Davos

La France devra défendre ses intérêts dans l’agroalimentaire et le luxe, notamment, où elle a beaucoup à perdre.

Si l’on résume, il y aurait donc du mou dans la corde à nœuds de cette même mondialisation, dont nos gouvernements déplorent les effets tout en en chérissant les causes.

Le fondateur de Davos Klaus Schwab y va cette année comme d’habitude de son petit sermon.

Que veut cet homme qui parle d’égal à égal aux chefs d’État des pays les plus puissants du monde ?

La France devra défendre ses intérêts dans l’agroalimentaire et le luxe, notamment, où elle a beaucoup à perdre.

Si l’on résume, il y aurait donc du mou dans la corde à nœuds de cette même mondialisation, dont nos gouvernements déplorent les effets tout en en chérissant les causes.

Le fondateur de Davos Klaus Schwab y va cette année comme d’habitude de son petit sermon.

Que veut cet homme qui parle d’égal à égal aux chefs d’État des pays les plus puissants du monde ?
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