Donald Trump
Cette semaine, dans une déclaration à l’AFP, il s’en est pris au président des États-Unis, une cible d’une grande originalité.

Est-ce que Trump est allé voir Poutine comme de Gaulle s’en était allé à Baden-Baden ? Pour se protéger contre l’actuel coup d’État rampant mené contre lui par la coalition des services secrets anglo-saxons ?
Donald Trump est ce qu’il est. Mais au moins a-t-il tenté de préserver un dialogue d’homme à homme.

À Helsinki, Trump et Poutine auront donc beaucoup à se dire. Tandis que Mercron et Makel se tiendront au courant de l’affaire en se contentant de la lecture des journaux ?

Il laisse qui voudra sauter de joie comme un cabri, préférant savourer intérieurement sa victoire.

Traduction : cher Donald, si tu ne rentres pas dans le rang, on va arrêter « tes proches » et tu n’auras que les yeux pour pleurer.

Trump, c’est l’éléphant plus républicain que jamais qui piétine avec bonheur les porcelaines du magasin-musée européen…
Donald Trump respecte ce qui est respectable. À savoir ceux qui ont la force de lui tenir tête.

La seule chose qu’on puisse regretter, c’est qu’il n’y ait pas un Président français pour tenir les mêmes propos !
Est-il entre les mains de Poutine ? Des néoconservateurs ? Ou bien Trump veut-il tout simplement régler ses comptes ?
Qu’on la dissolve, donc. Que l’Europe reprenne son indépendance militaire et son destin en main. Voilà peut-être le genre de discours qu’il faudrait tenir à Donald Trump ; discours que, paradoxalement, lui seul pourrait entendre.
Ces politiques traduisent, voire déguisent, un échec : l’incapacité de mettre en œuvre une juste méritocratie…
Donald Trump veut faire des législatives de l’automne son référendum personnel.
Il est dans l’intérêt de la France de mettre la question iranienne au centre du débat, quitte à se monter plus flexible sur les mesures protectionnistes prises par Trump.
Ainsi, l’habit ne fait pas le moine. Depuis longtemps, déjà, ceux qui font la paix ne sont pas les plus onctueux, ni les moins rudes ; ceux qui font la guerre ont souvent l’air de gens très convenables.
Cette personnalité éminemment foutraque vient de nous administrer une magistrale leçon de politique.

Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Si la France avait eu la chance d’avoir un homme de sa trempe, notre avenir aurait été tout autre.
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.

Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
Donald Trump ne fait jamais que brailler un peu fort ce que des têtes mieux formées que la sienne murmurent tout bas depuis des décennies.

Le petit garçon caractériel Trump a pris le dessus.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.
Après tout, Trump considère haut et fort que les guerres commerciales sont plus faciles à gagner que les expéditions coloniales des Bush.
La parfaite dramaturgie récemment déployée par la « bande des quatre » est impeccable.

Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé

Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.

Donald Trump, malgré les critiques incessantes du « camp du bien universel », vient peut-être – contre toute attente – d’initier un coup de maître…
Cette semaine, dans une déclaration à l’AFP, il s’en est pris au président des États-Unis, une cible d’une grande originalité.

Est-ce que Trump est allé voir Poutine comme de Gaulle s’en était allé à Baden-Baden ? Pour se protéger contre l’actuel coup d’État rampant mené contre lui par la coalition des services secrets anglo-saxons ?
Donald Trump est ce qu’il est. Mais au moins a-t-il tenté de préserver un dialogue d’homme à homme.

À Helsinki, Trump et Poutine auront donc beaucoup à se dire. Tandis que Mercron et Makel se tiendront au courant de l’affaire en se contentant de la lecture des journaux ?

Il laisse qui voudra sauter de joie comme un cabri, préférant savourer intérieurement sa victoire.

Traduction : cher Donald, si tu ne rentres pas dans le rang, on va arrêter « tes proches » et tu n’auras que les yeux pour pleurer.

Trump, c’est l’éléphant plus républicain que jamais qui piétine avec bonheur les porcelaines du magasin-musée européen…
Donald Trump respecte ce qui est respectable. À savoir ceux qui ont la force de lui tenir tête.

La seule chose qu’on puisse regretter, c’est qu’il n’y ait pas un Président français pour tenir les mêmes propos !
Est-il entre les mains de Poutine ? Des néoconservateurs ? Ou bien Trump veut-il tout simplement régler ses comptes ?
Qu’on la dissolve, donc. Que l’Europe reprenne son indépendance militaire et son destin en main. Voilà peut-être le genre de discours qu’il faudrait tenir à Donald Trump ; discours que, paradoxalement, lui seul pourrait entendre.
Ces politiques traduisent, voire déguisent, un échec : l’incapacité de mettre en œuvre une juste méritocratie…
Donald Trump veut faire des législatives de l’automne son référendum personnel.
Il est dans l’intérêt de la France de mettre la question iranienne au centre du débat, quitte à se monter plus flexible sur les mesures protectionnistes prises par Trump.
Ainsi, l’habit ne fait pas le moine. Depuis longtemps, déjà, ceux qui font la paix ne sont pas les plus onctueux, ni les moins rudes ; ceux qui font la guerre ont souvent l’air de gens très convenables.
Cette personnalité éminemment foutraque vient de nous administrer une magistrale leçon de politique.

Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Si la France avait eu la chance d’avoir un homme de sa trempe, notre avenir aurait été tout autre.
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.

Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
Donald Trump ne fait jamais que brailler un peu fort ce que des têtes mieux formées que la sienne murmurent tout bas depuis des décennies.

Le petit garçon caractériel Trump a pris le dessus.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.
Après tout, Trump considère haut et fort que les guerres commerciales sont plus faciles à gagner que les expéditions coloniales des Bush.
La parfaite dramaturgie récemment déployée par la « bande des quatre » est impeccable.

Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé

Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.

Donald Trump, malgré les critiques incessantes du « camp du bien universel », vient peut-être – contre toute attente – d’initier un coup de maître…
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