éleveurs

Une semaine après la suspension de l’autorisation d’effarouchement des ours sur l’estive du Col d’Escots, par le Tribunal administratif, plus de 200 personnes se sont rassemblées le 12 août devant la sous-préfecture de St-Girons.

Comme il faut sauver nos boulangers et nos arboriculteurs, il faut sauver nos éleveurs.

Une semaine après la suspension de l’autorisation d’effarouchement des ours sur l’estive du Col d’Escots, par le Tribunal administratif, plus de 200 personnes se sont rassemblées le 12 août devant la sous-préfecture de St-Girons.

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