écriture inclusive
Cette conversion n’est pas convaincante.
Le Sénat discute, le même jour, de ce volapuk de plus en plus intrusif : cette même écriture inclusive.
Le Sénat a adopté le 25 octobre en commission une proposition de loi pour interdire cette forme d’écriture.
Deux députés RN, Roger Chudeau et Hervé de Lépinau, ont eu une première passe d’armes en commission, ce 4 octobre.
Apparue récemment dans certains examens, l’écriture inclusive suscite la polémique.
Les arguments des magistrats ne reposent sur aucun parti pris moral ou idéologique.
Penchés sur les locutions incongrues, les étudiants tentèrent de déchiffrer le message envoyé de tout là haut.
Dis-moi comment tu écris, je te dirai qui tu es.
Cette manière de revisiter la langue sous prétexte de mettre le féminin à égalité avec le masculin, loin de défendre la cause des femmes, n’est qu’un révélateur de conformisme idéologique et de bêtise.
La gauche, par essence, est le parti du contraire, du renversement : incapable d’inventer un contre-modèle, elle crée des anti-modèles.
Avec la refonte du français, on ne défend pas les opprimés, on leur écrase la tête dans le sable.
Que Macron donne le la ne signifie pas, bien au contraire, que ce soit un exemple à suivre.
Une circulaire, émanant, cette fois, du ministre Jean-Michel Blanquer, proscrit le point médian de l’apprentissage de la langue.
Il est vrai que depuis la Révolution et la naissance de la gauche, grand paradoxe, on a vu très peu de femmes exercer un pouvoir en France, pour ne pas dire aucune.
Étudiants et professeurs doivent désormais se soumettre à la graphie inclusive sous peine d’être pénalisés.
Après l’Académie, après Onfray récemment, ce sont 32 linguistes de la Sorbonne, du CNRS, etc., qui disent, ce 18 septembre, et avec raison, leur mépris envers les créationnistes de l’inclusivité linguale…
Jusqu’où ira-t-on dans la déraison ? Une frange extrémiste fait la loi, en tout, pour tout, partout.
La succession de points médians et de finales entrelacées gêne la lecture et retarde la compréhension.
Quand on dénature une langue, c’est souvent le reflet d’une altération profonde de la culture et de l’identité…
Outre le bûcheronnage, l’industrie du sac de nœuds redémarre.
Les écolos de Lyon inaugurent leur mandat par une banale et tristounette adoption de l’écriture inclusive pour la communication de la ville. Franchement, petits bras, ces écolos !
Cette conversion n’est pas convaincante.
Le Sénat discute, le même jour, de ce volapuk de plus en plus intrusif : cette même écriture inclusive.
Le Sénat a adopté le 25 octobre en commission une proposition de loi pour interdire cette forme d’écriture.
Deux députés RN, Roger Chudeau et Hervé de Lépinau, ont eu une première passe d’armes en commission, ce 4 octobre.
Apparue récemment dans certains examens, l’écriture inclusive suscite la polémique.
Les arguments des magistrats ne reposent sur aucun parti pris moral ou idéologique.
Penchés sur les locutions incongrues, les étudiants tentèrent de déchiffrer le message envoyé de tout là haut.
Dis-moi comment tu écris, je te dirai qui tu es.
Cette manière de revisiter la langue sous prétexte de mettre le féminin à égalité avec le masculin, loin de défendre la cause des femmes, n’est qu’un révélateur de conformisme idéologique et de bêtise.
La gauche, par essence, est le parti du contraire, du renversement : incapable d’inventer un contre-modèle, elle crée des anti-modèles.
Avec la refonte du français, on ne défend pas les opprimés, on leur écrase la tête dans le sable.
Que Macron donne le la ne signifie pas, bien au contraire, que ce soit un exemple à suivre.
Une circulaire, émanant, cette fois, du ministre Jean-Michel Blanquer, proscrit le point médian de l’apprentissage de la langue.
Il est vrai que depuis la Révolution et la naissance de la gauche, grand paradoxe, on a vu très peu de femmes exercer un pouvoir en France, pour ne pas dire aucune.
Étudiants et professeurs doivent désormais se soumettre à la graphie inclusive sous peine d’être pénalisés.
Après l’Académie, après Onfray récemment, ce sont 32 linguistes de la Sorbonne, du CNRS, etc., qui disent, ce 18 septembre, et avec raison, leur mépris envers les créationnistes de l’inclusivité linguale…
Jusqu’où ira-t-on dans la déraison ? Une frange extrémiste fait la loi, en tout, pour tout, partout.
La succession de points médians et de finales entrelacées gêne la lecture et retarde la compréhension.
Quand on dénature une langue, c’est souvent le reflet d’une altération profonde de la culture et de l’identité…
Outre le bûcheronnage, l’industrie du sac de nœuds redémarre.
Les écolos de Lyon inaugurent leur mandat par une banale et tristounette adoption de l’écriture inclusive pour la communication de la ville. Franchement, petits bras, ces écolos !
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