Démographie
« Il y a une politique qui ne pousse pas les couples à garder leurs enfants. Il y a même une pression inverse. »
Si « la démographie, c’est le destin », la France est dans le pétrin.
La chute démographique aura des conséquences plus graves que la fin de nos retraites.
L’hémorragie démographique fait de l’Italie le peuple le plus vieillissant d’Europe.
Par procuration, aujourd’hui, on peut faire plein de choses : la guerre, les sales boulots et même des enfants.
Si nous voulons arrêter le remplacement de notre peuple, il est peut-être temps d’en fabriquer un nouveau.
Voilà nos ascendants traqués sur la quantité de CO2 qu’ils produisent, comme s’il s’agissait d’une vulgaire voiture !
Sont-ils pour autant négligeables ?
Giorgia Meloni a créé un « ministère de la Famille, de la Natalité et de l’Égalité des chances ».
Peut-être serait-il temps de repenser les rabotages de la politique familiale qui ont impacté la démographie ?
Le constat est sans appel : le Japon vieillit. Quelles solutions pour contrer un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur ?
Alors que la France connaît une baisse de la natalité – moins 19.000 naissances entre 2021 et 2022 -, ce discours à mi-chemin entre le féminisme et l’écologie radicale peut inquiéter.
C’est au politique d’être à la hauteur de son rôle et de cet enjeu essentiel en répondant avec des choix forts d’incitation à la natalité afin de réunir des conditions favorables aux familles.
La guerre en Ukraine peut d’ailleurs être considérée comme l’une des premières « guerres démographiques ».
Pendant de nombreuses années, la France fit figure de modèle en Europe pour sa politique familiale…
Le solde migratoire est désormais largement supérieur au solde naturel.
Vision à la fois utopique et intéressée, qui conduit à la soumission devant les plus nombreux.
« En raison d’une très faible natalité, la Chine fait face à un vieillissement démographique rapide et à une réduction de sa population d’âge actif. À l’horizon 2050, plus d’un habitant sur trois en Chine sera âgé de soixante ans ou plus. »
À Paris, par exemple, ce pourcentage passe de 22,4 %, en 1990, à 37,4 %, en 2017.
Selon un rapport du Haut-commissariat au Plan, récemment rendu public, il manquerait entre 40 et 50.000 naissances par an pour assurer la pérennité de notre
À quoi ressemblera la France de 2050 ? À ce que nous aurons fait, collectivement, et pas seulement d’un point de vue intellectuel ou économique.
Il convient donc de mener de profondes réformes : d’abord rétablir l’ordre dans l’éducation, ensuite reconstituer le tissu industriel qui fait tant défaut à la France.
Le défi de demain n’est pas tant celui de la surpopulation que celui de la mise en œuvre de modèles sociaux respectueux de la nature profonde de l’homme…
À quoi bon vouloir limiter les émissions de gaz à effet de serre si on ne limite pas aussi la population ?
Il ne serait pas complètement inopportun de réinciter nos concitoyens à fonder une famille d’une part, et mettre des enfants au monde d’autre part. Il en va, au moins, de notre système par répartition !
Tout aura été fait pour décourager les Français à revenu moyen de faire l’enfant de plus !
En cette fin d’année, on constate que le nombre de mariages n’a jamais été aussi élevé depuis 1990.
L’entassement humain pose la question du « dépassement du seuil de tolérance »…
« Il y a une politique qui ne pousse pas les couples à garder leurs enfants. Il y a même une pression inverse. »
Si « la démographie, c’est le destin », la France est dans le pétrin.
La chute démographique aura des conséquences plus graves que la fin de nos retraites.
L’hémorragie démographique fait de l’Italie le peuple le plus vieillissant d’Europe.
Par procuration, aujourd’hui, on peut faire plein de choses : la guerre, les sales boulots et même des enfants.
Si nous voulons arrêter le remplacement de notre peuple, il est peut-être temps d’en fabriquer un nouveau.
Voilà nos ascendants traqués sur la quantité de CO2 qu’ils produisent, comme s’il s’agissait d’une vulgaire voiture !
Sont-ils pour autant négligeables ?
Giorgia Meloni a créé un « ministère de la Famille, de la Natalité et de l’Égalité des chances ».
Peut-être serait-il temps de repenser les rabotages de la politique familiale qui ont impacté la démographie ?
Le constat est sans appel : le Japon vieillit. Quelles solutions pour contrer un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur ?
Alors que la France connaît une baisse de la natalité – moins 19.000 naissances entre 2021 et 2022 -, ce discours à mi-chemin entre le féminisme et l’écologie radicale peut inquiéter.
C’est au politique d’être à la hauteur de son rôle et de cet enjeu essentiel en répondant avec des choix forts d’incitation à la natalité afin de réunir des conditions favorables aux familles.
La guerre en Ukraine peut d’ailleurs être considérée comme l’une des premières « guerres démographiques ».
Pendant de nombreuses années, la France fit figure de modèle en Europe pour sa politique familiale…
Le solde migratoire est désormais largement supérieur au solde naturel.
Vision à la fois utopique et intéressée, qui conduit à la soumission devant les plus nombreux.
« En raison d’une très faible natalité, la Chine fait face à un vieillissement démographique rapide et à une réduction de sa population d’âge actif. À l’horizon 2050, plus d’un habitant sur trois en Chine sera âgé de soixante ans ou plus. »
À Paris, par exemple, ce pourcentage passe de 22,4 %, en 1990, à 37,4 %, en 2017.
Selon un rapport du Haut-commissariat au Plan, récemment rendu public, il manquerait entre 40 et 50.000 naissances par an pour assurer la pérennité de notre
À quoi ressemblera la France de 2050 ? À ce que nous aurons fait, collectivement, et pas seulement d’un point de vue intellectuel ou économique.
Il convient donc de mener de profondes réformes : d’abord rétablir l’ordre dans l’éducation, ensuite reconstituer le tissu industriel qui fait tant défaut à la France.
Le défi de demain n’est pas tant celui de la surpopulation que celui de la mise en œuvre de modèles sociaux respectueux de la nature profonde de l’homme…
À quoi bon vouloir limiter les émissions de gaz à effet de serre si on ne limite pas aussi la population ?
Il ne serait pas complètement inopportun de réinciter nos concitoyens à fonder une famille d’une part, et mettre des enfants au monde d’autre part. Il en va, au moins, de notre système par répartition !
Tout aura été fait pour décourager les Français à revenu moyen de faire l’enfant de plus !
En cette fin d’année, on constate que le nombre de mariages n’a jamais été aussi élevé depuis 1990.
L’entassement humain pose la question du « dépassement du seuil de tolérance »…
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