Écologie
C’est une autre France, une France qui marche en bottes dans les forêts mais ne glisse pas : pas de ski, pas de patin à roulettes, pas de trottinette ni de skate.
Dans le ciel entre Paris et New York, un ange écolo est passé.
Ces néo-malthusiens reviennent à la charge régulièrement et médiatisent leur refus de fonder une famille pour « sauver la planète ». Fort heureusement, l’Histoire vient contredire ces oiseaux de mauvais augure qui prédisent la fin du monde sur les plateaux de télévision.
La Croix et Kermel portent une lourde responsabilité, que l’on imagine idéologiquement assumée, en publiant une chronique aussi accusatrice vis-à-vis de l’Église déjà suffisamment dans la tourmente d’une part, mais surtout complétement trompeuse sur les plans philosophique et théologique d’autre part.
Pendant que ses ministres insultaient l’Italie, Emmanuel Macron collectait les questions sur Twitter afin d’éclairer les Français sur sa politique en matière d’écologie.
Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…
La déconfiture d’une filière nucléaire française d’excellence est méthodiquement organisée depuis vingt ans par des écologistes sans scrupules.
En confiant tout au politique, on abandonne la science des ingénieurs (celle qui nous faisait faire des plans Mesmer et des révolutions vertes à la Norman Borlaug) pour la science des législateurs.
Certains estiment que son ralliement à Emmanuel Macron fut motivé par son ambition personnelle.
On nous invente aujourd’hui le climato-coupable ennemi de la planète, voué aux vitupérations de Greta Thunberg et désigné à la détestation de jeunes gens manipulés.
L’écologie des agriculteurs est pragmatique, humaine et raisonnable. C’est l’écologie des possibles. Rien à voir avec les écologistes.
Le bilan carbone des familles nombreuses serait quasiment un crime contre la nature. Il conviendrait, pour y remédier, de réduire drastiquement les naissances. Rien n’est plus faux dans ce « principe » qui a pourtant suffisamment la vie dure pour conduire certains écologistes à ne pas vouloir d’enfants.
C’est donc dans l’illégalité complète que ce groupe défend le climat.
Comme en mai 1968, ce discours émane de jeunes élites gâtées formées par un système qu’elles haïssent et non de classes populaires pour qui la fin du mois l’emporte sur la fin du monde.
Mais que font ces paysans, si ce n’est obéir aux injonctions successives et contradictoires d’instances leur expliquant comment pratiquer le métier de leurs ancêtres ?
En 2019, déjà, il fustigeait la « pensée unique » et son nouveau bréviaire : « Jusqu’à quand les citoyens européens se laisseront-ils dicter par la pensée unique ce qui est bien ou mal ? »
La signature de la « déclaration du droit des arbres » intervient dans le cadre de la présentation du programme « Bordeaux grandeur nature » prévoyant la plantation de 1.600 arbres sur l’ensemble de la commune.
Le Président aurait pu évoquer ce qui reste de la filière industrielle française, dangereusement menacée par des lobbies écolos parfaitement irresponsables de l’économie du pays. Qui les défend ?
Au printemps 2019, un collectif mené par l’ONG Sherpa (dirigée par Cécile Duflot) mettait Total en demeure de « prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques majeurs liés au changement climatique ».
L’impôt sur le revenu sera fixé jusqu’à 80 % du salaire, l’impôt sur la fortune s’appliquera à quiconque aura un compte en banque dans un établissement non bio.
« Après la police de la pensée républicaine, nous voici dans l’ère de la police alimentaire et de l’antispécisme radical ».
Dans cet entretien, l’essayiste Max-Erwann Gastineau explique que l’écologie peut être de droite. Démontrant les contradictions de l’écologie punitive et prenant l’exemple de l’éolienne, il
Il est vrai qu’on sait de longue date que la pauvreté demeure la dignité des pauvres, au contraire des riches pour lesquels l’argent n’a souvent pas d’odeur. D’où ces beautiful people se faisant une gloire de mépriser les salles de bain…
Après trois semaines de débats, les députés ont voté les articles du texte de la loi Climat et Résilience proposé par le gouvernement. Philippe Herlin
Certains auront peut-être relevé, dans la presse, la destruction, par les services municipaux de la ville de Paris, de la magnifique glycine centenaire du restaurant Chez Plumeau, place du tertre à Paris.
Si ce référendum arrivait à se faire, gageons que la lucidité du peuple l’emporterait et emporterait avec elle les chimères de l’actuel gouvernement.
N’en déplaise à certains Verts, l’écologie demeure « conservatrice » par essence, puisque consistant justement à « conserver » ce qui peut l’être encore, face au rouleau compresseur de la modernité mondialisée…
Un documentaire Arte disponible depuis le 4 février met en lumière le combat de Blythe Pepino, cette activiste à l’origine du collectif BirthStrike.
C’est une autre France, une France qui marche en bottes dans les forêts mais ne glisse pas : pas de ski, pas de patin à roulettes, pas de trottinette ni de skate.
Dans le ciel entre Paris et New York, un ange écolo est passé.
Ces néo-malthusiens reviennent à la charge régulièrement et médiatisent leur refus de fonder une famille pour « sauver la planète ». Fort heureusement, l’Histoire vient contredire ces oiseaux de mauvais augure qui prédisent la fin du monde sur les plateaux de télévision.
La Croix et Kermel portent une lourde responsabilité, que l’on imagine idéologiquement assumée, en publiant une chronique aussi accusatrice vis-à-vis de l’Église déjà suffisamment dans la tourmente d’une part, mais surtout complétement trompeuse sur les plans philosophique et théologique d’autre part.
Pendant que ses ministres insultaient l’Italie, Emmanuel Macron collectait les questions sur Twitter afin d’éclairer les Français sur sa politique en matière d’écologie.
Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…
La déconfiture d’une filière nucléaire française d’excellence est méthodiquement organisée depuis vingt ans par des écologistes sans scrupules.
En confiant tout au politique, on abandonne la science des ingénieurs (celle qui nous faisait faire des plans Mesmer et des révolutions vertes à la Norman Borlaug) pour la science des législateurs.
Certains estiment que son ralliement à Emmanuel Macron fut motivé par son ambition personnelle.
On nous invente aujourd’hui le climato-coupable ennemi de la planète, voué aux vitupérations de Greta Thunberg et désigné à la détestation de jeunes gens manipulés.
L’écologie des agriculteurs est pragmatique, humaine et raisonnable. C’est l’écologie des possibles. Rien à voir avec les écologistes.
Le bilan carbone des familles nombreuses serait quasiment un crime contre la nature. Il conviendrait, pour y remédier, de réduire drastiquement les naissances. Rien n’est plus faux dans ce « principe » qui a pourtant suffisamment la vie dure pour conduire certains écologistes à ne pas vouloir d’enfants.
C’est donc dans l’illégalité complète que ce groupe défend le climat.
Comme en mai 1968, ce discours émane de jeunes élites gâtées formées par un système qu’elles haïssent et non de classes populaires pour qui la fin du mois l’emporte sur la fin du monde.
Mais que font ces paysans, si ce n’est obéir aux injonctions successives et contradictoires d’instances leur expliquant comment pratiquer le métier de leurs ancêtres ?
En 2019, déjà, il fustigeait la « pensée unique » et son nouveau bréviaire : « Jusqu’à quand les citoyens européens se laisseront-ils dicter par la pensée unique ce qui est bien ou mal ? »
La signature de la « déclaration du droit des arbres » intervient dans le cadre de la présentation du programme « Bordeaux grandeur nature » prévoyant la plantation de 1.600 arbres sur l’ensemble de la commune.
Le Président aurait pu évoquer ce qui reste de la filière industrielle française, dangereusement menacée par des lobbies écolos parfaitement irresponsables de l’économie du pays. Qui les défend ?
Au printemps 2019, un collectif mené par l’ONG Sherpa (dirigée par Cécile Duflot) mettait Total en demeure de « prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques majeurs liés au changement climatique ».
L’impôt sur le revenu sera fixé jusqu’à 80 % du salaire, l’impôt sur la fortune s’appliquera à quiconque aura un compte en banque dans un établissement non bio.
« Après la police de la pensée républicaine, nous voici dans l’ère de la police alimentaire et de l’antispécisme radical ».
Dans cet entretien, l’essayiste Max-Erwann Gastineau explique que l’écologie peut être de droite. Démontrant les contradictions de l’écologie punitive et prenant l’exemple de l’éolienne, il
Il est vrai qu’on sait de longue date que la pauvreté demeure la dignité des pauvres, au contraire des riches pour lesquels l’argent n’a souvent pas d’odeur. D’où ces beautiful people se faisant une gloire de mépriser les salles de bain…
Après trois semaines de débats, les députés ont voté les articles du texte de la loi Climat et Résilience proposé par le gouvernement. Philippe Herlin
Certains auront peut-être relevé, dans la presse, la destruction, par les services municipaux de la ville de Paris, de la magnifique glycine centenaire du restaurant Chez Plumeau, place du tertre à Paris.
Si ce référendum arrivait à se faire, gageons que la lucidité du peuple l’emporterait et emporterait avec elle les chimères de l’actuel gouvernement.
N’en déplaise à certains Verts, l’écologie demeure « conservatrice » par essence, puisque consistant justement à « conserver » ce qui peut l’être encore, face au rouleau compresseur de la modernité mondialisée…
Un documentaire Arte disponible depuis le 4 février met en lumière le combat de Blythe Pepino, cette activiste à l’origine du collectif BirthStrike.
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