Emmanuel Macron
On se demande, cependant, pourquoi il leur a fallu trois ans pour ne plus supporter une servitude qui s’exerçait dès les origines.
Allez, on tombe la veste, on relève les manches, un coup de main dans les cheveux pour faire décoiffé…
Allait-il marcher sur l’eau et multiplier les pains ?
Quoi de mieux qu’une école primaire pour faire de la pédagogie ?
La réouverture prématurée des établissements scolaires va conduire à des contraintes insupportables…
Le masque, c’est décidément le sparadrap de nos deux Dupond de l’exécutif…
Dernière pierre tombée dans le jardin du Président, du gouvernement et du ministre Blanquer, l’avis de son propre Conseil scientifique, présidé par le professeur Delfraissy, chargé de l’éclairer avant la prise de décision.
L’heure est à la défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et du gouvernement, qui ne semblent pas à la hauteur de la situation.
Faute de combattre la maladie avec une stratégie claire, une thérapeutique efficace, on a seulement pratiqué une gestion hôtelière de la maladie…
On a bien dit qu’il n’y avait rien au-dessus des lois de la République, il est donc logique que la pratique religieuse soit considérée, au mieux, comme une activité sociale secondaire…
Ces mesures risquent fort de créer un sacré bordel, au point qu’on se demande comment Jean-Michel Blanquer a pu les concevoir.
Lorsque la parenthèse du virus se refermera, il faudrait que les Français se rendent compte qu’il sont en guerre et contre de véritables ennemis.
Le Premier ministre a plus que nuancé les annonces présidentielles.
Tout laisse à penser que notre Président a une idée derrière la tête, quand il accorde cet entretien au Financial Times…
On l’aura compris, la gestion de l’après-crise, c’est aussi déblayer le terrain pour qu’Emmanuel Macron en sorte sans séquelles, avec ou sans masque.
Au bout du bout de la comédie dramatique qui nous est présentée depuis le 17 mars… la vérité nous est servie par une interview du Président…
Chassez le matamore, il revient au galop. Tagada, tagada.
Le virus doit être, pour Macron, une sorte d’Austerlitz du verbe.
Tant de rapidité et d’adaptation à l’urgence de la situation épate les fabricants d’éoliennes.
Et, en même temps, que peut-on y faire…
Guillaume Bernard réagit après l’allocution d’Emmanuel Macron, lundi soir. Le président de la République a annoncé un confinement jusqu’au 11 mai au moins, mais rien
La guerre de 1939-45 a engendré l’ONU, on se demande bien de quoi Covid-19 va avorter.
C’est vrai que, dans son rôle de croque-mort en chef, il serait parfait, le bon docteur Salomon.
Si la France pouvait tester sa population et lui permettre d’acheter les masques, tout en maintenant les gestes barrières, nous n’en serions pas à envisager une catastrophe économique, financière et familiale d’une telle ampleur.
Au-delà de la com’, évidemment, les Français attendent des résultats. Vite.
La date du second tour de l’élection municipale plutôt que les possibles avancées vers un traitement efficace.
Cet incident resterait anecdotique s’il n’était pas caractéristique d’une fin de règne.
Le doute commence à s’immiscer au sein de ses propres rangs, tel un autre virus contre lequel la médecine demeure de longue date impuissante : le désamour et la perte de confiance.
On se demande, cependant, pourquoi il leur a fallu trois ans pour ne plus supporter une servitude qui s’exerçait dès les origines.
Allez, on tombe la veste, on relève les manches, un coup de main dans les cheveux pour faire décoiffé…
Allait-il marcher sur l’eau et multiplier les pains ?
Quoi de mieux qu’une école primaire pour faire de la pédagogie ?
La réouverture prématurée des établissements scolaires va conduire à des contraintes insupportables…
Le masque, c’est décidément le sparadrap de nos deux Dupond de l’exécutif…
Dernière pierre tombée dans le jardin du Président, du gouvernement et du ministre Blanquer, l’avis de son propre Conseil scientifique, présidé par le professeur Delfraissy, chargé de l’éclairer avant la prise de décision.
L’heure est à la défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et du gouvernement, qui ne semblent pas à la hauteur de la situation.
Faute de combattre la maladie avec une stratégie claire, une thérapeutique efficace, on a seulement pratiqué une gestion hôtelière de la maladie…
On a bien dit qu’il n’y avait rien au-dessus des lois de la République, il est donc logique que la pratique religieuse soit considérée, au mieux, comme une activité sociale secondaire…
Ces mesures risquent fort de créer un sacré bordel, au point qu’on se demande comment Jean-Michel Blanquer a pu les concevoir.
Lorsque la parenthèse du virus se refermera, il faudrait que les Français se rendent compte qu’il sont en guerre et contre de véritables ennemis.
Le Premier ministre a plus que nuancé les annonces présidentielles.
Tout laisse à penser que notre Président a une idée derrière la tête, quand il accorde cet entretien au Financial Times…
On l’aura compris, la gestion de l’après-crise, c’est aussi déblayer le terrain pour qu’Emmanuel Macron en sorte sans séquelles, avec ou sans masque.
Au bout du bout de la comédie dramatique qui nous est présentée depuis le 17 mars… la vérité nous est servie par une interview du Président…
Chassez le matamore, il revient au galop. Tagada, tagada.
Le virus doit être, pour Macron, une sorte d’Austerlitz du verbe.
Tant de rapidité et d’adaptation à l’urgence de la situation épate les fabricants d’éoliennes.
Et, en même temps, que peut-on y faire…
Guillaume Bernard réagit après l’allocution d’Emmanuel Macron, lundi soir. Le président de la République a annoncé un confinement jusqu’au 11 mai au moins, mais rien
La guerre de 1939-45 a engendré l’ONU, on se demande bien de quoi Covid-19 va avorter.
C’est vrai que, dans son rôle de croque-mort en chef, il serait parfait, le bon docteur Salomon.
Si la France pouvait tester sa population et lui permettre d’acheter les masques, tout en maintenant les gestes barrières, nous n’en serions pas à envisager une catastrophe économique, financière et familiale d’une telle ampleur.
Au-delà de la com’, évidemment, les Français attendent des résultats. Vite.
La date du second tour de l’élection municipale plutôt que les possibles avancées vers un traitement efficace.
Cet incident resterait anecdotique s’il n’était pas caractéristique d’une fin de règne.
Le doute commence à s’immiscer au sein de ses propres rangs, tel un autre virus contre lequel la médecine demeure de longue date impuissante : le désamour et la perte de confiance.
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