Donald Trump

Les Latinos semblent se convertir à Trump dans un récent sondage (Marist), et bien plus vite que les WASP ! Comme quoi…

Au terme de 675 jours d’enquête, Donald Trump se retrouve donc blanchi d’une possible collusion avec une Russie suspectée d’avoir aidé à sa tonitruante élection face à Hillary Clinton

Trump a décidé de casser ces codes en vigueur depuis 1948.

Vers une Internationale populiste ?

Le parti démocrate est le parti des très riches et des très pauvres, prenant en sandwich le parti républicain, celui des PME et leurs salariés.
Et le chef-d’œuvre aura été de convaincre la planète autant que les républicains mous que Trump était sur un siège éjectable.

L’administration est donc un faux nez des néocons, et Trump en est le pantin.

Le prix du meilleur acteur (rôle principal) est ainsi décerné à Michael Cohen, ex-avocat de Trump.

Entendre des commentateurs occidentaux agiter la menace d’une déflagration mondiale à cause du « fou » nord-coréen est proprement insensé.
D’ailleurs, Donald Trump sait bien que ce gris-gris nobélien n’est jamais rien d’autre qu’un hochet ayant, de longue date, été décerné à moins « recommandables » que lui.

Chaque fois qu’il y a une goutte de pétrole dans un quelconque endroit du monde, vous pouvez être sûrs que les USA vont pointer le bout du nez… et le reste.
De l’autre côté de l’Atlantique, le chien est une sorte de vache sacrée.
Trump, avec des demi-tours constants, est-il incompétent, paresseux, stratège ou terrorisé ? Nous verrons bien.

Quand les patrons des services cessent de donner dans le messianisme halluciné et se reconcentrent sur leur corps de métier – le renseignement -, cela devient autrement plus intéressant.

Voilà pourquoi Trump doit étendre le mur qui longe sa frontière avec le Mexique.
Trump croit en la démocratie ; l’oligarchie, au capital circulant.

Malgré l’hostilité de Trump à l’encontre de Maduro, on ne saurait déceler dans cette révolte la conséquence d’une intervention extérieure. Le désastre économique, social et politique du bolivarisme est trop évident.

Ce mercredi 23 janvier, Donald Trump reconnaissait Juan Guaido comme « le président par intérim » du Venezuela.

On lance un brûlot mondial, repris par les médias. Suivent les rétractations, qui sont naturellement sans impact. Imparable !

Le nouveau tsar pratique une politique qu’on pourrait qualifier de « harem », dans lequel parviennent à cohabiter ces quatre épouses que sont respectivement Iran, Israël, Turquie et Syrie…

L’année 2019 sera donc celle de l’élimination immédiate de Trump ou celle de sa victoire définitive.

Trump, ses enfants, ses ministres, ses fonctionnaires loyaux vont désormais faire l’objet d’un harcèlement parlementaire et judiciaire sans précédent…

Jair Bolsonaro se veut disciple de Donald Trump, sauf en matière de protectionnisme, semble-t-il…
Trump est une mauvaise personne.

…le verbe n’avait pas su cacher l’échec.

Alors, comme toujours dans la région, le dernier mot reviendra à la Russie…

Notre jeune « génie » national, dont les retraités sont la cible privilégiée, est paradoxalement condamné à une sorte de retraite à l’Élysée.

Ça suffit comme ça, on veut appeler un chat un chat.

Les Latinos semblent se convertir à Trump dans un récent sondage (Marist), et bien plus vite que les WASP ! Comme quoi…

Au terme de 675 jours d’enquête, Donald Trump se retrouve donc blanchi d’une possible collusion avec une Russie suspectée d’avoir aidé à sa tonitruante élection face à Hillary Clinton

Trump a décidé de casser ces codes en vigueur depuis 1948.

Vers une Internationale populiste ?

Le parti démocrate est le parti des très riches et des très pauvres, prenant en sandwich le parti républicain, celui des PME et leurs salariés.
Et le chef-d’œuvre aura été de convaincre la planète autant que les républicains mous que Trump était sur un siège éjectable.

L’administration est donc un faux nez des néocons, et Trump en est le pantin.

Le prix du meilleur acteur (rôle principal) est ainsi décerné à Michael Cohen, ex-avocat de Trump.

Entendre des commentateurs occidentaux agiter la menace d’une déflagration mondiale à cause du « fou » nord-coréen est proprement insensé.
D’ailleurs, Donald Trump sait bien que ce gris-gris nobélien n’est jamais rien d’autre qu’un hochet ayant, de longue date, été décerné à moins « recommandables » que lui.

Chaque fois qu’il y a une goutte de pétrole dans un quelconque endroit du monde, vous pouvez être sûrs que les USA vont pointer le bout du nez… et le reste.
De l’autre côté de l’Atlantique, le chien est une sorte de vache sacrée.
Trump, avec des demi-tours constants, est-il incompétent, paresseux, stratège ou terrorisé ? Nous verrons bien.

Quand les patrons des services cessent de donner dans le messianisme halluciné et se reconcentrent sur leur corps de métier – le renseignement -, cela devient autrement plus intéressant.

Voilà pourquoi Trump doit étendre le mur qui longe sa frontière avec le Mexique.
Trump croit en la démocratie ; l’oligarchie, au capital circulant.

Malgré l’hostilité de Trump à l’encontre de Maduro, on ne saurait déceler dans cette révolte la conséquence d’une intervention extérieure. Le désastre économique, social et politique du bolivarisme est trop évident.

Ce mercredi 23 janvier, Donald Trump reconnaissait Juan Guaido comme « le président par intérim » du Venezuela.

On lance un brûlot mondial, repris par les médias. Suivent les rétractations, qui sont naturellement sans impact. Imparable !

Le nouveau tsar pratique une politique qu’on pourrait qualifier de « harem », dans lequel parviennent à cohabiter ces quatre épouses que sont respectivement Iran, Israël, Turquie et Syrie…

L’année 2019 sera donc celle de l’élimination immédiate de Trump ou celle de sa victoire définitive.

Trump, ses enfants, ses ministres, ses fonctionnaires loyaux vont désormais faire l’objet d’un harcèlement parlementaire et judiciaire sans précédent…

Jair Bolsonaro se veut disciple de Donald Trump, sauf en matière de protectionnisme, semble-t-il…
Trump est une mauvaise personne.

…le verbe n’avait pas su cacher l’échec.

Alors, comme toujours dans la région, le dernier mot reviendra à la Russie…

Notre jeune « génie » national, dont les retraités sont la cible privilégiée, est paradoxalement condamné à une sorte de retraite à l’Élysée.

Ça suffit comme ça, on veut appeler un chat un chat.
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