Didier Lallement
Et puis Didier Lallement lâche cette phrase : « Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour. »
Il prendra ses fonctions le 3 octobre prochain à la tête de cet organisme supervisé par Matignon, dont la mission principale est de contrôler, d’évaluer et de coordonner la politique maritime du gouvernement.
Et puis est arrivé le fiasco du Stade de France, assumé totalement par le préfet qui a, une fois de plus, accepté de jouer les fusibles pour le ministre de l’Intérieur.
A-t-on entendu Darmanin dire « J’assume en totalité la responsabilité de la gestion politique de ce désastre » ?
Pour Emmanuel Macron, qui entend mener une campagne éclair, les événements qui se profilent dans les prochains jours risquent de flétrir un peu plus son image.
Il paraît que Marlène Schiappa, elle aussi, a écrit beaucoup de choses qui sont très inspirantes. Sans doute plus rigolotes que celles de Lev Davidovich Bronstein dit Trotski.
Et l’impavide serviteur de l’ordre vient désormais d’ajouter une autre corde à son arc : celle d’humoriste politique.
Didier Lallement, préfet de police de Paris, est décidément un drôle de pistolet…
Ce n’est pas seulement les forces de l’ordre, les autorités, qu’ils narguent, mais les Français à qui l’on a dit de se tenir bien tranquilles chez eux pendant plus de deux mois. C’est la France qu’ils narguent.
Il regrette, il s’excuse, il ne démissionne pas et il n’est pas démissionné. Voilà comment l’on résumera la déclaration du préfet de police Didier Lallement…
Le préfet de police de Paris Didier Lallement est dans la tourmente : sa gestion violente des manifestations dans le cadre de la Journée mondiale
Lui, c’est blouson de travail, histoire de bien montrer que dans « préfet de police », il y a « police ».
Et puis Didier Lallement lâche cette phrase : « Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour. »
Il prendra ses fonctions le 3 octobre prochain à la tête de cet organisme supervisé par Matignon, dont la mission principale est de contrôler, d’évaluer et de coordonner la politique maritime du gouvernement.
Et puis est arrivé le fiasco du Stade de France, assumé totalement par le préfet qui a, une fois de plus, accepté de jouer les fusibles pour le ministre de l’Intérieur.
A-t-on entendu Darmanin dire « J’assume en totalité la responsabilité de la gestion politique de ce désastre » ?
Pour Emmanuel Macron, qui entend mener une campagne éclair, les événements qui se profilent dans les prochains jours risquent de flétrir un peu plus son image.
Il paraît que Marlène Schiappa, elle aussi, a écrit beaucoup de choses qui sont très inspirantes. Sans doute plus rigolotes que celles de Lev Davidovich Bronstein dit Trotski.
Et l’impavide serviteur de l’ordre vient désormais d’ajouter une autre corde à son arc : celle d’humoriste politique.
Didier Lallement, préfet de police de Paris, est décidément un drôle de pistolet…
Ce n’est pas seulement les forces de l’ordre, les autorités, qu’ils narguent, mais les Français à qui l’on a dit de se tenir bien tranquilles chez eux pendant plus de deux mois. C’est la France qu’ils narguent.
Il regrette, il s’excuse, il ne démissionne pas et il n’est pas démissionné. Voilà comment l’on résumera la déclaration du préfet de police Didier Lallement…
Le préfet de police de Paris Didier Lallement est dans la tourmente : sa gestion violente des manifestations dans le cadre de la Journée mondiale
Lui, c’est blouson de travail, histoire de bien montrer que dans « préfet de police », il y a « police ».
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