Observatoire du délire anti-Le Pen
Interrogé sur le sujet du jour, l’élection pas impossible, à défaut d’être plausible, de Marine Le Pen aux plus hautes fonctions, c’est un déchaînement, une vague, un torrent.
A quelques jours du second tour, Guilhem Carayon explique pourquoi il ne votera pas Emmanuel Macron, précise que « bien-sûr, Marine Le Pen est républicaine » et tire le constat du premier tour : « Les idées de droite sont majoritaires dans le pays, mais dispersées ».
Soit la conservation de notre civilisation, soit la poursuite de la fuite en avant vers ce qui ressemble au néant ou au chaos.
Jupiter a profité de son meeting d’hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies.
Comment marquer au fer rouge une Marine Le Pen décidément rétive à la diabolisation, en ce début de campagne de second tour ? Le Monde explore une voie. Tout en finesse, comme d’habitude.
Ce mardi 12 mars, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’est déplacé à Montceau-les-Mines, ville de 17.000 habitants, en Saône-et-Loire, où la candidate du Rassemblement
On peine à ne pas voir, devant cette réaction épidermique médiatico-politique, une sorte de réflexe pavlovien à deux vitesses selon le média visé ou le candidat attaqué.
Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.
Pour apprendre au bon peuple à mettre un masque sur le nez, Véran ou Attal suffisaient. Pour apprendre au bon peuple à obéir aux consignes de vote, il faut du lourd. Du vieux soldat.
Marine Le Pen, donc, à l’instar de son père, a enfin mené la campagne qui était la sienne. Celle d’une femme rassurante.
Une décision, donc, qui n’apparaît pas seulement comme un vote de barrage mais également comme un choix de conviction.
Interrogé sur le sujet du jour, l’élection pas impossible, à défaut d’être plausible, de Marine Le Pen aux plus hautes fonctions, c’est un déchaînement, une vague, un torrent.
A quelques jours du second tour, Guilhem Carayon explique pourquoi il ne votera pas Emmanuel Macron, précise que « bien-sûr, Marine Le Pen est républicaine » et tire le constat du premier tour : « Les idées de droite sont majoritaires dans le pays, mais dispersées ».
Soit la conservation de notre civilisation, soit la poursuite de la fuite en avant vers ce qui ressemble au néant ou au chaos.
Jupiter a profité de son meeting d’hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies.
Comment marquer au fer rouge une Marine Le Pen décidément rétive à la diabolisation, en ce début de campagne de second tour ? Le Monde explore une voie. Tout en finesse, comme d’habitude.
Ce mardi 12 mars, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’est déplacé à Montceau-les-Mines, ville de 17.000 habitants, en Saône-et-Loire, où la candidate du Rassemblement
On peine à ne pas voir, devant cette réaction épidermique médiatico-politique, une sorte de réflexe pavlovien à deux vitesses selon le média visé ou le candidat attaqué.
Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.
Pour apprendre au bon peuple à mettre un masque sur le nez, Véran ou Attal suffisaient. Pour apprendre au bon peuple à obéir aux consignes de vote, il faut du lourd. Du vieux soldat.
Marine Le Pen, donc, à l’instar de son père, a enfin mené la campagne qui était la sienne. Celle d’une femme rassurante.
Une décision, donc, qui n’apparaît pas seulement comme un vote de barrage mais également comme un choix de conviction.
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