décroissance
Pour une certaine gauche, l’appauvrissement des Français semble être la meilleure nouvelle de l’année.
Dans un calcul bénéfice/risque, une question subsidiaire surgit : est-on certain que cette sobriété malheureuse ne fera pas, à terme, davantage de victimes que le réchauffement climatique ? Le débat est ouvert.
Le climato-gauchisme utilise la « crainte millénaire de la fin du monde » pour imposer aux jeunes générations la vision chimérique d’une humanité sans frontières, unie, pacifiée et solidaire dans laquelle les pauvres et les conflits auraient disparu.
Jamais, sans doute, dans l’histoire de l’humanité, des moyens aussi pharaoniques et destructeurs de richesses n’auront été consentis dans un but aussi aléatoire qu’hypothétique.
Pour une certaine gauche, l’appauvrissement des Français semble être la meilleure nouvelle de l’année.
Dans un calcul bénéfice/risque, une question subsidiaire surgit : est-on certain que cette sobriété malheureuse ne fera pas, à terme, davantage de victimes que le réchauffement climatique ? Le débat est ouvert.
Le climato-gauchisme utilise la « crainte millénaire de la fin du monde » pour imposer aux jeunes générations la vision chimérique d’une humanité sans frontières, unie, pacifiée et solidaire dans laquelle les pauvres et les conflits auraient disparu.
Jamais, sans doute, dans l’histoire de l’humanité, des moyens aussi pharaoniques et destructeurs de richesses n’auront été consentis dans un but aussi aléatoire qu’hypothétique.
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