Donald Trump
Il ne faut accorder que peu d’importance aux hommes du « machin » et à leurs propos.
Il y a deux types de fascistes : les fascistes et les antifascistes.
« Amérique terre de contrastes », comme disent les voyagistes.
Nous n’avons d’autre choix que de soutenir une démocratie contre une dictature sanguinaire.

Que fait-on devant deux « mâles dominants » qui ont moins de cervelle que de testostérone et sous les doigts tout ce qu’il faut pour vitrifier la planète ?

Poussant ses adversaires à la faute, feignant l’incompétence, voire le dérangement mental, il organise le chaos afin de brouiller les pistes.
Les dix derniers jours de juillet ont été fertiles en contre-attaques trumpiennes, suivies de rebondissements intéressants.
Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…

La France a déjà indiqué (Reuters) que la proposition de loi du Congrès américain apparaissait « illicite au regard du droit international« .
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…

Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Le président, blessé, tente de délégitimer le procureur spécial Mueller avant de reprendre les commandes… en jouant de sa seule arme disponible : le peuple.

La présence de Trump au défilé du 14 Juillet n’a pas fait l’objet d’une grande couverture médiatique.

Ouf ! Donald Trump est reparti

Washington rugit depuis 48 heures sur le « scandale Donald Trump junior », à contre-courant de l’opinion prévalant au « pays réel ».

Face à la désinformation, les deux présidents ont donc promis sur Twitter de se battre ensemble contre les fake news.

Il semble que le congrès républicain, qui a saboté le programme de Trump en feignant de le soutenir, s’organise désormais pour une présidence Pence…

A Varsovie, Trump a présenté un plan « quasi-Spenglérien » : redéfinir l’Europe et l’Occident.

Pendant combien de temps encore de telles paroles resteront inaudibles de nos dirigeants et de notre peuple ?
Les médecins ont encore laissé quelques jours avant de procéder à l’euthanasie afin que les parents puissent dire au revoir à leur enfant.
Et les journalistes de pleurer pour leur sécurité, dans l’angoisse de voir un déséquilibré les attaquer physiquement.
Fort de ses cent millions de suiveurs sur les médias sociaux, dont une moitié de supporters inconditionnels, le twitteur-en-chef brouille et désacralise.
Comme il se doit, une certaine gauche, une autre droite, sans compter nombre de médias dominants, hurlent à l’arrivée du loup-garou à teinture.
Trump semble bénéficier d’un meilleur alignement astral : les républicains viennent de gagner cinq élections partielles à la suite.

On en est maintenant à la phase « finale » dans la guerre entre Trump et les néocons, le « deep state » et le procureur spécial Mueller.
Pour comprendre la décision américaine, il faut lire les déclarations officielles, et surtout éviter les commentaires des médias.
Il nous manquait, en France, la « climatophobie ». On y va tout droit et Hulot qui s’en dédit.

En 2015, un être humain sur 112 était « réfugié » ou « demandeur d’asile ».
Il ne faut accorder que peu d’importance aux hommes du « machin » et à leurs propos.
Il y a deux types de fascistes : les fascistes et les antifascistes.
« Amérique terre de contrastes », comme disent les voyagistes.
Nous n’avons d’autre choix que de soutenir une démocratie contre une dictature sanguinaire.

Que fait-on devant deux « mâles dominants » qui ont moins de cervelle que de testostérone et sous les doigts tout ce qu’il faut pour vitrifier la planète ?

Poussant ses adversaires à la faute, feignant l’incompétence, voire le dérangement mental, il organise le chaos afin de brouiller les pistes.
Les dix derniers jours de juillet ont été fertiles en contre-attaques trumpiennes, suivies de rebondissements intéressants.
Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…

La France a déjà indiqué (Reuters) que la proposition de loi du Congrès américain apparaissait « illicite au regard du droit international« .
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…

Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Le président, blessé, tente de délégitimer le procureur spécial Mueller avant de reprendre les commandes… en jouant de sa seule arme disponible : le peuple.

La présence de Trump au défilé du 14 Juillet n’a pas fait l’objet d’une grande couverture médiatique.

Ouf ! Donald Trump est reparti

Washington rugit depuis 48 heures sur le « scandale Donald Trump junior », à contre-courant de l’opinion prévalant au « pays réel ».

Face à la désinformation, les deux présidents ont donc promis sur Twitter de se battre ensemble contre les fake news.

Il semble que le congrès républicain, qui a saboté le programme de Trump en feignant de le soutenir, s’organise désormais pour une présidence Pence…

A Varsovie, Trump a présenté un plan « quasi-Spenglérien » : redéfinir l’Europe et l’Occident.

Pendant combien de temps encore de telles paroles resteront inaudibles de nos dirigeants et de notre peuple ?
Les médecins ont encore laissé quelques jours avant de procéder à l’euthanasie afin que les parents puissent dire au revoir à leur enfant.
Et les journalistes de pleurer pour leur sécurité, dans l’angoisse de voir un déséquilibré les attaquer physiquement.
Fort de ses cent millions de suiveurs sur les médias sociaux, dont une moitié de supporters inconditionnels, le twitteur-en-chef brouille et désacralise.
Comme il se doit, une certaine gauche, une autre droite, sans compter nombre de médias dominants, hurlent à l’arrivée du loup-garou à teinture.
Trump semble bénéficier d’un meilleur alignement astral : les républicains viennent de gagner cinq élections partielles à la suite.

On en est maintenant à la phase « finale » dans la guerre entre Trump et les néocons, le « deep state » et le procureur spécial Mueller.
Pour comprendre la décision américaine, il faut lire les déclarations officielles, et surtout éviter les commentaires des médias.
Il nous manquait, en France, la « climatophobie ». On y va tout droit et Hulot qui s’en dédit.

En 2015, un être humain sur 112 était « réfugié » ou « demandeur d’asile ».
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