Écologie
Toutes ces mesures sont-elles donc nécessaires compte tenu de l’impact absolument négligeable qu’elles auront sur le climat, et de l’impact absolument conséquent qu’elles auront sur notre économie ?
Les valeurs de droite se fondent sur la certitude qu’il existe une harmonie éternelle entre la nature et la société qui doit, pour se pérenniser, adopter un esprit de mesure.
Le but est-il donc de donner aux élèves les bases scientifiques nécessaires pour poursuivre des études supérieures ou d’aller grossir les rangs des lycéens qui font grève pour le climat ?
L’enseignement du respect de la nature aux enfants est louable, mais a-t-il besoin de ce décorum propagandiste ?
Déçues par l’espérance socialiste, les âmes simples gobent aujourd’hui la nouvelle utopie qu’on leur tend, avec l’hameçon, le fil et la canne…
Face aux mondialistes et autres promoteurs de l’uniformisation marchande, nous devons promouvoir l’enracinement et le localisme.
Nous pensons donc, a contrario de ce que dit la dame énervée, qu’il est urgent d’organiser de vrais débats.
Le pays réel plutôt que Tricatel.
Autrefois, Jérôme Savonarole prédisait l’enfer à ceux qui ne se repentaient pas à temps. Maintenant, on nous promet de mourir grillé ou asphyxié si on n’aide pas le lobby vert à instaurer sa « dictature » écologique.
Au programme de ce goûter d’enfants : l’écologie.
C’est d’écologie du tiroir-caisse qu’il est question.
La transition écologique est trop souvent réduite à la seule nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.
La véritable écologie n’a pas de parti.
À quand une grande mobilisation internationale pour sauver le ver de terre ?
Ces jours-ci, les grands financiers de la planète sont rassemblés dans la très chic station de Davos, dans les Grisons suisses.
Éteindre l’espèce humaine au nom de la défense de l’environnement, voilà une idée à laquelle il fallait penser.
L’écologie est devenue incontournable. Pour certains, on n’en fait pas assez. Pour d’autres, on en fait trop. Quoi qu’il en soit, elle est devenue clivante, parfois délirante.
Tout cela, c’est du concret, pas du discours d’écolos d’opérette pour justifier un matraquage fiscal.
Interdire, c’est tellement bon.
Une critique écologique de l’immigration trouverait totalement sa place.
Pourquoi serait-il immoral de tuer un sanglier, pour s’en nourrir, et moral de tuer un insecte parce qu’il nous importune, voire simplement parce que nous en aurions peur ?
Pourquoi pas Bardot, qui sonne comme Hulot, et n’aime rien tant que les animaux…
En vérité, les Californiens font depuis des années leur miel de tous les délires écologistes…
Nicolas Hulot veut réintroduire deux ourses femelles, à l’automne, dans le massif pyrénéen.
Vivons avec nos animaux sauvages plutôt que contre eux !
Loin d’être un prétexte électoraliste, l’écologie est d’abord une « science de la complexité des systèmes ».
Toutes ces mesures sont-elles donc nécessaires compte tenu de l’impact absolument négligeable qu’elles auront sur le climat, et de l’impact absolument conséquent qu’elles auront sur notre économie ?
Les valeurs de droite se fondent sur la certitude qu’il existe une harmonie éternelle entre la nature et la société qui doit, pour se pérenniser, adopter un esprit de mesure.
Le but est-il donc de donner aux élèves les bases scientifiques nécessaires pour poursuivre des études supérieures ou d’aller grossir les rangs des lycéens qui font grève pour le climat ?
L’enseignement du respect de la nature aux enfants est louable, mais a-t-il besoin de ce décorum propagandiste ?
Déçues par l’espérance socialiste, les âmes simples gobent aujourd’hui la nouvelle utopie qu’on leur tend, avec l’hameçon, le fil et la canne…
Face aux mondialistes et autres promoteurs de l’uniformisation marchande, nous devons promouvoir l’enracinement et le localisme.
Nous pensons donc, a contrario de ce que dit la dame énervée, qu’il est urgent d’organiser de vrais débats.
Le pays réel plutôt que Tricatel.
Autrefois, Jérôme Savonarole prédisait l’enfer à ceux qui ne se repentaient pas à temps. Maintenant, on nous promet de mourir grillé ou asphyxié si on n’aide pas le lobby vert à instaurer sa « dictature » écologique.
Au programme de ce goûter d’enfants : l’écologie.
C’est d’écologie du tiroir-caisse qu’il est question.
La transition écologique est trop souvent réduite à la seule nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.
La véritable écologie n’a pas de parti.
À quand une grande mobilisation internationale pour sauver le ver de terre ?
Ces jours-ci, les grands financiers de la planète sont rassemblés dans la très chic station de Davos, dans les Grisons suisses.
Éteindre l’espèce humaine au nom de la défense de l’environnement, voilà une idée à laquelle il fallait penser.
L’écologie est devenue incontournable. Pour certains, on n’en fait pas assez. Pour d’autres, on en fait trop. Quoi qu’il en soit, elle est devenue clivante, parfois délirante.
Tout cela, c’est du concret, pas du discours d’écolos d’opérette pour justifier un matraquage fiscal.
Interdire, c’est tellement bon.
Une critique écologique de l’immigration trouverait totalement sa place.
Pourquoi serait-il immoral de tuer un sanglier, pour s’en nourrir, et moral de tuer un insecte parce qu’il nous importune, voire simplement parce que nous en aurions peur ?
Pourquoi pas Bardot, qui sonne comme Hulot, et n’aime rien tant que les animaux…
En vérité, les Californiens font depuis des années leur miel de tous les délires écologistes…
Nicolas Hulot veut réintroduire deux ourses femelles, à l’automne, dans le massif pyrénéen.
Vivons avec nos animaux sauvages plutôt que contre eux !
Loin d’être un prétexte électoraliste, l’écologie est d’abord une « science de la complexité des systèmes ».
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