Emmanuel Macron
À qui, d’Emmanuel Macron ou de Marine Le Pen, les Français font-ils le plus confiance ?
Le courage est bien la vertu qui manque à ces quatre leçons sans frontières…
La décision de supprimer l’ENA est bien une décision typique… d’énarque.
C’est ainsi qu’on apprend que l’Histoire est tragique par nature et qu’un conseil d’administration ne saurait tenir lieu de gouvernement.
D’emblée, notons qu’on ne va pas chercher ses références historiques au rayon des seconds couteaux dans ce petit monde.
Y avait-t-il vraiment besoin, cette année, d’inventer des poissons d’avril, au milieu de l’hystérie ambiante ?
Le 31 mars à 20 heures, le Président Marcon a annoncé, avec le ton télévangélique qui le caractérise, un reconfinement national, mais nettement plus allégé qu’en mars 2020.
Ces cartes bilingues en disent long sur la soumission idéologique d’Emanuel Macron au monde anglo-saxon…
Jupiter chez lui.
Repentance injuste, d’abord, parce que la chute du régime sanguinaire d’un tyran psychopathe ne peut pas n’avoir que des conséquences négatives.
Un Macron ne s’excuse jamais, puisqu’il ne se trompe jamais !
Décidément, l’humilité est une valeur en hausse dans le monde politique et quelque chose me dit qu’on n’a pas finit d’en entendre parler pour 2022.
Le calendrier fait parfois bien les choses…
Le pape François, perpétuant la politique de Jean-Paul II et de Benoît XVI, a pris son bâton de pèlerin pour entamer un dialogue direct avec ses « homologues » musulmans.
Ceci est un pur produit du « en même temps ».
La réalité rattrape toujours les fautes, les chimères et fictions des politiques…
La Macronie, sans grande finesse, investit massivement le public « jeune ».
Va falloir essayer de se réinventer, les filles, de trouver autre chose, les gars.
Quant à la repentance française, elle alimentera chez de nombreux jeunes d’origine algérienne le sentiment de leur identité victimaire propre à justifier leur séparatisme.
Il y a des élus qui ne font rien qu’à embêter Emmanuel Macron.
Ou de l’art de faire du vieux avec de l’ancien ; ce qui n’est pas le moindre des paradoxes pour une LREM se parant des atours de la modernité.
Macron effectue un repli stratégique sur la ville de Tulle. Ensemble, ils forment le cercle des Présidents disparus.
Il prétend vouloir transformer la France, mais il la rend difforme et la dissout dans l’européisme et le mondialisme. Il n’aime que lui-même.
Que l’Église de France attende que les échéances électorales soient passées pour accueillir le pape François.
Le chef de l’État a commis une faute lourde contre la France et surtout contre l’Algérie…
Sommes-nous gouvernés ou trahis ?
Mémoire, Histoire et Justice concentrées dans les mains d’un seul homme, c’est peut-être un peu beaucoup.
La vérité, oui, mais toute la vérité !
À qui, d’Emmanuel Macron ou de Marine Le Pen, les Français font-ils le plus confiance ?
Le courage est bien la vertu qui manque à ces quatre leçons sans frontières…
La décision de supprimer l’ENA est bien une décision typique… d’énarque.
C’est ainsi qu’on apprend que l’Histoire est tragique par nature et qu’un conseil d’administration ne saurait tenir lieu de gouvernement.
D’emblée, notons qu’on ne va pas chercher ses références historiques au rayon des seconds couteaux dans ce petit monde.
Y avait-t-il vraiment besoin, cette année, d’inventer des poissons d’avril, au milieu de l’hystérie ambiante ?
Le 31 mars à 20 heures, le Président Marcon a annoncé, avec le ton télévangélique qui le caractérise, un reconfinement national, mais nettement plus allégé qu’en mars 2020.
Ces cartes bilingues en disent long sur la soumission idéologique d’Emanuel Macron au monde anglo-saxon…
Jupiter chez lui.
Repentance injuste, d’abord, parce que la chute du régime sanguinaire d’un tyran psychopathe ne peut pas n’avoir que des conséquences négatives.
Un Macron ne s’excuse jamais, puisqu’il ne se trompe jamais !
Décidément, l’humilité est une valeur en hausse dans le monde politique et quelque chose me dit qu’on n’a pas finit d’en entendre parler pour 2022.
Le calendrier fait parfois bien les choses…
Le pape François, perpétuant la politique de Jean-Paul II et de Benoît XVI, a pris son bâton de pèlerin pour entamer un dialogue direct avec ses « homologues » musulmans.
Ceci est un pur produit du « en même temps ».
La réalité rattrape toujours les fautes, les chimères et fictions des politiques…
La Macronie, sans grande finesse, investit massivement le public « jeune ».
Va falloir essayer de se réinventer, les filles, de trouver autre chose, les gars.
Quant à la repentance française, elle alimentera chez de nombreux jeunes d’origine algérienne le sentiment de leur identité victimaire propre à justifier leur séparatisme.
Il y a des élus qui ne font rien qu’à embêter Emmanuel Macron.
Ou de l’art de faire du vieux avec de l’ancien ; ce qui n’est pas le moindre des paradoxes pour une LREM se parant des atours de la modernité.
Macron effectue un repli stratégique sur la ville de Tulle. Ensemble, ils forment le cercle des Présidents disparus.
Il prétend vouloir transformer la France, mais il la rend difforme et la dissout dans l’européisme et le mondialisme. Il n’aime que lui-même.
Que l’Église de France attende que les échéances électorales soient passées pour accueillir le pape François.
Le chef de l’État a commis une faute lourde contre la France et surtout contre l’Algérie…
Sommes-nous gouvernés ou trahis ?
Mémoire, Histoire et Justice concentrées dans les mains d’un seul homme, c’est peut-être un peu beaucoup.
La vérité, oui, mais toute la vérité !
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