Donald Trump
En façade, les 14 premiers mois de la présidence Trump représentent un incontestable succès.
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Fin de nombre d’illusions trop longtemps entretenues ?
Qui peut jurer qu’au Bataclan, si seulement l’un ou plusieurs des policiers hors service qui faisaient partie des spectateurs avaient été armés, l’issue eût été la même ?
Rien ne dit que les USA et Israël sortiront vainqueurs de cette confrontation.
Au fond, il n’y a qu’en Europe qu’on se laisse manger la soupe sur la tête.
Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves.
La visite de Merkel, suivant celle de Macron, pourrait-elle donner à Trump les munitions nécessaires pour contrer les néoconservateurs ?
Cette nomination est tout à fait surprenante car le candidat Trump, n’avait pas eu de mots assez durs contre la destruction de l’Irak.
Qui entraîne qui dans son piège ?
Trump ne fait que se débattre, feignant d’organiser ce qu’il ne contrôle plus, pas même l’immigration. Un roi nu ?
Trump a loué dimanche l’héroïsme français en la personne d’Arnaud Beltrame, chevaleresque et patriotique officier de gendarmerie, symbole de tous les héros combattant le djihadisme.
Le nouveau Trump, privé du compas de Steve Bannon, entre dans une logique militariste, et s’entoure de faucons pour l’exécuter. La base trumpienne est furieuse…
L’approche politique et économique totalement renouvelée que met en œuvre le président Trump selon son tempo trépidant lui attire des soutiens de plus en plus nombreux.
L’avantage, avec les éléphants lâchés dans les magasins de porcelaine, c’est que l’on ne sait jamais à l’avance ce qu’ils vont renverser.
L’Amérique comptait dix des quinze plus grandes aciéries au monde. Aujourd’hui elle n’en compte que deux… et la Chine dix !
Le président Trump s’est constamment élevé contre la doxa du parti républicain, adepte du libre-échangisme.
Tuer Trump à la casserole est un exercice difficile. Il lance tellement de leurres que ses adversaires, déconcentrés, ne savent pas quel manche saisir.
Donald Trump avait dit : « Je veux une parade comme en France ». Un ordre clair et précis, comme on aime les recevoir dans toutes les armées du monde.
Un voyage non sans frictions : Trump, agent commercial des industries américaines de l’armement, va-t-il imposer à Macron un nouveau Mers el-Kébir ?
Trump a eu une bonne semaine.
Décrié, critiqué, haï même, Donald Trump fait pourtant le « job ».
Ce 30 janvier, les élus démocrates étaient si tendus pendant le discours de Trump qu’ils n’écoutaient pas.
Ils trahissent le clivage essentiel qui parcourt le monde, entre une gauche intellectuelle bouffie de suffisance, et une droite populiste qui s’appuie sur le bon sens.
A Davos, il était censé entrer dans la cage aux lions. Il a été reçu comme une star par l’allemand Klaus Schwab, fondateur du Forum.
« Il n’y a pratiquement pas de jour où, dans sa façon d’être comme sa façon de faire, « The Donald » ne donne l’impression d’être un grand caractériel égocentrique, immature, inculte et paranoïaque. »
Que l’on aime ou pas Trump, force est de constater que nulle bête n’aurait survécu aux trappes et attaques dont il a fait l’objet.
Il avait fallu deux mandats d’Obama pour que l’indice boursier Dow Jones monte de 10.000 points. Après treize mois de régime Trump, l’indice a gagné 8.000 points et près de 30 %.
En façade, les 14 premiers mois de la présidence Trump représentent un incontestable succès.
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Fin de nombre d’illusions trop longtemps entretenues ?
Qui peut jurer qu’au Bataclan, si seulement l’un ou plusieurs des policiers hors service qui faisaient partie des spectateurs avaient été armés, l’issue eût été la même ?
Rien ne dit que les USA et Israël sortiront vainqueurs de cette confrontation.
Au fond, il n’y a qu’en Europe qu’on se laisse manger la soupe sur la tête.
Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves.
La visite de Merkel, suivant celle de Macron, pourrait-elle donner à Trump les munitions nécessaires pour contrer les néoconservateurs ?
Cette nomination est tout à fait surprenante car le candidat Trump, n’avait pas eu de mots assez durs contre la destruction de l’Irak.
Qui entraîne qui dans son piège ?
Trump ne fait que se débattre, feignant d’organiser ce qu’il ne contrôle plus, pas même l’immigration. Un roi nu ?
Trump a loué dimanche l’héroïsme français en la personne d’Arnaud Beltrame, chevaleresque et patriotique officier de gendarmerie, symbole de tous les héros combattant le djihadisme.
Le nouveau Trump, privé du compas de Steve Bannon, entre dans une logique militariste, et s’entoure de faucons pour l’exécuter. La base trumpienne est furieuse…
L’approche politique et économique totalement renouvelée que met en œuvre le président Trump selon son tempo trépidant lui attire des soutiens de plus en plus nombreux.
L’avantage, avec les éléphants lâchés dans les magasins de porcelaine, c’est que l’on ne sait jamais à l’avance ce qu’ils vont renverser.
L’Amérique comptait dix des quinze plus grandes aciéries au monde. Aujourd’hui elle n’en compte que deux… et la Chine dix !
Le président Trump s’est constamment élevé contre la doxa du parti républicain, adepte du libre-échangisme.
Tuer Trump à la casserole est un exercice difficile. Il lance tellement de leurres que ses adversaires, déconcentrés, ne savent pas quel manche saisir.
Donald Trump avait dit : « Je veux une parade comme en France ». Un ordre clair et précis, comme on aime les recevoir dans toutes les armées du monde.
Un voyage non sans frictions : Trump, agent commercial des industries américaines de l’armement, va-t-il imposer à Macron un nouveau Mers el-Kébir ?
Trump a eu une bonne semaine.
Décrié, critiqué, haï même, Donald Trump fait pourtant le « job ».
Ce 30 janvier, les élus démocrates étaient si tendus pendant le discours de Trump qu’ils n’écoutaient pas.
Ils trahissent le clivage essentiel qui parcourt le monde, entre une gauche intellectuelle bouffie de suffisance, et une droite populiste qui s’appuie sur le bon sens.
A Davos, il était censé entrer dans la cage aux lions. Il a été reçu comme une star par l’allemand Klaus Schwab, fondateur du Forum.
« Il n’y a pratiquement pas de jour où, dans sa façon d’être comme sa façon de faire, « The Donald » ne donne l’impression d’être un grand caractériel égocentrique, immature, inculte et paranoïaque. »
Que l’on aime ou pas Trump, force est de constater que nulle bête n’aurait survécu aux trappes et attaques dont il a fait l’objet.
Il avait fallu deux mandats d’Obama pour que l’indice boursier Dow Jones monte de 10.000 points. Après treize mois de régime Trump, l’indice a gagné 8.000 points et près de 30 %.
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