Droites
La droite française salue la victoire de Trump comme un triomphe des valeurs de liberté et de souveraineté.
La disparition des LR n’est plus qu’une question de temps, malgré le grand nombre de notables qui appartiennent encore à ce parti ; ces notables sont l’arbre qui cache la forêt.
S’occuper de son prochain, c’est revenir au local ; c’est s’occuper de son chez-soi parce que nous connaissons mieux ce qui est proche que ce qui est loin.
Un parti qui voudrait redonner à l’écologisme la place qui lui revient se devrait de remettre la science des observations et des études au centre des décisions.
Jacques de Guillebon (L’Incorrect) raconte les origines et les objectifs de la Convention de la droite qui réunira Éric Zemmour, Marion Maréchal, Laurent Alexandre, Raphaël
Quand la droite aura d’une part récupéré ses concepts, d’autre part su s’adapter à son monde, alors elle pourra redevenir une force politique.
Celui qui veut s’inspirer du programme RPR-UDF de 1990 fait partie de ces voix dissonantes, mais grossissant chaque jour davantage, des élus LR qui préfèrent dialoguer avec Marion Maréchal plutôt qu’avec Emmanuel Macron.
Comme François Hollande dans sa tournée des supermarchés, l’ex-Président, ex-patron d’une droite en coma dépassé, dispose d’un fan-club qui ne raterait sa dédicace pour rien au monde.
Le mondialisme social-démocrate de Macron est en tous points opposé à cette trilogie droitière du patriotisme, du conservatisme et du libéralisme.
La France doit se redresser, et pour cela, elle a besoin d’une droite à l’idéologie forte.
Plutôt que de définir ce qu’est la droite, ceux qui ne se reconnaissent pas dans les idées de gauche doivent bâtir leur propre corpus et éviter de s’engager dans des impasses.
Nous attendons Clemenceau, espérons de Gaulle ; certains les imaginent en jupon, les uns sortant la carte de la tante, les autres celle de la nièce…
Il faut donc utiliser les mêmes armes que Macron pour le mettre hors circuit : le dominer intellectuellement, et c’est tout à fait possible.
Est-il concevable aussi, sans être qualifié de fasciste, de glisser dans la réflexion la piste d’une union des droites…
Au lendemain de la défaite des Républicains aux élections européennes, le mouvement réunissait un bureau politique pour envisager l’avenir. Entre tentation de garder une ligne
En France, le libéral-conservatisme est une impasse.
En matière de contre-attaque intellectuelle et culturelle, nous n’en sommes qu’aux balbutiements.
L’hypothèse dextrogyre, qui proclame la cohérence idéologique entre la sauvegarde de l’identité et le conservatisme sociétal, est théoriquement stimulante mais semble inopérante dans la réalité.
Plus un homme politique de droite se rapproche de l’orée du grand territoire sylvestre dans lequel se sont réfugiés les plus sages des druides de notre civilisation, plus il est taxé de populisme…
L’enjeu, pour la droite, est donc de se réinventer ou de disparaître.
Les partis de droite sont idéologiquement aux antipodes de la droite authentique.
L’ancien responsable des Jeunes avec Calmels explique, au micro de Boulevard Voltaire, les raisons de sa démission. Il juge la numéro 2 de LR « trop
Le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) – plus vieux parti de la droite, car fondé en 1949 – a décidé de rejoindre la
L’ambiguïté conduit à faire voter un conservateur de province pour un candidat jacobin, étatiste et peu soucieux des valeurs et de la défense de la famille.
Ce serait une nouvelle étape dans la recomposition politique en cours.
La droite française salue la victoire de Trump comme un triomphe des valeurs de liberté et de souveraineté.
La disparition des LR n’est plus qu’une question de temps, malgré le grand nombre de notables qui appartiennent encore à ce parti ; ces notables sont l’arbre qui cache la forêt.
S’occuper de son prochain, c’est revenir au local ; c’est s’occuper de son chez-soi parce que nous connaissons mieux ce qui est proche que ce qui est loin.
Un parti qui voudrait redonner à l’écologisme la place qui lui revient se devrait de remettre la science des observations et des études au centre des décisions.
Jacques de Guillebon (L’Incorrect) raconte les origines et les objectifs de la Convention de la droite qui réunira Éric Zemmour, Marion Maréchal, Laurent Alexandre, Raphaël
Quand la droite aura d’une part récupéré ses concepts, d’autre part su s’adapter à son monde, alors elle pourra redevenir une force politique.
Celui qui veut s’inspirer du programme RPR-UDF de 1990 fait partie de ces voix dissonantes, mais grossissant chaque jour davantage, des élus LR qui préfèrent dialoguer avec Marion Maréchal plutôt qu’avec Emmanuel Macron.
Comme François Hollande dans sa tournée des supermarchés, l’ex-Président, ex-patron d’une droite en coma dépassé, dispose d’un fan-club qui ne raterait sa dédicace pour rien au monde.
Le mondialisme social-démocrate de Macron est en tous points opposé à cette trilogie droitière du patriotisme, du conservatisme et du libéralisme.
La France doit se redresser, et pour cela, elle a besoin d’une droite à l’idéologie forte.
Plutôt que de définir ce qu’est la droite, ceux qui ne se reconnaissent pas dans les idées de gauche doivent bâtir leur propre corpus et éviter de s’engager dans des impasses.
Nous attendons Clemenceau, espérons de Gaulle ; certains les imaginent en jupon, les uns sortant la carte de la tante, les autres celle de la nièce…
Il faut donc utiliser les mêmes armes que Macron pour le mettre hors circuit : le dominer intellectuellement, et c’est tout à fait possible.
Est-il concevable aussi, sans être qualifié de fasciste, de glisser dans la réflexion la piste d’une union des droites…
Au lendemain de la défaite des Républicains aux élections européennes, le mouvement réunissait un bureau politique pour envisager l’avenir. Entre tentation de garder une ligne
En France, le libéral-conservatisme est une impasse.
En matière de contre-attaque intellectuelle et culturelle, nous n’en sommes qu’aux balbutiements.
L’hypothèse dextrogyre, qui proclame la cohérence idéologique entre la sauvegarde de l’identité et le conservatisme sociétal, est théoriquement stimulante mais semble inopérante dans la réalité.
Plus un homme politique de droite se rapproche de l’orée du grand territoire sylvestre dans lequel se sont réfugiés les plus sages des druides de notre civilisation, plus il est taxé de populisme…
L’enjeu, pour la droite, est donc de se réinventer ou de disparaître.
Les partis de droite sont idéologiquement aux antipodes de la droite authentique.
L’ancien responsable des Jeunes avec Calmels explique, au micro de Boulevard Voltaire, les raisons de sa démission. Il juge la numéro 2 de LR « trop
Le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) – plus vieux parti de la droite, car fondé en 1949 – a décidé de rejoindre la
L’ambiguïté conduit à faire voter un conservateur de province pour un candidat jacobin, étatiste et peu soucieux des valeurs et de la défense de la famille.
Ce serait une nouvelle étape dans la recomposition politique en cours.