Donald Trump
À gauche ils sont contents. Ils croient toujours que Trump est un imbécile. À droite, ils sont mécontents et pensent à leur tour que Trump est un imbécile.
Depuis un an, Donald Trump veut torpiller l’accord conclu avec l’Iran par les États-Unis, l’Europe, la Chine et la Russie. Vendredi dernier, il était censé le dénoncer définitivement, avant de faire volte-face.
Jack Lang est toujours là…
L’Afrique doit exiger de ses partenaires le respect.
Candidat « génial », Trump sera-t-il un président « nul » ? Certainement pas, puisqu’il n’est que fantoche.
Qu’on le veuille ou non, Donald Trump est le président des Etats-Unis, la première puissance mondiale.
Trump sera-t-il « dégagé » par les chrétiens populistes pour cause de haute trahison électorale ?
Le plus cruel ? Steve Bannon, son ancien directeur de campagne
Somme toute, Trump a survécu au tsunami 2017.
Il aura suffi d’un tweet ironique sur les records de basse température actuels aux États-Unis pour que la médiasphère s’emballe.
D’où va venir l’attaque, maintenant qu’on a moins besoin de lui ?
Pendant que les chiens aboyaient, la caravane Trump est passée.
C’est un « lion blessé », en pleine crise de personnalité, qui veut montrer au monde qu’il existe.
Lorsqu’on aura fini de défoncer les pôles et de polluer tout ce qui nous reste de mers vierges, on ira exploiter le riche sous-sol lunaire.
De l’étrange attelage israélo-américain, comment savoir qui est le cheval et qui fait le cocher ?
Les républicains tentent de rouler Trump dans la farine. Trump met de l’huile sur le feu. C’est à qui finira le premier en beignet.
Le président américain a fait acte de résistance chrétienne. Qu’il en soit remercié.
85% du budget est considéré par l’establishment comme immuable.
Ce mercredi, il y aura un an jour pour jour, Donald Trump faisait irruption à la Maison-Blanche sans y avoir été tout à fait convié, hormis par le peuple.
Donc Trump a eu une semaine phénoménale.
Le 8 novembre marquera le premier anniversaire de l’élection de Donald Trump. Avant lui, les choses étaient simples.
Trump lance-t-il un hameçon ?
La parabole de « la paille et la poutre » aurait dû inciter Trump à plus de modération.
Trump a fustigé les « joueurs-millionnaires » au cours d’un flamboyant discours tenu en Alabama la semaine dernière.
Il sait bien qu’on ne négocie pas avec de belles paroles et de nobles intentions, mais avec des atouts et des moyens pour faire valoir les arguments.
Notre pays, qui a perdu sa puissance, essaie de se donner un rôle planétaire par la largeur de ses vues.
Son discours reste dans la continuité directe de ceux de George W. Bush : la composante messianique reste la même.
Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.
À gauche ils sont contents. Ils croient toujours que Trump est un imbécile. À droite, ils sont mécontents et pensent à leur tour que Trump est un imbécile.
Depuis un an, Donald Trump veut torpiller l’accord conclu avec l’Iran par les États-Unis, l’Europe, la Chine et la Russie. Vendredi dernier, il était censé le dénoncer définitivement, avant de faire volte-face.
Jack Lang est toujours là…
L’Afrique doit exiger de ses partenaires le respect.
Candidat « génial », Trump sera-t-il un président « nul » ? Certainement pas, puisqu’il n’est que fantoche.
Qu’on le veuille ou non, Donald Trump est le président des Etats-Unis, la première puissance mondiale.
Trump sera-t-il « dégagé » par les chrétiens populistes pour cause de haute trahison électorale ?
Le plus cruel ? Steve Bannon, son ancien directeur de campagne
Somme toute, Trump a survécu au tsunami 2017.
Il aura suffi d’un tweet ironique sur les records de basse température actuels aux États-Unis pour que la médiasphère s’emballe.
D’où va venir l’attaque, maintenant qu’on a moins besoin de lui ?
Pendant que les chiens aboyaient, la caravane Trump est passée.
C’est un « lion blessé », en pleine crise de personnalité, qui veut montrer au monde qu’il existe.
Lorsqu’on aura fini de défoncer les pôles et de polluer tout ce qui nous reste de mers vierges, on ira exploiter le riche sous-sol lunaire.
De l’étrange attelage israélo-américain, comment savoir qui est le cheval et qui fait le cocher ?
Les républicains tentent de rouler Trump dans la farine. Trump met de l’huile sur le feu. C’est à qui finira le premier en beignet.
Le président américain a fait acte de résistance chrétienne. Qu’il en soit remercié.
85% du budget est considéré par l’establishment comme immuable.
Ce mercredi, il y aura un an jour pour jour, Donald Trump faisait irruption à la Maison-Blanche sans y avoir été tout à fait convié, hormis par le peuple.
Donc Trump a eu une semaine phénoménale.
Le 8 novembre marquera le premier anniversaire de l’élection de Donald Trump. Avant lui, les choses étaient simples.
Trump lance-t-il un hameçon ?
La parabole de « la paille et la poutre » aurait dû inciter Trump à plus de modération.
Trump a fustigé les « joueurs-millionnaires » au cours d’un flamboyant discours tenu en Alabama la semaine dernière.
Il sait bien qu’on ne négocie pas avec de belles paroles et de nobles intentions, mais avec des atouts et des moyens pour faire valoir les arguments.
Notre pays, qui a perdu sa puissance, essaie de se donner un rôle planétaire par la largeur de ses vues.
Son discours reste dans la continuité directe de ceux de George W. Bush : la composante messianique reste la même.
Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.
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