ecole
Finement écrit, le film est porté par des acteurs de talent, dont Grégory Gadebois et Alexandra Lamy, inattendue.
La piste d’anciens élèves est explorée.
La proportion d’adultes ne maîtrisant pas la langue est relativement importante et inquiétante.
Le réalisateur fait l’état des lieux – déplorable – de nos écoles laïques occidentales soumises à la pression de l’islam
En matière de laïcité, le personnel éducatif n’est pas toujours exemplaire.
Ne pas subir, c’est bien le cap de BV quand les attaques se multiplient contre ce que nous sommes.
Qui a eu cette idée folle un jour d’inventer l’école…
Dans les établissements publics comme privés, l’islam gagne du terrain.
Cette décision signe donc à la fois l’échec patent du modèle éducatif français, l’échec patent de son système judiciaire… et l’utilisation un peu hasardeuse des derniers moyens disponibles pour faire illusion…
L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.
Une attitude de matamore sécuritaire qui, à coup d’effets de manche, évite de s’attaquer à la source de cette violence et de cette délinquance juvéniles.
Juché sur ce champ de ruines, l’homme de la démolition de l’Éducation nationale pouvait en effet se permettre un dernier cours, une petite leçon d’histoire manipulée à Gabrielle Cluzel.
À l’uniforme, cet ancien inspecteur de l’Éducation nationale suggère également d’ajouter un rétablissement de l’autorité au sein des établissements scolaires.
Les médias tournent en boucle sur la pénurie d’enseignants. Ce qui est étonnant, c’est qu’il en reste encore…
Qui a dit que le nouveau ministre manquait d’efficacité ?
La vie et la jeunesse reviennent. Dès la rentrée de septembre, une quinzaine d’élèves en blouses grises empliront de leurs cris et de leurs jeux la cour de récréation aujourd’hui silencieuse.
Ce rapport passe, en revanche, sous silence les problèmes essentiels de l’école élémentaire, non pas volontairement, mais pour la bonne raison que la lettre de mission ne demandait pas de les aborder.
Pour attester de leur bonne foi, les parents peuvent apporter leur filtre de machine à laver afin de le faire examiner par l’institutrice en poste à l’entrée de l’établissement.
À chaque jour sa mesure et sa contre-mesure : régionalisation ou sectorisation ? École obligatoire ou volontaire ? Masque en papier ou en chiffon ? Respirateur ou ventilateur ? Chloroquine ou détergent ?
Cette annonce ministérielle ne présage rien de bon pour la qualité de l’enseignement en école primaire.
Je suis en contact avec des dizaines d’enseignants, je constate donc qu’ils se décarcassent pour que les élèves aient un programme pendant cette période de confinement. Croyez-moi, ce n’est pas simple.
Le contexte invite à questionner le « tout numérique » prôné depuis quelques années par les instances ministérielles successives.
Ici, les élèves portent une blouse, apprennent les mathématiques, l’écriture et la lecture avec une grande rigueur… En cette fin d’année scolaire, Boulevard Voltaire s’est
Finement écrit, le film est porté par des acteurs de talent, dont Grégory Gadebois et Alexandra Lamy, inattendue.
La piste d’anciens élèves est explorée.
La proportion d’adultes ne maîtrisant pas la langue est relativement importante et inquiétante.
Le réalisateur fait l’état des lieux – déplorable – de nos écoles laïques occidentales soumises à la pression de l’islam
En matière de laïcité, le personnel éducatif n’est pas toujours exemplaire.
Ne pas subir, c’est bien le cap de BV quand les attaques se multiplient contre ce que nous sommes.
Qui a eu cette idée folle un jour d’inventer l’école…
Dans les établissements publics comme privés, l’islam gagne du terrain.
Cette décision signe donc à la fois l’échec patent du modèle éducatif français, l’échec patent de son système judiciaire… et l’utilisation un peu hasardeuse des derniers moyens disponibles pour faire illusion…
L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.
Une attitude de matamore sécuritaire qui, à coup d’effets de manche, évite de s’attaquer à la source de cette violence et de cette délinquance juvéniles.
Juché sur ce champ de ruines, l’homme de la démolition de l’Éducation nationale pouvait en effet se permettre un dernier cours, une petite leçon d’histoire manipulée à Gabrielle Cluzel.
À l’uniforme, cet ancien inspecteur de l’Éducation nationale suggère également d’ajouter un rétablissement de l’autorité au sein des établissements scolaires.
Les médias tournent en boucle sur la pénurie d’enseignants. Ce qui est étonnant, c’est qu’il en reste encore…
Qui a dit que le nouveau ministre manquait d’efficacité ?
La vie et la jeunesse reviennent. Dès la rentrée de septembre, une quinzaine d’élèves en blouses grises empliront de leurs cris et de leurs jeux la cour de récréation aujourd’hui silencieuse.
Ce rapport passe, en revanche, sous silence les problèmes essentiels de l’école élémentaire, non pas volontairement, mais pour la bonne raison que la lettre de mission ne demandait pas de les aborder.
Pour attester de leur bonne foi, les parents peuvent apporter leur filtre de machine à laver afin de le faire examiner par l’institutrice en poste à l’entrée de l’établissement.
À chaque jour sa mesure et sa contre-mesure : régionalisation ou sectorisation ? École obligatoire ou volontaire ? Masque en papier ou en chiffon ? Respirateur ou ventilateur ? Chloroquine ou détergent ?
Cette annonce ministérielle ne présage rien de bon pour la qualité de l’enseignement en école primaire.
Je suis en contact avec des dizaines d’enseignants, je constate donc qu’ils se décarcassent pour que les élèves aient un programme pendant cette période de confinement. Croyez-moi, ce n’est pas simple.
Le contexte invite à questionner le « tout numérique » prôné depuis quelques années par les instances ministérielles successives.
Ici, les élèves portent une blouse, apprennent les mathématiques, l’écriture et la lecture avec une grande rigueur… En cette fin d’année scolaire, Boulevard Voltaire s’est
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