Élections en Italie
La droite italienne gagne ou est en ballottage favorable quand elle est unie en coalition. Puisse l’exemple de la droite française ne pas être suivi par nos voisins italiens…
Que nos frères italiens ne nous tiennent pas trop rigueur de cette lamentable vignette de la culture française
Plus que jamais, le maître du jeu, c’est Salvini.
Si on ajoute le coup de fil entre Salvini et Orbán, on comprend qu’à New York, on soit inquiet !
« Ta g…, c’est nous qui décidons ce qui est bon pour notre pays », vient de dire l’Italie à Bruno Le Maire.
La déclaration du commissaire européen Oettinger « Les marchés vont apprendre aux Italiens à bien voter », prévue pour s’insérer dans une amélioration des taux à attisé l’incendie.
Les intérêts financiers en jeu sont colossaux. Bien plus que 40 deniers.
Pourquoi voter, puisqu’un seul choix est possible ?
L’Italie occupe le devant de la scène politique ; le Mouvement 5 étoiles et la Lega, grands vainqueurs des dernières élections, ont présenté un candidat
Légitimité populaire contre orthodoxie technocratique, partout en Europe l’affrontement est de plus en plus explicite.
Mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron, qui ne pourra plus compter sur l’Italie de Matteo Renzi.
La commedia dell’arte pourrait tourner au vinaigre assez vite.
Les élections italiennes de mars 2018 ont retenti comme un coup de tonnerre en Europe.
Comme cela était prévisible, les élections italiennes ont été marquées par un énorme rejet de la classe politique européiste qui est responsable de l’invasion migratoire.
Celui dont le slogan de campagne était « stop à l’invasion » bouscule trop d’idées reçues
Les médias mainstream ont déjà commencé leur propagande européiste. Le vote des Italiens ne leur convient guère.
Comme son clone Alain Minc, voilà bien quarante ans qu’Attali a table ouverte dans les médias de toute sorte pour nous asséner la fulgurance de ses analyses.
Comme en France, les « vieux partis » du bipartisme sont désavoués, mais en l’absence de coup d’Etat médiatico-judiciaire, c’est une vague inverse qui s’est levée, essentiellement hostile à la caste dirigeante.
Le journaliste italien Matteo Gaduelo analyse au micro de Boulevard Voltaire les résultats des élections législatives chez nos voisins transalpins et dessine les différents scénarios possibles.
Le grand vainqueur de ce scrutin demeure évidemment le mouvement populiste 5 Étoiles (M5S), fondé par l’humoriste Beppe Grillo, et dont la tête de liste, Luigi di Maio, obtient un score de 32 %.
Les violences antifascistes se sont intensifiées jusqu’au vil et brutal lynchage d’un représentant de Forza Nuova, mardi 20 février en plein centre de Palerme.
La droite italienne gagne ou est en ballottage favorable quand elle est unie en coalition. Puisse l’exemple de la droite française ne pas être suivi par nos voisins italiens…
Que nos frères italiens ne nous tiennent pas trop rigueur de cette lamentable vignette de la culture française
Plus que jamais, le maître du jeu, c’est Salvini.
Si on ajoute le coup de fil entre Salvini et Orbán, on comprend qu’à New York, on soit inquiet !
« Ta g…, c’est nous qui décidons ce qui est bon pour notre pays », vient de dire l’Italie à Bruno Le Maire.
La déclaration du commissaire européen Oettinger « Les marchés vont apprendre aux Italiens à bien voter », prévue pour s’insérer dans une amélioration des taux à attisé l’incendie.
Les intérêts financiers en jeu sont colossaux. Bien plus que 40 deniers.
Pourquoi voter, puisqu’un seul choix est possible ?
L’Italie occupe le devant de la scène politique ; le Mouvement 5 étoiles et la Lega, grands vainqueurs des dernières élections, ont présenté un candidat
Légitimité populaire contre orthodoxie technocratique, partout en Europe l’affrontement est de plus en plus explicite.
Mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron, qui ne pourra plus compter sur l’Italie de Matteo Renzi.
La commedia dell’arte pourrait tourner au vinaigre assez vite.
Les élections italiennes de mars 2018 ont retenti comme un coup de tonnerre en Europe.
Comme cela était prévisible, les élections italiennes ont été marquées par un énorme rejet de la classe politique européiste qui est responsable de l’invasion migratoire.
Celui dont le slogan de campagne était « stop à l’invasion » bouscule trop d’idées reçues
Les médias mainstream ont déjà commencé leur propagande européiste. Le vote des Italiens ne leur convient guère.
Comme son clone Alain Minc, voilà bien quarante ans qu’Attali a table ouverte dans les médias de toute sorte pour nous asséner la fulgurance de ses analyses.
Comme en France, les « vieux partis » du bipartisme sont désavoués, mais en l’absence de coup d’Etat médiatico-judiciaire, c’est une vague inverse qui s’est levée, essentiellement hostile à la caste dirigeante.
Le journaliste italien Matteo Gaduelo analyse au micro de Boulevard Voltaire les résultats des élections législatives chez nos voisins transalpins et dessine les différents scénarios possibles.
Le grand vainqueur de ce scrutin demeure évidemment le mouvement populiste 5 Étoiles (M5S), fondé par l’humoriste Beppe Grillo, et dont la tête de liste, Luigi di Maio, obtient un score de 32 %.
Les violences antifascistes se sont intensifiées jusqu’au vil et brutal lynchage d’un représentant de Forza Nuova, mardi 20 février en plein centre de Palerme.
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