Elon Musk
On se demande quels prodiges devra encore accomplir Elon Musk pour que les médias le traitent avec objectivité.
Après Quotidien et Anne Hidalgo, c’est au tour de Salomé Saqué et Ouest-France de quitter X. Elon Musk préfère en rire.
Cette bévue s’inscrit dans un large mouvement de révolte des élites contre le réseau social américain X.
Pour Libération, c’est simple : « Il y a un trumpiste dans le gouvernement ! »
Avec ses histoires d’horreur, Hollande a donné le frisson aux socialistes réunis en université d’été.
La loi de 1881 imposait une liberté absolue de la presse et des médias. On sort totalement de ce schéma.
Elon Musk défend la liberté d’expression, Thierry Breton tente de la censurer, quitte à faire preuve d’ingérence.
Pour Donald Trump, le Parti démocrate est un parti d’ « imposteurs ». Retour sur un entretien sans langue de bois.
« Lors de son rachat de Twitter, Elon Musk s’était donné pour mission d’y rétablir une liberté d’expression totale »
« C’est diabolique. On prend des enfants qui sont bien en dessous de l’âge du consentement »
Il affiche ouvertement son soutien à Trump. Avec X, Elon Musk sait qu’il dispose d’un outil d’influence considérable.
Il ne se cache pas de partager les positions du Parti républicain en matière d’immigration et de wokisme notamment.
Un document détaille les critères sans lesquels un projet de film ou de série ne peut pas être validé.
Message exactement à l’opposé de celui délivré le même jour par le patron du MEDEF…
Reconverti en reporter de terrain anti-immigration, Musk s’est rendu, ces derniers jours, à la frontière mexicaine.
Cette sortie d’Elon Musk rappelle l’emprise du transactivisme sur le langage.
Tendre bruyamment la main à l’Américain tout en le crossant derrière le paravent : le plan de Macron prend l’eau.
En cas d’infraction aux règles européennes, le réseau social pourrait être banni
Il ne s’agit toutefois pas d’un échec pour l’entreprise d’Elon Musk
D’un côté, l’ingénieur surdoué, visionnaire, de l’autre, l’étudiant attardé, presque trentenaire et encore chômeur
On peut penser ce que l’on veut d’Elon Musk : brillant, cinglé, génial, facho, illisible, inspirant, insupportable… mais on ne peut pas lui enlever un certain franc-parler.
Les médias mainstream tremblent de peur de perdre ce pouvoir magique de décider qui est raciste, extrémiste ou complotiste.
N’en déplaise à ses détracteurs, Musk est le gentil dans une superproduction Marvel, pas le méchant.
Il donne ainsi du crédit au premier rival de Donald Trump chez les républicains.
« Vox populi, vox Dei », a réagi Elon Musk après l’annonce des résultats de son sondage.
Depuis le rachat de Twitter par le milliardaire Elon Musk, qui appelle à voter républicain, on sent les pays occidentaux et les instances supranationales un peu gênés aux entournures.
Derrière cette affaire de gros sous, impossible de ne pas voir planer l’ombre de la politique américaine.
On se demande quels prodiges devra encore accomplir Elon Musk pour que les médias le traitent avec objectivité.
Après Quotidien et Anne Hidalgo, c’est au tour de Salomé Saqué et Ouest-France de quitter X. Elon Musk préfère en rire.
Cette bévue s’inscrit dans un large mouvement de révolte des élites contre le réseau social américain X.
Pour Libération, c’est simple : « Il y a un trumpiste dans le gouvernement ! »
Avec ses histoires d’horreur, Hollande a donné le frisson aux socialistes réunis en université d’été.
La loi de 1881 imposait une liberté absolue de la presse et des médias. On sort totalement de ce schéma.
Elon Musk défend la liberté d’expression, Thierry Breton tente de la censurer, quitte à faire preuve d’ingérence.
Pour Donald Trump, le Parti démocrate est un parti d’ « imposteurs ». Retour sur un entretien sans langue de bois.
« Lors de son rachat de Twitter, Elon Musk s’était donné pour mission d’y rétablir une liberté d’expression totale »
« C’est diabolique. On prend des enfants qui sont bien en dessous de l’âge du consentement »
Il affiche ouvertement son soutien à Trump. Avec X, Elon Musk sait qu’il dispose d’un outil d’influence considérable.
Il ne se cache pas de partager les positions du Parti républicain en matière d’immigration et de wokisme notamment.
Un document détaille les critères sans lesquels un projet de film ou de série ne peut pas être validé.
Message exactement à l’opposé de celui délivré le même jour par le patron du MEDEF…
Reconverti en reporter de terrain anti-immigration, Musk s’est rendu, ces derniers jours, à la frontière mexicaine.
Cette sortie d’Elon Musk rappelle l’emprise du transactivisme sur le langage.
Tendre bruyamment la main à l’Américain tout en le crossant derrière le paravent : le plan de Macron prend l’eau.
En cas d’infraction aux règles européennes, le réseau social pourrait être banni
Il ne s’agit toutefois pas d’un échec pour l’entreprise d’Elon Musk
D’un côté, l’ingénieur surdoué, visionnaire, de l’autre, l’étudiant attardé, presque trentenaire et encore chômeur
On peut penser ce que l’on veut d’Elon Musk : brillant, cinglé, génial, facho, illisible, inspirant, insupportable… mais on ne peut pas lui enlever un certain franc-parler.
Les médias mainstream tremblent de peur de perdre ce pouvoir magique de décider qui est raciste, extrémiste ou complotiste.
N’en déplaise à ses détracteurs, Musk est le gentil dans une superproduction Marvel, pas le méchant.
Il donne ainsi du crédit au premier rival de Donald Trump chez les républicains.
« Vox populi, vox Dei », a réagi Elon Musk après l’annonce des résultats de son sondage.
Depuis le rachat de Twitter par le milliardaire Elon Musk, qui appelle à voter républicain, on sent les pays occidentaux et les instances supranationales un peu gênés aux entournures.
Derrière cette affaire de gros sous, impossible de ne pas voir planer l’ombre de la politique américaine.