élections législatives
Une réalité qui nous rapproche peut-être des pires heures de la Révolution française.
Selon le sénateur Le Rudulier, cette pratique renforce « l’aversion des Français pour la vie politique. »
« Mes grands-parents étaient agriculteurs. J’ai une certaine sensibilité au monde agricole, j’en connais les enjeux. »
Pour ces catholiques, le vote « extrême droite » est un vote rempart contre l’effondrement de la société chrétienne.
Pour le Planning familial, le RN menacerait le droit des femmes. Pourtant, ce vote a fortement progressé chez les femmes
Ses attitudes jupitériennes, son mépris du peuple comme des institutions, son obsession du « en même temps », son dédain d’un pays qui ne l’intéresse que comme composante européenne… la liste est longue des raisons de la déconfiture.
Cette formalité réglée, qu’a fait Emmanuel Macron ? Rien. Surtout ne pas bouger une oreille, voilà la règle qui prévaut au sommet de l’État.
On notera le recul du Hezbollah (13 sièges) et de ses alliés, ce qui va l’empêcher d’avoir la majorité au Parlement.
Selon Le Figaro, Manuel Valls vise plus haut, plus grand, plus pétaradant : Matignon ?
Une réalité qui nous rapproche peut-être des pires heures de la Révolution française.
Selon le sénateur Le Rudulier, cette pratique renforce « l’aversion des Français pour la vie politique. »
« Mes grands-parents étaient agriculteurs. J’ai une certaine sensibilité au monde agricole, j’en connais les enjeux. »
Pour ces catholiques, le vote « extrême droite » est un vote rempart contre l’effondrement de la société chrétienne.
Pour le Planning familial, le RN menacerait le droit des femmes. Pourtant, ce vote a fortement progressé chez les femmes
Ses attitudes jupitériennes, son mépris du peuple comme des institutions, son obsession du « en même temps », son dédain d’un pays qui ne l’intéresse que comme composante européenne… la liste est longue des raisons de la déconfiture.
Cette formalité réglée, qu’a fait Emmanuel Macron ? Rien. Surtout ne pas bouger une oreille, voilà la règle qui prévaut au sommet de l’État.
On notera le recul du Hezbollah (13 sièges) et de ses alliés, ce qui va l’empêcher d’avoir la majorité au Parlement.
Selon Le Figaro, Manuel Valls vise plus haut, plus grand, plus pétaradant : Matignon ?