Déchristianisation
Cela fait des années que le sort de cette église est incertain ; à croire que le lieu porterait bien son nom
La Conférence des évêques de France détecte « un frémissement »…
Il serait donc peut-être temps que les clercs, plutôt que de s’égarer en politique, se concentrent à nouveau sur leur cœur de métier, lequel consiste avant tout à sauver les âmes de leurs ouailles respectives.
Nos églises ne sont pas vides, mais pleines du passé, de la foi et de la sueur de ceux qui les ont bâties…
À Saumur (Maine-et-Loire), une ancienne chapelle, classée monument historique, sera transformée prochainement en bar à bière qui devrait s’appeler le Levrette Café. Réaction du conseiller
Avant de hululer aux youyous de victoire, aux hourras contre les houria et tirer des conclusions hâtives à faire pâlir de jalousie Urbain II, un peu de sémiologie semble opportune.
Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.
Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.
Il est temps de relire Bradbury et son Fahrenheit 451.
Cela fait des années que le sort de cette église est incertain ; à croire que le lieu porterait bien son nom
La Conférence des évêques de France détecte « un frémissement »…
Il serait donc peut-être temps que les clercs, plutôt que de s’égarer en politique, se concentrent à nouveau sur leur cœur de métier, lequel consiste avant tout à sauver les âmes de leurs ouailles respectives.
Nos églises ne sont pas vides, mais pleines du passé, de la foi et de la sueur de ceux qui les ont bâties…
À Saumur (Maine-et-Loire), une ancienne chapelle, classée monument historique, sera transformée prochainement en bar à bière qui devrait s’appeler le Levrette Café. Réaction du conseiller
Avant de hululer aux youyous de victoire, aux hourras contre les houria et tirer des conclusions hâtives à faire pâlir de jalousie Urbain II, un peu de sémiologie semble opportune.
Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.
Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.
Il est temps de relire Bradbury et son Fahrenheit 451.
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