déconfinement
Pourtant, « on ne subit pas l’avenir, on le fait » écrit Bernanos.
On attend fébrilement la bonne parole venue d’en haut, sachant pertinemment que de la part d’un gouvernement qui ouvre les stations de ski sans les remontées mécaniques, ou qui permet l’installation de grandes roues sans ouverture au public, l’on peut s’attendre à tout.
Si la situation n’était pas si grave, ce serait presque drôle de l’entendre ajouter : « Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller. »
Reste à savoir si les innombrables dévotions populations ancestrales qui émaillent d’ordinaire l’été vont faire l’objet des mêmes iniques brimades. Et si nous allons le supporter.
Comme pour toutes les autres crises dont la société française est rongée, l’appel martial à la mobilisation civique a cédé la place à une démobilisation morale généralisée, puis à une contestation sociale communautarisée.
Qu’est-ce que la loi Avia ? Un bâillon, une muselière à la presse, une entrave à la libre expression.
Retour en images sur cette actualité sacrifiée…
Heureux, les Français ! Peu importe que leurs enfants n’aillent pas à l’école, c’est jouir dans la sécurité qui importe.
Donc, les restaurants vont rouvrir, avec la phase 2 du déconfinement. Une table sur deux ou trois, le masque pour circuler, les serveurs encagoulés, les mains gantées et le gel en tartine. Miam !
Quand cette vie ne sera plus une vie, pensez bien à passer votre corde au gel hydroalcoolique. Il serait malheureux qu’un quidam se contamine en vous enterrant.
Pourquoi continuer d’abusivement asphyxier certains domaines d’activité et d’imposer à la population des contraintes rocambolesques ?
Ce plastique honni jusqu’à l’apparition d’un méchant virus qui renvoie la pollution aux oubliettes de l’Histoire.
Nous sommes entrés dans la deuxième semaine du déconfinement. Alexis Poulin analyse pour Boulevard Voltaire les différentes mesures prises par le gouvernement concernant cette nouvelle
École, commerce, la marelle idiote du déconfinement balisé a de quoi décourager d’apprendre et d’acheter…
En quelques heures, le hashtag #PuyDuFou est monté sur les réseaux sociaux, offrant en creux une publicité gratuite on ne peut plus séduisante.
L’Histoire retiendra que cette décision de justice fut prise suite à la saisine d’associations de la « mouvance traditionnelle ». Des fidèles, de simples prêtres. Pas un évêque.
Réjouissons-nous : quand nous serons des robots ou des humains transgéniques, aucune bactérie ni aucun virus n’auront d’effets sur nous.
Étant médecin, spécialiste du stress et du stress post-traumatique (TSPT), j’aimerais partager pourquoi la réponse à cette question tombe sous le sens.
Xavier Raufer l’avait annoncé : le confinement aurait pour effet de baisser la criminalité de rue. Deux mois après, est-ce bien le cas, malgré les
Quelques réflexions du fond de la province au sortir du déconfinement…
Souvenons-nous des mots de Gandhi : « Un individu conscient, éveillé et debout est plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et apeurés. »
Par strict égalitarisme, des éléments clés de l’économie réelle ont été sacrifiés.
Interdiction est faite aux bouseux du Cantal de se mélanger aux ploucs du Berry. Chacun chez soi et les vaches – c’est-à-dire nous – seront bien gardées.
Et puis, elle a la science pour elle, Anne Hidalgo. Autre chose que le café du commerce, fermé jusqu’à nouvel ordre.
Le retour au réel n’est pas pour demain. Et pour les directeurs, le casse-tête imposé mérite un grand coup de chapeau !
Au micro de Boulevard Voltaire, Nicolas Dupont-Aignan réagit à l’intervention d’Édouard Philippe annonçant les modalités du plan de déconfinement, qui débutera le 11 mai prochain.
Depuis Matignon, le Premier ministre Édouard Philippe, accompagné de plusieurs ministres, a dévoilé, ce jeudi 7 mai, les modalités de la première étape du déconfinement
Au final, vous verrez, ce sera ni la faute à Rousseau ni celle à Voltaire, encore moins celle du gouvernement, s’il faut reconfiner.
Pourtant, « on ne subit pas l’avenir, on le fait » écrit Bernanos.
On attend fébrilement la bonne parole venue d’en haut, sachant pertinemment que de la part d’un gouvernement qui ouvre les stations de ski sans les remontées mécaniques, ou qui permet l’installation de grandes roues sans ouverture au public, l’on peut s’attendre à tout.
Si la situation n’était pas si grave, ce serait presque drôle de l’entendre ajouter : « Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller. »
Reste à savoir si les innombrables dévotions populations ancestrales qui émaillent d’ordinaire l’été vont faire l’objet des mêmes iniques brimades. Et si nous allons le supporter.
Comme pour toutes les autres crises dont la société française est rongée, l’appel martial à la mobilisation civique a cédé la place à une démobilisation morale généralisée, puis à une contestation sociale communautarisée.
Qu’est-ce que la loi Avia ? Un bâillon, une muselière à la presse, une entrave à la libre expression.
Retour en images sur cette actualité sacrifiée…
Heureux, les Français ! Peu importe que leurs enfants n’aillent pas à l’école, c’est jouir dans la sécurité qui importe.
Donc, les restaurants vont rouvrir, avec la phase 2 du déconfinement. Une table sur deux ou trois, le masque pour circuler, les serveurs encagoulés, les mains gantées et le gel en tartine. Miam !
Quand cette vie ne sera plus une vie, pensez bien à passer votre corde au gel hydroalcoolique. Il serait malheureux qu’un quidam se contamine en vous enterrant.
Pourquoi continuer d’abusivement asphyxier certains domaines d’activité et d’imposer à la population des contraintes rocambolesques ?
Ce plastique honni jusqu’à l’apparition d’un méchant virus qui renvoie la pollution aux oubliettes de l’Histoire.
Nous sommes entrés dans la deuxième semaine du déconfinement. Alexis Poulin analyse pour Boulevard Voltaire les différentes mesures prises par le gouvernement concernant cette nouvelle
École, commerce, la marelle idiote du déconfinement balisé a de quoi décourager d’apprendre et d’acheter…
En quelques heures, le hashtag #PuyDuFou est monté sur les réseaux sociaux, offrant en creux une publicité gratuite on ne peut plus séduisante.
L’Histoire retiendra que cette décision de justice fut prise suite à la saisine d’associations de la « mouvance traditionnelle ». Des fidèles, de simples prêtres. Pas un évêque.
Réjouissons-nous : quand nous serons des robots ou des humains transgéniques, aucune bactérie ni aucun virus n’auront d’effets sur nous.
Étant médecin, spécialiste du stress et du stress post-traumatique (TSPT), j’aimerais partager pourquoi la réponse à cette question tombe sous le sens.
Xavier Raufer l’avait annoncé : le confinement aurait pour effet de baisser la criminalité de rue. Deux mois après, est-ce bien le cas, malgré les
Quelques réflexions du fond de la province au sortir du déconfinement…
Souvenons-nous des mots de Gandhi : « Un individu conscient, éveillé et debout est plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et apeurés. »
Par strict égalitarisme, des éléments clés de l’économie réelle ont été sacrifiés.
Interdiction est faite aux bouseux du Cantal de se mélanger aux ploucs du Berry. Chacun chez soi et les vaches – c’est-à-dire nous – seront bien gardées.
Et puis, elle a la science pour elle, Anne Hidalgo. Autre chose que le café du commerce, fermé jusqu’à nouvel ordre.
Le retour au réel n’est pas pour demain. Et pour les directeurs, le casse-tête imposé mérite un grand coup de chapeau !
Au micro de Boulevard Voltaire, Nicolas Dupont-Aignan réagit à l’intervention d’Édouard Philippe annonçant les modalités du plan de déconfinement, qui débutera le 11 mai prochain.
Depuis Matignon, le Premier ministre Édouard Philippe, accompagné de plusieurs ministres, a dévoilé, ce jeudi 7 mai, les modalités de la première étape du déconfinement
Au final, vous verrez, ce sera ni la faute à Rousseau ni celle à Voltaire, encore moins celle du gouvernement, s’il faut reconfiner.