Décès
La belle langue française de l’académicien sera sans doute lue par nos descendants comme le témoin éloquent d’une France disparue.
Qu’on le veuille ou pas, ce sont deux figures emblématiques de la France qui viennent, à quelques heures d’intervalle, de nous quitter.
Sur Johnny dont les rythmes et les chansons ont ému plusieurs générations, tout a été dit.
C’était un grand chanteur qui restera dans les mémoires et qu’on entendra longtemps, longtemps après qu’il a disparu.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
Cet homme, qui venait du bas, n’a jamais oublié, arrivé en haut, que ceux d’en bas existaient toujours et méritaient le respect.
Encore un extrait de l’album Gang de 1986, Je Te Promets est sorti en single en 1987
Avec la voix de Nathalie Baye sur l’intro…
Hommage à Edith
Écrite et composée par Jean-Jacques Goldman. Elle figure sur l’album Gang, sorti en 1986.
Le texte évoque Laura Smet, la fille de Johnny, alors âgée de 3 ans.
Johnny Hallyday était un monument national, qu’on ait acheté ses disques ou non.
Il s’était introduit dans notre cercle de famille, dans notre univers amical.
Monsieur d’Ormesson, vous allez manquer à notre France, à son Académie, à sa langue, à son art, comme à nous.
Ainsi Jean d’Ormesson n’était pas immortel…
Il s’en est allé avec une exquise discrétion, refermant ainsi les portes d’une non moins suprême élégance française.
Une histoire américaine.
Jacques Sauvageot, bien qu’il fût vice-président de l’UNEF durant les événements de mai 68, n’a pas profité, comme d’autres, de cette rampe de lancement.
Dans la culture créole, la famille est sacrée.
En exclusivité pour Boulevard Voltaire, Philippe de Villiers évoque son amitié pour Jean Rochefort et les souvenirs partagés au Puy du Fou.
Son souvenir ne peut se distinguer de ses films ni de ses confidences.
Jean Rochefort est mort aujourd’hui, rejoignant son ami Noiret dans un paradis que l’on imagine pour la circonstance plein d’une élégance légère et surannée.
La dimension féministe de Hugh Hefner ne saute pas exactement aux yeux.
Sa carrière d’actrice a de quoi donner le tournis.
Tout juste disparu des suites d’une longue maladie, Paul Wermus nous manque déjà.
Sur Boulevard Voltaire, nous ne tirons pas sur les ambulances, encore moins sur les corbillards.
Elle tourne légèrement la tête et sourit. « À tout de suite ! »
Continue de bien tenir la rampe, Jerry !
C’était un aristocrate selon mon goût, c’est-à-dire passablement fêlé de la théière, accroché au château de ses ancêtres comme une bernique à son rocher.
La belle langue française de l’académicien sera sans doute lue par nos descendants comme le témoin éloquent d’une France disparue.
Qu’on le veuille ou pas, ce sont deux figures emblématiques de la France qui viennent, à quelques heures d’intervalle, de nous quitter.
Sur Johnny dont les rythmes et les chansons ont ému plusieurs générations, tout a été dit.
C’était un grand chanteur qui restera dans les mémoires et qu’on entendra longtemps, longtemps après qu’il a disparu.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
Cet homme, qui venait du bas, n’a jamais oublié, arrivé en haut, que ceux d’en bas existaient toujours et méritaient le respect.
Encore un extrait de l’album Gang de 1986, Je Te Promets est sorti en single en 1987
Avec la voix de Nathalie Baye sur l’intro…
Hommage à Edith
Écrite et composée par Jean-Jacques Goldman. Elle figure sur l’album Gang, sorti en 1986.
Le texte évoque Laura Smet, la fille de Johnny, alors âgée de 3 ans.
Johnny Hallyday était un monument national, qu’on ait acheté ses disques ou non.
Il s’était introduit dans notre cercle de famille, dans notre univers amical.
Monsieur d’Ormesson, vous allez manquer à notre France, à son Académie, à sa langue, à son art, comme à nous.
Ainsi Jean d’Ormesson n’était pas immortel…
Il s’en est allé avec une exquise discrétion, refermant ainsi les portes d’une non moins suprême élégance française.
Une histoire américaine.
Jacques Sauvageot, bien qu’il fût vice-président de l’UNEF durant les événements de mai 68, n’a pas profité, comme d’autres, de cette rampe de lancement.
Dans la culture créole, la famille est sacrée.
En exclusivité pour Boulevard Voltaire, Philippe de Villiers évoque son amitié pour Jean Rochefort et les souvenirs partagés au Puy du Fou.
Son souvenir ne peut se distinguer de ses films ni de ses confidences.
Jean Rochefort est mort aujourd’hui, rejoignant son ami Noiret dans un paradis que l’on imagine pour la circonstance plein d’une élégance légère et surannée.
La dimension féministe de Hugh Hefner ne saute pas exactement aux yeux.
Sa carrière d’actrice a de quoi donner le tournis.
Tout juste disparu des suites d’une longue maladie, Paul Wermus nous manque déjà.
Sur Boulevard Voltaire, nous ne tirons pas sur les ambulances, encore moins sur les corbillards.
Elle tourne légèrement la tête et sourit. « À tout de suite ! »
Continue de bien tenir la rampe, Jerry !
C’était un aristocrate selon mon goût, c’est-à-dire passablement fêlé de la théière, accroché au château de ses ancêtres comme une bernique à son rocher.
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