Disney

Un discours très politiquement correct, suivant la ligne actuelle de Disney.

Les wokistes feignent d’ignorer que divertissement et conventions vont de pair.

Un document détaille les critères sans lesquels un projet de film ou de série ne peut pas être validé.

En France, la production indépendante hors subventions et influence de gauche est encore balbutiante.

Blanche-Neige ne sera pas sauvée par le prince et elle ne rêvera pas du véritable amour.

Dans ce contexte de « guerre culturelle », on reconnaîtra à Ron DeSantis, et aux nombreux élus républicains qui partagent son combat contre la révolution en cours, le courage de s’exposer.

L’implication politique de Disney est allée loin et lui a coûté très cher.

Le nouveau PDG préconise un retour aux sources, tentative ultime pour retrouver un public qui a déserté, sans doute lassé par les doses de moraline injectées dans des dessins animés à qui l’on demandait seulement de faire rêver les enfants.

Le temps de la passivité face aux contre-pouvoirs privés de la gauche idéologique est désormais révolu.

Imaginez l’offense : représenter les nains du père Grimm, grimés, avec barbes et bonnets pointus, partant travailler à la mine !

Autrement dit, l’homme blanc américain, même s’il se dit antiraciste, est un raciste qui s’ignore.

Un discours très politiquement correct, suivant la ligne actuelle de Disney.

Les wokistes feignent d’ignorer que divertissement et conventions vont de pair.

Un document détaille les critères sans lesquels un projet de film ou de série ne peut pas être validé.

En France, la production indépendante hors subventions et influence de gauche est encore balbutiante.

Blanche-Neige ne sera pas sauvée par le prince et elle ne rêvera pas du véritable amour.

Dans ce contexte de « guerre culturelle », on reconnaîtra à Ron DeSantis, et aux nombreux élus républicains qui partagent son combat contre la révolution en cours, le courage de s’exposer.

L’implication politique de Disney est allée loin et lui a coûté très cher.

Le nouveau PDG préconise un retour aux sources, tentative ultime pour retrouver un public qui a déserté, sans doute lassé par les doses de moraline injectées dans des dessins animés à qui l’on demandait seulement de faire rêver les enfants.

Le temps de la passivité face aux contre-pouvoirs privés de la gauche idéologique est désormais révolu.

Imaginez l’offense : représenter les nains du père Grimm, grimés, avec barbes et bonnets pointus, partant travailler à la mine !

Autrement dit, l’homme blanc américain, même s’il se dit antiraciste, est un raciste qui s’ignore.
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