Électricité
« L’argent ne tombe pas du ciel », dit le ministre de l’Économie.
Et pourtant la politique énergétique de la France continue d’être attaquée par des ONG fondamentalistes.
Le conflit Hamas-Israël a tout écrasé dans l’actualité, et pas seulement les punaises de lit.
L’Espagne et le Portugal ont trouvé le moyen de les contourner. La France doit faire de même.
Mi-2021, la flambée des prix du gaz a sifflé la fin de la récréation.
Une des questions qui me taraudent est celle de l’électricité « propre ».
Concrètement, selon le gouvernement, la hausse représentera une augmentation moyenne d’environ 160 euros par an.
En imposant une doctrine libérale à un secteur inadapté, en supportant l’arrivée des ENR dans le mix électrique et en encourageant l’arrivée d’une myriade de fournisseurs alternatifs, l’Union européenne planta le décor d’une tragédie annoncée !
En ajoutant des sources intermittentes, l’Europe a de facto créé un marché principalement gouverné par… Dame Nature.
Il est affligeant de voir la France suivre la Commission européenne, qui cherche à en combattre les effets désastreux par des moyens aussi surprenants qu’inefficaces, au lieu de dénoncer cette tarification.
Élisabeth Borne annoncera, mercredi, les nouveaux contours du bouclier tarifaire et les hausses de prix du gaz et de l’électricité auxquelles les Français devront faire face prochainement
Alors on se prend à rêver : et si les citoyens européens se mobilisaient ? S’ils prenaient conscience qu’ils sont les dindons de cette sale farce ?
Quelqu’un a-t-il remarqué ce phénomène étrange ? Lorsque vous voyagez dans l’Union européenne, au moment de recharger votre téléphone, vous risquez de constater que… la
Alors ? Alors, on apprend aujourd’hui qu’il va y avoir des trous dans le bouclier tarifaire.
Cette opération vantée par le gouvernement n’est pourtant qu’un jeu de vases communicants dans la mesure où l’État possède 84 % du capital d’EDF. Son manque à gagner est, par construction, un manque à gagner pour le contribuable.
Nous sommes très mal partis si la France ne déclare pas solennellement qu’elle reprend sa souveraineté dans les trois domaines intimement liés de la défense nationale, du nucléaire et de l’énergie.
Le problème, avec le nucléaire, c’est que l’on est dans l’idéologie et non dans la raison scientifique.
Il était autrefois l’EDF. Créée au lendemain de la guerre, elle était un État dans l’État, mais aussi une entreprise dont les ingénieurs dirigeants avaient compris que l’énergie disponible est le facteur fondamental qui permet le développement économique d’un pays.
La restauration laisse des milliers d’employés et de patrons sur le carreau du fait de l’explosion des factures
« L’argent ne tombe pas du ciel », dit le ministre de l’Économie.
Et pourtant la politique énergétique de la France continue d’être attaquée par des ONG fondamentalistes.
Le conflit Hamas-Israël a tout écrasé dans l’actualité, et pas seulement les punaises de lit.
L’Espagne et le Portugal ont trouvé le moyen de les contourner. La France doit faire de même.
Mi-2021, la flambée des prix du gaz a sifflé la fin de la récréation.
Une des questions qui me taraudent est celle de l’électricité « propre ».
Concrètement, selon le gouvernement, la hausse représentera une augmentation moyenne d’environ 160 euros par an.
En imposant une doctrine libérale à un secteur inadapté, en supportant l’arrivée des ENR dans le mix électrique et en encourageant l’arrivée d’une myriade de fournisseurs alternatifs, l’Union européenne planta le décor d’une tragédie annoncée !
En ajoutant des sources intermittentes, l’Europe a de facto créé un marché principalement gouverné par… Dame Nature.
Il est affligeant de voir la France suivre la Commission européenne, qui cherche à en combattre les effets désastreux par des moyens aussi surprenants qu’inefficaces, au lieu de dénoncer cette tarification.
Élisabeth Borne annoncera, mercredi, les nouveaux contours du bouclier tarifaire et les hausses de prix du gaz et de l’électricité auxquelles les Français devront faire face prochainement
Alors on se prend à rêver : et si les citoyens européens se mobilisaient ? S’ils prenaient conscience qu’ils sont les dindons de cette sale farce ?
Quelqu’un a-t-il remarqué ce phénomène étrange ? Lorsque vous voyagez dans l’Union européenne, au moment de recharger votre téléphone, vous risquez de constater que… la
Alors ? Alors, on apprend aujourd’hui qu’il va y avoir des trous dans le bouclier tarifaire.
Cette opération vantée par le gouvernement n’est pourtant qu’un jeu de vases communicants dans la mesure où l’État possède 84 % du capital d’EDF. Son manque à gagner est, par construction, un manque à gagner pour le contribuable.
Nous sommes très mal partis si la France ne déclare pas solennellement qu’elle reprend sa souveraineté dans les trois domaines intimement liés de la défense nationale, du nucléaire et de l’énergie.
Le problème, avec le nucléaire, c’est que l’on est dans l’idéologie et non dans la raison scientifique.
Il était autrefois l’EDF. Créée au lendemain de la guerre, elle était un État dans l’État, mais aussi une entreprise dont les ingénieurs dirigeants avaient compris que l’énergie disponible est le facteur fondamental qui permet le développement économique d’un pays.
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