élections américaines
Alors que Donald Trump vient de recevoir le soutien de R.F. Kennedy, la justice pénale américaine relance l’offensive
Le New York Times appelle Biden à se retirer de la course présidentielle.
On assiste à une dépolarisation raciale et au transfert d’une part grandissante de l’électorat de couleur vers Trump.
Nikki Haley, qui devrait annoncer officiellement sa candidature le 15 février prochain, a le sens du marketing politique et cherche à jouer de ses différences auprès des électeurs et des médias.
Si, bien entendu, sa candidature reste fragile en raison de ses multiples affaires, on notera malgré tout l’étonnante résistance de celui qui reste, à ce stade, le seul candidat républicain déclaré.
Ce 3 janvier 2023, le Californien Kevin McCarthy n’a pas pu rassembler sur son nom la nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants. En cause, des trumpistes et ultras qui reprochent à McCarthy de ne pas avoir des convictions assez fermes.
Ce constat, nombre de nos confrères l’ont déjà dressé : il n’y a plus rien à négocier entre ces deux Amérique.
Le comité d’audit de Maricopa (Arizona) a annoncé, mercredi 9 juin 2021, qu’il est sur le point d’achever sa mission, trois palettes seulement restant à
L’historien décrypte au micro de BV les questions suscitées par le score de Biden, au regard des fraudes massives avérées.
La victoire ne sera prononcée officiellement que 15 jours plus tard, par le Sénat qui aura procédé au dépouillement…
Pour longtemps encore, les décisions de la nouvelle équipe seront comparées à la précédente ligne Trump sur l’économie…
L’Amérique est fracturée en deux camps dont la vision du monde diffère en tout point.
L’homme censé être le plus puissant du monde se trouve publiquement humilié par ce quatrième pouvoir en passe de devenir le premier
Au micro de Boulevard Voltaire, André Bercoff analyse les élections présidentielles aux États-Unis et s’interroge, en particulier, sur le manque d’objectivité des médias vis-à-vis de
À part Rasmussen Report, institut considéré comme proche des conservateurs, aucun autre institut n’avait prévu un résultat aussi serré.
Le raz de marée démocrate annoncé par les médias n’a pas eu lieu.
les démocrates n’ont jamais accepté que le peuple américain, par la voix de leurs délégués, n’ait pas choisi leur candidate Hillary Clinton, en dépit du matraquage médiatique.
C’est peu de prétendre que la mort de Jacob Blake, Afro-Américain, frappé de sept balles dans le dos par des policiers de Kenosha (Wisconsin), n’en finit plus d’enflammer les rues et les esprits américains.
Trump doit maintenant annihiler cette peur de l’apocalypse cultivée contre lui par la classe des privilégiés. Ses vrais ennemis.
Joe Biden, candidat démocrate à la présidence des USA, a déclaré : « […] Je vais vous dire, si vous avez un problème pour décider si vous êtes pour moi ou pour Trump, alors vous n’êtes pas Noir. »
D’où vient le coup ? Pas de Trump qui a tout intérêt à conserver Biden.
L’élection va probablement se réduire à un choix entre le désigné de l’establishment, Biden, qui sera manipulé via sa future vice-présidente par le clan Obama, et Trump…
Leur arme n’est pas l’argument, mais la culpabilisation…
Une masse d’électeurs du « marais », qui n’ont pas l’habitude de se déranger pour les primaires, ont cette fois-ci pris leur pick-up pour aller soutenir celui que notre radio de service public qualifie de président « blanc raciste ouvert et avéré »…
Buttigieg a l’appui de Wall Street (il a travaillé chez McKinsey), se présente comme un « modéré » provincial et anti-Washington…
C’est chose faite : le mouton noir a été acquitté, mais pas tout à fait dans la gloire…
Le sort de Trump est désormais entre les mains des républicains du Sénat qui tissent la corde qui soutient le pendu.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.
Alors que Donald Trump vient de recevoir le soutien de R.F. Kennedy, la justice pénale américaine relance l’offensive
Le New York Times appelle Biden à se retirer de la course présidentielle.
On assiste à une dépolarisation raciale et au transfert d’une part grandissante de l’électorat de couleur vers Trump.
Nikki Haley, qui devrait annoncer officiellement sa candidature le 15 février prochain, a le sens du marketing politique et cherche à jouer de ses différences auprès des électeurs et des médias.
Si, bien entendu, sa candidature reste fragile en raison de ses multiples affaires, on notera malgré tout l’étonnante résistance de celui qui reste, à ce stade, le seul candidat républicain déclaré.
Ce 3 janvier 2023, le Californien Kevin McCarthy n’a pas pu rassembler sur son nom la nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants. En cause, des trumpistes et ultras qui reprochent à McCarthy de ne pas avoir des convictions assez fermes.
Ce constat, nombre de nos confrères l’ont déjà dressé : il n’y a plus rien à négocier entre ces deux Amérique.
Le comité d’audit de Maricopa (Arizona) a annoncé, mercredi 9 juin 2021, qu’il est sur le point d’achever sa mission, trois palettes seulement restant à
L’historien décrypte au micro de BV les questions suscitées par le score de Biden, au regard des fraudes massives avérées.
La victoire ne sera prononcée officiellement que 15 jours plus tard, par le Sénat qui aura procédé au dépouillement…
Pour longtemps encore, les décisions de la nouvelle équipe seront comparées à la précédente ligne Trump sur l’économie…
L’Amérique est fracturée en deux camps dont la vision du monde diffère en tout point.
L’homme censé être le plus puissant du monde se trouve publiquement humilié par ce quatrième pouvoir en passe de devenir le premier
Au micro de Boulevard Voltaire, André Bercoff analyse les élections présidentielles aux États-Unis et s’interroge, en particulier, sur le manque d’objectivité des médias vis-à-vis de
À part Rasmussen Report, institut considéré comme proche des conservateurs, aucun autre institut n’avait prévu un résultat aussi serré.
Le raz de marée démocrate annoncé par les médias n’a pas eu lieu.
les démocrates n’ont jamais accepté que le peuple américain, par la voix de leurs délégués, n’ait pas choisi leur candidate Hillary Clinton, en dépit du matraquage médiatique.
C’est peu de prétendre que la mort de Jacob Blake, Afro-Américain, frappé de sept balles dans le dos par des policiers de Kenosha (Wisconsin), n’en finit plus d’enflammer les rues et les esprits américains.
Trump doit maintenant annihiler cette peur de l’apocalypse cultivée contre lui par la classe des privilégiés. Ses vrais ennemis.
Joe Biden, candidat démocrate à la présidence des USA, a déclaré : « […] Je vais vous dire, si vous avez un problème pour décider si vous êtes pour moi ou pour Trump, alors vous n’êtes pas Noir. »
D’où vient le coup ? Pas de Trump qui a tout intérêt à conserver Biden.
L’élection va probablement se réduire à un choix entre le désigné de l’establishment, Biden, qui sera manipulé via sa future vice-présidente par le clan Obama, et Trump…
Leur arme n’est pas l’argument, mais la culpabilisation…
Une masse d’électeurs du « marais », qui n’ont pas l’habitude de se déranger pour les primaires, ont cette fois-ci pris leur pick-up pour aller soutenir celui que notre radio de service public qualifie de président « blanc raciste ouvert et avéré »…
Buttigieg a l’appui de Wall Street (il a travaillé chez McKinsey), se présente comme un « modéré » provincial et anti-Washington…
C’est chose faite : le mouton noir a été acquitté, mais pas tout à fait dans la gloire…
Le sort de Trump est désormais entre les mains des républicains du Sénat qui tissent la corde qui soutient le pendu.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.