…
Le double langage et la double vie font partie, au contraire, de l’entre-soi de la caste au pouvoir et de son mépris pour le peuple.
Il faut lire les errances de notre révolutionnaire embourgeoisé…
Il ne suffit pas d’avoir cessé d’être aveugle, encore faut-il ne pas rester borgne…
En pleine polémique autour du passé de l’écrivain Gabriel Matzneff, Boulevard Voltaire a recueilli la réaction de l’ancien conseiller d’État valaisan (Suisse), Oskar Freysinger, qui
La « grande surprise », inséparable d’une élection, serait le vote écolo. Vraiment ?
Le 14 mai dernier, sur LCI, un débat opposait Éric Zemmour à Daniel Cohn-Bendit. À leurs côtés, des invités ont pu témoigner de leur quotidien.
J’ai vu un idéaliste éthéré, perdu, inconséquent face aux flux migratoires et à l’islamisation des sociétés occidentales.
Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…
Daniel Cohn-Bendit, le fer de lance de la contestation étudiante de Mai 68, exprime partout sa désolation…
On en conclura donc qu’il existe de « bonnes » et de « mauvaises » insurrections…
Aujourd’hui, les Français vivent dans une société déconstruite. Ils sont devenus des déracinés, des déshérités et des désespérés.
Ce mardi dernier, Daniel Cohn-Bendit venait au secours du gouvernement…
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…
Le sacrifice, c’est beau.
Pourquoi pas Bardot, qui sonne comme Hulot, et n’aime rien tant que les animaux…
T’es pas un peu fou, Manu, moi, c’est « jouir sans entraves ! »
Il n’est plus tout jeune, mais c’est une figure historique de l’écologie…
Il a clairement condamné le mot d’ordre du CRIF appelant à exclure Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon de la marche blanche pour Mireille Knoll.
Les deux hommes arrivent au crépuscule de leur carrière. Ils n’ont plus rien à prouver et peuvent parler franchement.
La compétition s’enlise dans les marécages de la bien-pensance.
Maintenant, imaginons qu’un Gilbert Collard ait envoyé Mme Moncond’huy se « faire foutre ». Imaginons, juste un instant…
J’éprouve une forme de nausée face à certains propos de Daniel Cohn-Bendit en 1975 et le 23 avril 1982 lors de l’émission « Apostrophes »…
Plus tard, tu n’as pas craint non plus de cautionner le hold-up présidentiel de Macron dont tu t’étais fait le très zélé agent électoral.
Comme un coucou régulier, Daniel Cohn-Bendit surgit de temps à autre de la pendule dans laquelle il s’est confiné à double tour.
La parole est d’argent, le silence est d’or, enseigne un bon vieil adage populaire. Chez certains verbigérateurs impénitents, elle est même de bronze, voire de
On ne peut plus confiner tranquille, sans être dérangé par une polémique…
Le double langage et la double vie font partie, au contraire, de l’entre-soi de la caste au pouvoir et de son mépris pour le peuple.
Il faut lire les errances de notre révolutionnaire embourgeoisé…
Il ne suffit pas d’avoir cessé d’être aveugle, encore faut-il ne pas rester borgne…
En pleine polémique autour du passé de l’écrivain Gabriel Matzneff, Boulevard Voltaire a recueilli la réaction de l’ancien conseiller d’État valaisan (Suisse), Oskar Freysinger, qui
La « grande surprise », inséparable d’une élection, serait le vote écolo. Vraiment ?
Le 14 mai dernier, sur LCI, un débat opposait Éric Zemmour à Daniel Cohn-Bendit. À leurs côtés, des invités ont pu témoigner de leur quotidien.
J’ai vu un idéaliste éthéré, perdu, inconséquent face aux flux migratoires et à l’islamisation des sociétés occidentales.
Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…
Daniel Cohn-Bendit, le fer de lance de la contestation étudiante de Mai 68, exprime partout sa désolation…
On en conclura donc qu’il existe de « bonnes » et de « mauvaises » insurrections…
Aujourd’hui, les Français vivent dans une société déconstruite. Ils sont devenus des déracinés, des déshérités et des désespérés.
Ce mardi dernier, Daniel Cohn-Bendit venait au secours du gouvernement…
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…
Le sacrifice, c’est beau.
Pourquoi pas Bardot, qui sonne comme Hulot, et n’aime rien tant que les animaux…
T’es pas un peu fou, Manu, moi, c’est « jouir sans entraves ! »
Il n’est plus tout jeune, mais c’est une figure historique de l’écologie…
Il a clairement condamné le mot d’ordre du CRIF appelant à exclure Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon de la marche blanche pour Mireille Knoll.
Les deux hommes arrivent au crépuscule de leur carrière. Ils n’ont plus rien à prouver et peuvent parler franchement.
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