Donald Trump

La vérité oblige à dire qu’Emmanuel Macron a tapé là où cela faisait mal.

Le Pentagone a encore réussi à convaincre Trump de ne pas quitter la Syrie. Jusqu’à quand ?

Son élection, nous l’avons déjà dit, dépendra de sa pénétration au sein de l’électorat afro-américain et hispanique, culturellement conservateur…

Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.

Lorsque Donald Trump a annoncé la mort du chef djihadiste, il a rendu hommage à Kayla Mueller.

En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».

Tout ce qui se passe en Syrie en ce moment n’est, certes, pas du cinéma, mais ressemble diablement à un spectacle conçu et réalisé par les acteurs principaux.

Dans « ce n’est qu’une étape », je sens, pour ma part, un caprice de petit joueur perdant qui ne peut supporter le verdict des réalités.

L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.

Une belle victoire pour Donald Trump.

La presse française ne supporte pas de voir Trump engranger les succès, elle est malade de le voir jubiler.

Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.

L’accord conclu à Sotchi entre la Turquie et la Russie est un modèle de réussite.

Trump veut conclure un accord rapide entre Serbes et Albanais afin que la communauté internationale reconnaisse enfin l’indépendance du Kosovo, créature américaine.

Il faut bien l’avouer : sous des postures de type télé-réalité, le président Trump, parfois, inquiète même ses observateurs intéressés. Puis, à la réflexion…

Trump représente un danger « existentiel » pour ces décisionnaires occultes et provoque, depuis trois ans, une allergie viscérale au sein de l’État profond.

Donald Trump semble avoir commis une bévue majeure en annonçant le retrait des troupes américaines du nord de la Syrie actuellement administré par les Kurdes autonomistes du PYD.

Qui tombera le premier ?

Trump ne fait que tenir une promesse de campagne : fin des aventures extérieures coûteuses et inutiles, voire nocives.

Trump a, une nouvelle fois, rappelé le principe primordial de la souveraineté des nations

C’est la mise en accusation par l’homme théoriquement le plus puissant du monde de la trilogie infernale de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel.

Pour favoriser sa campagne 2020, Trump aurait tordu le bras du nouveau président ukrainien…

Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.

En réalité, les Européens en général, et la France en particulier, sont largement hors jeu.

Désormais, Trump n’aurait pas tort, mais se tromperait de méthode diplomatique (on ne parle plus économie par crainte du ridicule) et sa diplomatie aurait même déjà échoué.

La Chine a faussé les termes de la concurrence loyale en s’affranchissant de tout principe démocratique, juridique, monétaire et financier.

Trump crie, menace, mais préfère finalement négocier que frapper. Heureuse évolution dont on espère qu’elle soit appelée à durer.

L’autre avantage, avec l’ancien magnat de l’immobilier, demeure son inculture encyclopédique des affaires du vaste monde : imperméable aux idéologies du moment, il préfère creuser le sillon du pragmatisme.

La vérité oblige à dire qu’Emmanuel Macron a tapé là où cela faisait mal.

Le Pentagone a encore réussi à convaincre Trump de ne pas quitter la Syrie. Jusqu’à quand ?

Son élection, nous l’avons déjà dit, dépendra de sa pénétration au sein de l’électorat afro-américain et hispanique, culturellement conservateur…

Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.

Lorsque Donald Trump a annoncé la mort du chef djihadiste, il a rendu hommage à Kayla Mueller.

En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».

Tout ce qui se passe en Syrie en ce moment n’est, certes, pas du cinéma, mais ressemble diablement à un spectacle conçu et réalisé par les acteurs principaux.

Dans « ce n’est qu’une étape », je sens, pour ma part, un caprice de petit joueur perdant qui ne peut supporter le verdict des réalités.

L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.

Une belle victoire pour Donald Trump.

La presse française ne supporte pas de voir Trump engranger les succès, elle est malade de le voir jubiler.

Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.

L’accord conclu à Sotchi entre la Turquie et la Russie est un modèle de réussite.

Trump veut conclure un accord rapide entre Serbes et Albanais afin que la communauté internationale reconnaisse enfin l’indépendance du Kosovo, créature américaine.

Il faut bien l’avouer : sous des postures de type télé-réalité, le président Trump, parfois, inquiète même ses observateurs intéressés. Puis, à la réflexion…

Trump représente un danger « existentiel » pour ces décisionnaires occultes et provoque, depuis trois ans, une allergie viscérale au sein de l’État profond.

Donald Trump semble avoir commis une bévue majeure en annonçant le retrait des troupes américaines du nord de la Syrie actuellement administré par les Kurdes autonomistes du PYD.

Qui tombera le premier ?

Trump ne fait que tenir une promesse de campagne : fin des aventures extérieures coûteuses et inutiles, voire nocives.

Trump a, une nouvelle fois, rappelé le principe primordial de la souveraineté des nations

C’est la mise en accusation par l’homme théoriquement le plus puissant du monde de la trilogie infernale de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel.

Pour favoriser sa campagne 2020, Trump aurait tordu le bras du nouveau président ukrainien…

Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.

En réalité, les Européens en général, et la France en particulier, sont largement hors jeu.

Désormais, Trump n’aurait pas tort, mais se tromperait de méthode diplomatique (on ne parle plus économie par crainte du ridicule) et sa diplomatie aurait même déjà échoué.

La Chine a faussé les termes de la concurrence loyale en s’affranchissant de tout principe démocratique, juridique, monétaire et financier.

Trump crie, menace, mais préfère finalement négocier que frapper. Heureuse évolution dont on espère qu’elle soit appelée à durer.

L’autre avantage, avec l’ancien magnat de l’immobilier, demeure son inculture encyclopédique des affaires du vaste monde : imperméable aux idéologies du moment, il préfère creuser le sillon du pragmatisme.
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