Élections présidentielles en France 2022
Ce sondage ne nous dit, en fait, qu’une seule chose : les Français ont tourné la page Macron et ne souhaitent pas en écrire une autre avec lui. Ils sont en attente
Devant l’impopularité calcifiée d’Emmanuel Macron, l’hebdomadaire a eu l’idée de prendre sa lanterne et de rechercher, avec Ipsos, « qui ferait mieux que lui »…
À deux ans et demi de l’échéance, la stratégie du face-à-face exclusif avec Marine Le Pen pourrait se révéler un piège pour Emmanuel Macron.
Duhamel ne dit jamais rien, mais il le dit bien.
Depuis qu’Emmanuel Macron a compris qu’un second tour face à Marine Le Pen, en 2022, serait peut-être autre chose qu’une simple formalité, ça carbure du neurone…
Robert Ménard ne s’en est jamais caché, il est un pragmatique, préférant le concret incarné au jus de cerveau éthéré. C’est le devoir de réalité qui a d’ailleurs motivé sa « conversion ».
Les bottes en caoutchouc de Trump, la percussion de Farage, le franc-parler de Salvini : l’animal coche toutes les cases.
Trois années pour changer la donne. C’est court…
Il a tort quand il présente comme un épouvantail un éventuel « duel Macron-Le Pen en 2022 ».
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Ce sondage ne nous dit, en fait, qu’une seule chose : les Français ont tourné la page Macron et ne souhaitent pas en écrire une autre avec lui. Ils sont en attente
Devant l’impopularité calcifiée d’Emmanuel Macron, l’hebdomadaire a eu l’idée de prendre sa lanterne et de rechercher, avec Ipsos, « qui ferait mieux que lui »…
À deux ans et demi de l’échéance, la stratégie du face-à-face exclusif avec Marine Le Pen pourrait se révéler un piège pour Emmanuel Macron.
Duhamel ne dit jamais rien, mais il le dit bien.
Depuis qu’Emmanuel Macron a compris qu’un second tour face à Marine Le Pen, en 2022, serait peut-être autre chose qu’une simple formalité, ça carbure du neurone…
Robert Ménard ne s’en est jamais caché, il est un pragmatique, préférant le concret incarné au jus de cerveau éthéré. C’est le devoir de réalité qui a d’ailleurs motivé sa « conversion ».
Les bottes en caoutchouc de Trump, la percussion de Farage, le franc-parler de Salvini : l’animal coche toutes les cases.
Trois années pour changer la donne. C’est court…
Il a tort quand il présente comme un épouvantail un éventuel « duel Macron-Le Pen en 2022 ».
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