Élections présidentielles en France 2022
Pour Boulevard Voltaire, Laurent Dandrieu, rédacteur en chef à Valeurs actuelles et auteur d’un livre sur l’Eglise et l’immigration, se penche sur l’évolution du vote catholique en analysant les résultats des élections présidentielles. Un électorat plein de promesses.
Ah, les bugs… On se souvient de ceux du fameux logiciel LOUVOIS, le « logiciel unique à vocation interarmées de la solde » qui a mis l’armée à terre, il y a quelques années.
Avec « l’extrême centre », la politique est remplacée par le management dont le maître mot est l’efficacité
Le spectre de ce rendez-vous majeur revient donc à ce moment crucial. Car Marine Le Pen est systématiquement donnée perdante dans les derniers sondages d’intentions de vote. Et pourtant, rien n’est joué, Marine Le Pen et Emmanuel Macron le savent.
Quel paradoxe ! Le candidat le plus jeune, qui promettait le « nouveau monde », a été porté, dans cette présidentielle… par les Français les plus âgés.
Pour Guillaume Peltier, interrogé par Boulevard Voltaire : « Cela ne va pas se faire en six mois. Il faut accepter avec humilité et endurance que cela va prendre du temps. »
À 17 h, la participation était en baisse de plus de 4 points par rapport à 2017 et 2012, à 65 % seulement. À midi,
Tous les Français qui vont voter Éric Zemmour sont conscients qu’il n’y aura qu’un candidat au second tour qui prendra en compte leurs angoisses ou leurs préoccupations.
Elle pourrait atteindre le plus haut niveau jamais enregistré pour une élection présidentielle.
Comment enrayer une mauvaise tendance qui paraît inéluctable ?
De l’Olympe est venue l’annonce de la réévaluation du point de l’indice de rémunération des fonctions publiques !
Dans un Grand Palais de Lille plein à craquer, le candidat Reconquête a annoncé une nouvelle mesure phare de son programme : la « prime zéro charge ».
Ces élections auront-elles lieu dans des conditions normales ? C’est votre interrogation principale et elle en dit long sur le climat qui règne en France après cinq ans de pouvoir d’Emmanuel Macron. Car la confiance ne se décrète pas, elle se mérite.
Entre 35.000 et 40.000 élus sur 42.000 refusent de donner leur signature aux candidats à la présidentielle. Ils évoquent mille raisons mais, au fond, ils n’en ont qu’une : ils ont peur.
Compte tenu de l’impopularité d’Emmanuel Macron et de l’usure du pouvoir, l’évolution de la candidature de Valérie Pécresse devrait être observée avec attention.
Les Français s’inquiètent pour leur pays. Trois sur quatre (74%) considèrent que « La France est en déclin », un chiffre en hausse. Ils pensent que « l’Islam est une menace pour l’identité » du pays (68%).
Écarté faute d’avoir réuni le nombre nécessaire de signatures d’élus, l’entrepreneur et homme politique Denis Payre dénonce un système inéquitable. Il dépose un recours auprès
Il faut se méfier des additions électorales faites sur un coin de table à six mois de l’élection.
Le think-tank établit une classification des angoisses existentielles françaises : angoisses climatique, sanitaire, migratoire, économique, sociale, appuyées sur le constat d’un déclassement de la France.
« Que voulons-nous conserver ? J’ai essayé de faire une petite liste »
Robert Ménard dénonce l’abandon, par l’État, de certains quartiers « à des gens qui se croient tout permis ». Interrogé sur les rumeurs de candidature
Les déclarations ou intentions de candidatures à la présidentielle se multiplient, dans les rangs de la gauche : après Jean-Luc Mélenchon, c’est Anne Hidalgo, Philippe
Si la république allait autant de soi, pourquoi, à chaque crise traversée par cette dernière, la figure d’un chef militaire s’est systématiquement imposée en dernier recours ?
La France est moralement dans un état de ruine, mais bizarrement, personne dans la classe politique n’émerge comme opposant à Macron.
Si ce n’est pas une revanche à prendre sur l’élection présidentielle de 2007, ça y ressemble bigrement.
Sera-t-il candidat à l’élection présidentielle de 2022 ?
Macron aimerait voir l’élection se dérouler tant que la situation est encore mitigée, car dans deux ans, elle sera probablement si catastrophique qu’il se voit déjà conspué dans les urnes, voire dans l’incapacité de se représenter.
Mais la stratégie mi droite-mi gauche, signature de ce mandat qui n’a décidément rien de neuf, se voit contrecarrée par un puissant mouvement ni droite ni gauche, authentiquement a-partisan, trans-courant, et qui pourrait jouer au chamboule-tout de la prochaine kermesse présidentielle !
Pour Boulevard Voltaire, Laurent Dandrieu, rédacteur en chef à Valeurs actuelles et auteur d’un livre sur l’Eglise et l’immigration, se penche sur l’évolution du vote catholique en analysant les résultats des élections présidentielles. Un électorat plein de promesses.
Ah, les bugs… On se souvient de ceux du fameux logiciel LOUVOIS, le « logiciel unique à vocation interarmées de la solde » qui a mis l’armée à terre, il y a quelques années.
Avec « l’extrême centre », la politique est remplacée par le management dont le maître mot est l’efficacité
Le spectre de ce rendez-vous majeur revient donc à ce moment crucial. Car Marine Le Pen est systématiquement donnée perdante dans les derniers sondages d’intentions de vote. Et pourtant, rien n’est joué, Marine Le Pen et Emmanuel Macron le savent.
Quel paradoxe ! Le candidat le plus jeune, qui promettait le « nouveau monde », a été porté, dans cette présidentielle… par les Français les plus âgés.
Pour Guillaume Peltier, interrogé par Boulevard Voltaire : « Cela ne va pas se faire en six mois. Il faut accepter avec humilité et endurance que cela va prendre du temps. »
À 17 h, la participation était en baisse de plus de 4 points par rapport à 2017 et 2012, à 65 % seulement. À midi,
Tous les Français qui vont voter Éric Zemmour sont conscients qu’il n’y aura qu’un candidat au second tour qui prendra en compte leurs angoisses ou leurs préoccupations.
Elle pourrait atteindre le plus haut niveau jamais enregistré pour une élection présidentielle.
Comment enrayer une mauvaise tendance qui paraît inéluctable ?
De l’Olympe est venue l’annonce de la réévaluation du point de l’indice de rémunération des fonctions publiques !
Dans un Grand Palais de Lille plein à craquer, le candidat Reconquête a annoncé une nouvelle mesure phare de son programme : la « prime zéro charge ».
Ces élections auront-elles lieu dans des conditions normales ? C’est votre interrogation principale et elle en dit long sur le climat qui règne en France après cinq ans de pouvoir d’Emmanuel Macron. Car la confiance ne se décrète pas, elle se mérite.
Entre 35.000 et 40.000 élus sur 42.000 refusent de donner leur signature aux candidats à la présidentielle. Ils évoquent mille raisons mais, au fond, ils n’en ont qu’une : ils ont peur.
Compte tenu de l’impopularité d’Emmanuel Macron et de l’usure du pouvoir, l’évolution de la candidature de Valérie Pécresse devrait être observée avec attention.
Les Français s’inquiètent pour leur pays. Trois sur quatre (74%) considèrent que « La France est en déclin », un chiffre en hausse. Ils pensent que « l’Islam est une menace pour l’identité » du pays (68%).
Écarté faute d’avoir réuni le nombre nécessaire de signatures d’élus, l’entrepreneur et homme politique Denis Payre dénonce un système inéquitable. Il dépose un recours auprès
Il faut se méfier des additions électorales faites sur un coin de table à six mois de l’élection.
Le think-tank établit une classification des angoisses existentielles françaises : angoisses climatique, sanitaire, migratoire, économique, sociale, appuyées sur le constat d’un déclassement de la France.
« Que voulons-nous conserver ? J’ai essayé de faire une petite liste »
Robert Ménard dénonce l’abandon, par l’État, de certains quartiers « à des gens qui se croient tout permis ». Interrogé sur les rumeurs de candidature
Les déclarations ou intentions de candidatures à la présidentielle se multiplient, dans les rangs de la gauche : après Jean-Luc Mélenchon, c’est Anne Hidalgo, Philippe
Si la république allait autant de soi, pourquoi, à chaque crise traversée par cette dernière, la figure d’un chef militaire s’est systématiquement imposée en dernier recours ?
La France est moralement dans un état de ruine, mais bizarrement, personne dans la classe politique n’émerge comme opposant à Macron.
Si ce n’est pas une revanche à prendre sur l’élection présidentielle de 2007, ça y ressemble bigrement.
Sera-t-il candidat à l’élection présidentielle de 2022 ?
Macron aimerait voir l’élection se dérouler tant que la situation est encore mitigée, car dans deux ans, elle sera probablement si catastrophique qu’il se voit déjà conspué dans les urnes, voire dans l’incapacité de se représenter.
Mais la stratégie mi droite-mi gauche, signature de ce mandat qui n’a décidément rien de neuf, se voit contrecarrée par un puissant mouvement ni droite ni gauche, authentiquement a-partisan, trans-courant, et qui pourrait jouer au chamboule-tout de la prochaine kermesse présidentielle !
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