Elon Musk

Reconverti en reporter de terrain anti-immigration, Musk s’est rendu, ces derniers jours, à la frontière mexicaine.

Cette sortie d’Elon Musk rappelle l’emprise du transactivisme sur le langage.

Tendre bruyamment la main à l’Américain tout en le crossant derrière le paravent : le plan de Macron prend l’eau.

En cas d’infraction aux règles européennes, le réseau social pourrait être banni
Il ne s’agit toutefois pas d’un échec pour l’entreprise d’Elon Musk

D’un côté, l’ingénieur surdoué, visionnaire, de l’autre, l’étudiant attardé, presque trentenaire et encore chômeur

On peut penser ce que l’on veut d’Elon Musk : brillant, cinglé, génial, facho, illisible, inspirant, insupportable… mais on ne peut pas lui enlever un certain franc-parler.

Les médias mainstream tremblent de peur de perdre ce pouvoir magique de décider qui est raciste, extrémiste ou complotiste.

N’en déplaise à ses détracteurs, Musk est le gentil dans une superproduction Marvel, pas le méchant.

Il donne ainsi du crédit au premier rival de Donald Trump chez les républicains.

« Vox populi, vox Dei », a réagi Elon Musk après l’annonce des résultats de son sondage.

Depuis le rachat de Twitter par le milliardaire Elon Musk, qui appelle à voter républicain, on sent les pays occidentaux et les instances supranationales un peu gênés aux entournures.

Pourquoi une telle polémique ?

Derrière cette affaire de gros sous, impossible de ne pas voir planer l’ombre de la politique américaine.
Elon Musk, fondateur des entreprises SpaceX et Tesla et père de dix enfants, vient d’exhorter les sociétés à faible natalité à avoir plus d’enfants pour faire face à « la crise des bébés ».

Elon Musk vient d’annoncer, sur Twitter, avoir voté républicain pour la première fois de sa vie, ce 14 juin.

Ces mésaventures auront-elles (pour de bon) ouvert les yeux du milliardaire sur l’idéologie insidieuse de la gauche ?

Si Twitter ne compte pas 5 % mais 20, 30, voire 50 % de faux utilisateurs, c’est la place réelle des réseaux sociaux dans nos vies, et dans la vie de la cité, qui sera remise en question !
L’entrepreneur dit attendre les détails sur les spams faux comptes présents sur le réseau social.

Quelle est bonne, l’odeur de roussi, quand l’arsenal de torréfaction des cerveaux de la wokosphère médiatique commence à se consumer sous nos yeux !

L’espoir suscité n’empêche pas les commentateurs de s’interroger sur les embûches. Les ennemis sont partout. Comment va donc s’y prendre le milliardaire ? Et tout d’abord en interne ?

Comme tout bon censeur dont cet entre-deux-tours n’a jamais manqué, le professeur distribue les bons et les mauvais points, et brandit le spectre de la menace.

Les bonnes consciences de la gauche française ont trouvé un deuxième méchant. Vincent Bolloré se sentira moins seul.

Le serial entrepreneur à succès veut faire de Twitter un forum au sens premier du terme, c’est à dire une place publique sur laquelle tout un chacun peut dire ce qu’il veut, sans être inquiété en aucune manière.

Fort d’une fortune personnelle (en actions) estimée à 250 milliards de dollars, il s’est dit prêt à gager Tesla pour dégager le cash nécessaire à l’achat de Twitter…

Bien que le défi semblât évoquer un match de boxe ou une quelconque rixe au corps à corps, l’homme d’affaires n’a pas encore précisé la nature exacte de la discipline sportive par laquelle il souhaitait en finir.

On imagine sans peine ce que donnerait un Big Brother planant au-dessus de nos têtes…

Selon lui, les confinements généralisés sont « contraires à l’éthique » et sont comparables à une « détention à domicile de facto »

Reconverti en reporter de terrain anti-immigration, Musk s’est rendu, ces derniers jours, à la frontière mexicaine.

Cette sortie d’Elon Musk rappelle l’emprise du transactivisme sur le langage.

Tendre bruyamment la main à l’Américain tout en le crossant derrière le paravent : le plan de Macron prend l’eau.

En cas d’infraction aux règles européennes, le réseau social pourrait être banni
Il ne s’agit toutefois pas d’un échec pour l’entreprise d’Elon Musk

D’un côté, l’ingénieur surdoué, visionnaire, de l’autre, l’étudiant attardé, presque trentenaire et encore chômeur

On peut penser ce que l’on veut d’Elon Musk : brillant, cinglé, génial, facho, illisible, inspirant, insupportable… mais on ne peut pas lui enlever un certain franc-parler.

Les médias mainstream tremblent de peur de perdre ce pouvoir magique de décider qui est raciste, extrémiste ou complotiste.

N’en déplaise à ses détracteurs, Musk est le gentil dans une superproduction Marvel, pas le méchant.

Il donne ainsi du crédit au premier rival de Donald Trump chez les républicains.

« Vox populi, vox Dei », a réagi Elon Musk après l’annonce des résultats de son sondage.

Depuis le rachat de Twitter par le milliardaire Elon Musk, qui appelle à voter républicain, on sent les pays occidentaux et les instances supranationales un peu gênés aux entournures.

Pourquoi une telle polémique ?

Derrière cette affaire de gros sous, impossible de ne pas voir planer l’ombre de la politique américaine.
Elon Musk, fondateur des entreprises SpaceX et Tesla et père de dix enfants, vient d’exhorter les sociétés à faible natalité à avoir plus d’enfants pour faire face à « la crise des bébés ».

Elon Musk vient d’annoncer, sur Twitter, avoir voté républicain pour la première fois de sa vie, ce 14 juin.

Ces mésaventures auront-elles (pour de bon) ouvert les yeux du milliardaire sur l’idéologie insidieuse de la gauche ?

Si Twitter ne compte pas 5 % mais 20, 30, voire 50 % de faux utilisateurs, c’est la place réelle des réseaux sociaux dans nos vies, et dans la vie de la cité, qui sera remise en question !
L’entrepreneur dit attendre les détails sur les spams faux comptes présents sur le réseau social.

Quelle est bonne, l’odeur de roussi, quand l’arsenal de torréfaction des cerveaux de la wokosphère médiatique commence à se consumer sous nos yeux !

L’espoir suscité n’empêche pas les commentateurs de s’interroger sur les embûches. Les ennemis sont partout. Comment va donc s’y prendre le milliardaire ? Et tout d’abord en interne ?

Comme tout bon censeur dont cet entre-deux-tours n’a jamais manqué, le professeur distribue les bons et les mauvais points, et brandit le spectre de la menace.

Les bonnes consciences de la gauche française ont trouvé un deuxième méchant. Vincent Bolloré se sentira moins seul.

Le serial entrepreneur à succès veut faire de Twitter un forum au sens premier du terme, c’est à dire une place publique sur laquelle tout un chacun peut dire ce qu’il veut, sans être inquiété en aucune manière.

Fort d’une fortune personnelle (en actions) estimée à 250 milliards de dollars, il s’est dit prêt à gager Tesla pour dégager le cash nécessaire à l’achat de Twitter…

Bien que le défi semblât évoquer un match de boxe ou une quelconque rixe au corps à corps, l’homme d’affaires n’a pas encore précisé la nature exacte de la discipline sportive par laquelle il souhaitait en finir.

On imagine sans peine ce que donnerait un Big Brother planant au-dessus de nos têtes…

Selon lui, les confinements généralisés sont « contraires à l’éthique » et sont comparables à une « détention à domicile de facto »
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