Dijon
De simples faits divers ? Il faut manquer de curiosité journalistique pour dénier à ces trois faits des traits communs.
Les élus du RN ont brandi en assemblée plénière des pancartes où était écrit « Violeurs étrangers dehors »
« Ils ont commencé à nous insulter, à dire qu’ils voulaient s’en prendre à des petitsBblancs privilégiés. On n’a pris personne de haut, on n’a pas cherché d’embrouilles, mais ils voulaient juste la bagarre. »
Il faudra « ouvrir des filières où on a besoin. Et savoir en fermer là où on n’a pas de besoins ». Et, bien sûr, « il faudra faire cette réforme avec les professeurs ». La Palice en aurait dit autant !
On pourrait en effet assister, mutatis mutandis, à une « giletjaunisation » spirituelle à bas bruit de ces fidèles périphériques, très attachés à leurs racines…
On nous dit qu’ils seraient étroitement surveillés par la DGSI. Il ne reste plus qu’à espérer que nos services soient un peu moins naïfs que nos préfets.
Dijon, Champigny et combien d’autres : la fête est permanente, dans notre pays…
Sempiternelles marches blanches, la couleur des moutons…
Tout était plus simple avant. Et on n’est qu’au début.
Nous voilà à nouveau humiliés, et par l’un des dirigeants les moins recommandables de la planète.
Les affrontements de Dijon envoient aux Français indigènes un message : si la montée du communautarisme maghrébin vous inquiète, les Russes, Tchétchènes ou pas, eux, n’en ont pas peur.
Qui aurait pu réconcilier la communauté tchétchène et maghrébine après quatre jours de scènes de guerre dans les quartiers de Dijon ?
À la suite des derniers affrontements particulièrement violents entre des Tchétchènes et des groupes de dealers maghrébins à Dijon, Boulevard Voltaire a recueilli l’avis de
Des forces de police que l’on appelle à la rescousse après les avoir insultées pour complaire à la racaille : on se demande comment ils trouvent encore la motivation pour faire leur devoir dans ces conditions…
Laurent Nuñez, vous ne pouvez l’ignorer, est le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur. Au fait, et à Dijon, que fait le gouvernement ? Sibeth Ndiaye a réponse à tout.
Une scène extrêmement violente filmée par un journaliste de CNews qui aura provoqué l’ire des fidèles du RN mais, étonnamment, peu de réactions de la part de ses adversaires politiques.
On a abattu d’immenses barres d’immeubles pour les remplacer par de petits logements coquets avec balcons et espaces verts. On a offert à ce quartier une magnifique médiathèque…
Dijon, finalement, évoquera tout au plus, pour beaucoup, le pot de moutarde qui traîne au fond du frigo entre une bouteille de Coca et un lot de merguez.
pour Hamid El Hassouni, ces jeunes « ont décidé de gérer eux-mêmes ce qui ne dépend pas du tout de leur compétence, en “garantissant” la sécurité des habitants ».
On attendra encore longtemps une déclaration de guerre, non pas à un virus mourant mais à ces guerriers de banlieue…
Le maire socialiste Rebsamen est sidéré : « On a beaucoup investi » dans ce quartier.
Manifestations contre le racisme, violences inouïes sur fond de communautarisme à Dijon (des membres de la communauté tchétchène sont venus venger l’un des leurs, agressé
De simples faits divers ? Il faut manquer de curiosité journalistique pour dénier à ces trois faits des traits communs.
Les élus du RN ont brandi en assemblée plénière des pancartes où était écrit « Violeurs étrangers dehors »
« Ils ont commencé à nous insulter, à dire qu’ils voulaient s’en prendre à des petitsBblancs privilégiés. On n’a pris personne de haut, on n’a pas cherché d’embrouilles, mais ils voulaient juste la bagarre. »
Il faudra « ouvrir des filières où on a besoin. Et savoir en fermer là où on n’a pas de besoins ». Et, bien sûr, « il faudra faire cette réforme avec les professeurs ». La Palice en aurait dit autant !
On pourrait en effet assister, mutatis mutandis, à une « giletjaunisation » spirituelle à bas bruit de ces fidèles périphériques, très attachés à leurs racines…
On nous dit qu’ils seraient étroitement surveillés par la DGSI. Il ne reste plus qu’à espérer que nos services soient un peu moins naïfs que nos préfets.
Dijon, Champigny et combien d’autres : la fête est permanente, dans notre pays…
Sempiternelles marches blanches, la couleur des moutons…
Tout était plus simple avant. Et on n’est qu’au début.
Nous voilà à nouveau humiliés, et par l’un des dirigeants les moins recommandables de la planète.
Les affrontements de Dijon envoient aux Français indigènes un message : si la montée du communautarisme maghrébin vous inquiète, les Russes, Tchétchènes ou pas, eux, n’en ont pas peur.
Qui aurait pu réconcilier la communauté tchétchène et maghrébine après quatre jours de scènes de guerre dans les quartiers de Dijon ?
À la suite des derniers affrontements particulièrement violents entre des Tchétchènes et des groupes de dealers maghrébins à Dijon, Boulevard Voltaire a recueilli l’avis de
Des forces de police que l’on appelle à la rescousse après les avoir insultées pour complaire à la racaille : on se demande comment ils trouvent encore la motivation pour faire leur devoir dans ces conditions…
Laurent Nuñez, vous ne pouvez l’ignorer, est le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur. Au fait, et à Dijon, que fait le gouvernement ? Sibeth Ndiaye a réponse à tout.
Une scène extrêmement violente filmée par un journaliste de CNews qui aura provoqué l’ire des fidèles du RN mais, étonnamment, peu de réactions de la part de ses adversaires politiques.
On a abattu d’immenses barres d’immeubles pour les remplacer par de petits logements coquets avec balcons et espaces verts. On a offert à ce quartier une magnifique médiathèque…
Dijon, finalement, évoquera tout au plus, pour beaucoup, le pot de moutarde qui traîne au fond du frigo entre une bouteille de Coca et un lot de merguez.
pour Hamid El Hassouni, ces jeunes « ont décidé de gérer eux-mêmes ce qui ne dépend pas du tout de leur compétence, en “garantissant” la sécurité des habitants ».
On attendra encore longtemps une déclaration de guerre, non pas à un virus mourant mais à ces guerriers de banlieue…
Le maire socialiste Rebsamen est sidéré : « On a beaucoup investi » dans ce quartier.
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