Donald Trump

Qu’on aime ou pas la personne de Donald Trump et – ce qui est très différent – qu’on approuve ou non sa politique économique ne doit pas

Pour résumer, Donald Trump reprend à son compte le bréviaire de la droite israélienne.

La joute verbale entre Greta Thunberg et Donald Trump serait-elle en passe de virer à ces dialogues de sourds immortalisés par le capitaine Haddock et le professeur Tournesol dans les aventures de Tintin et Milou ?

Au palmarès de l’auto-louange, l’Oscar revient indéniablement à Donald Trump.

Le sort de Trump est désormais entre les mains des républicains du Sénat qui tissent la corde qui soutient le pendu.

Quel meilleur repoussoir, pour Donald Trump, que l’élue de cette élite, principalement cantonnée dans les mégapoles des côtes de l’Est et de l’Ouest.

Contrairement à ce qui a été parfois raconté dans les médias, tout le monde n’a pas pleuré la mort de Soleimani en Iran, bien au contraire.

Comme à chacune de ses initiatives, on entend les mêmes commentaires sarcastiques dans la bouche des commentateurs, tous médias confondus…

Dans la crise entre les États-Unis et l’Iran, on n’entend pas la voix de la diplomatie française, ni celle de l’Union européenne. Explications de Jérôme

Une chose est sûre : l’Iran d’après les 52 frappes promises aura perdu une part considérable de sa capacité de nuisance, dont celle de se doter de l’arme atomique.

Ne reste plus qu’à savoir en quoi consistera la riposte iranienne, patrie des échecs, contre celle d’un poker souvent menteur.

Cet impeachment de Trump révèle l’ampleur de la morgue et de la corruption de la nomenklatura progressiste américaine.

Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.

Trump a-t-il bien mesuré les conséquences de sa décision ? On ose l’espérer, mais alors, pourquoi avoir claironné à de très nombreuses reprises que les interventions lointaines et coûteuses devaient prendre fin ?

La ségrégation et l’esclavagisme des champs de coton ont certes disparu, pourtant la société américaine semble toujours aussi morcelée…

En attendant, l’échéance 2020 approche et elle ne se présente pas sous les meilleurs auspices pour les démocrates.

Donald Trump est en train de bouleverser radicalement les codes politiques que nous connaissions jusqu’à présent.

On allait voir ce que l’on allait voir… Et on n’a rien vu du tout !

Donald Trump en est reparti tout mécontent, boudant la conférence de presse finale, tandis qu’Emmanuel Macron rentrait tout content…

Même à l’heure où cet article sera mis en ligne et à laquelle on ne saura, évidemment, pas ce qu’il sortira de ce sommet, tenu

Si la forme change, le fond, lui, a tendance à demeurer le même.

Les officiels chinois ont utilisé leur rhétorique habituelle, tel qu’on la trouve dans les livres des écoliers, sur la période humiliante des concessions occidentales.

C’est tout l’axe chiite est-ouest du Moyen-Orient qui est en ébullition.

L’argent peut beaucoup, mais ne peut pas tout.

Bref, circulez, y a rien à voir et business as usual.

En Orient, le temps prend le sien et ce qui, un jour, semble immuable ne l’est plus forcément demain.

Le discours de Trump à la Chine est simple, fort et sensé (mais oui), celui de Macron est confus et faible.

La stratégie de Trump est cohérente et ferme : il rompt avec le mondialisme de l’OMC dont les règles sont défavorables aux pays qui les respectent et favorables à ceux qui ne les respectent pas…

Qu’on aime ou pas la personne de Donald Trump et – ce qui est très différent – qu’on approuve ou non sa politique économique ne doit pas

Pour résumer, Donald Trump reprend à son compte le bréviaire de la droite israélienne.

La joute verbale entre Greta Thunberg et Donald Trump serait-elle en passe de virer à ces dialogues de sourds immortalisés par le capitaine Haddock et le professeur Tournesol dans les aventures de Tintin et Milou ?

Au palmarès de l’auto-louange, l’Oscar revient indéniablement à Donald Trump.

Le sort de Trump est désormais entre les mains des républicains du Sénat qui tissent la corde qui soutient le pendu.

Quel meilleur repoussoir, pour Donald Trump, que l’élue de cette élite, principalement cantonnée dans les mégapoles des côtes de l’Est et de l’Ouest.

Contrairement à ce qui a été parfois raconté dans les médias, tout le monde n’a pas pleuré la mort de Soleimani en Iran, bien au contraire.

Comme à chacune de ses initiatives, on entend les mêmes commentaires sarcastiques dans la bouche des commentateurs, tous médias confondus…

Dans la crise entre les États-Unis et l’Iran, on n’entend pas la voix de la diplomatie française, ni celle de l’Union européenne. Explications de Jérôme

Une chose est sûre : l’Iran d’après les 52 frappes promises aura perdu une part considérable de sa capacité de nuisance, dont celle de se doter de l’arme atomique.

Ne reste plus qu’à savoir en quoi consistera la riposte iranienne, patrie des échecs, contre celle d’un poker souvent menteur.

Cet impeachment de Trump révèle l’ampleur de la morgue et de la corruption de la nomenklatura progressiste américaine.

Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.

Trump a-t-il bien mesuré les conséquences de sa décision ? On ose l’espérer, mais alors, pourquoi avoir claironné à de très nombreuses reprises que les interventions lointaines et coûteuses devaient prendre fin ?

La ségrégation et l’esclavagisme des champs de coton ont certes disparu, pourtant la société américaine semble toujours aussi morcelée…

En attendant, l’échéance 2020 approche et elle ne se présente pas sous les meilleurs auspices pour les démocrates.

Donald Trump est en train de bouleverser radicalement les codes politiques que nous connaissions jusqu’à présent.

On allait voir ce que l’on allait voir… Et on n’a rien vu du tout !

Donald Trump en est reparti tout mécontent, boudant la conférence de presse finale, tandis qu’Emmanuel Macron rentrait tout content…

Même à l’heure où cet article sera mis en ligne et à laquelle on ne saura, évidemment, pas ce qu’il sortira de ce sommet, tenu

Si la forme change, le fond, lui, a tendance à demeurer le même.

Les officiels chinois ont utilisé leur rhétorique habituelle, tel qu’on la trouve dans les livres des écoliers, sur la période humiliante des concessions occidentales.

C’est tout l’axe chiite est-ouest du Moyen-Orient qui est en ébullition.

L’argent peut beaucoup, mais ne peut pas tout.

Bref, circulez, y a rien à voir et business as usual.

En Orient, le temps prend le sien et ce qui, un jour, semble immuable ne l’est plus forcément demain.

Le discours de Trump à la Chine est simple, fort et sensé (mais oui), celui de Macron est confus et faible.

La stratégie de Trump est cohérente et ferme : il rompt avec le mondialisme de l’OMC dont les règles sont défavorables aux pays qui les respectent et favorables à ceux qui ne les respectent pas…
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
