Emmanuel Macron
L’impatience de ce pouvoir a définitivement fait perdre patience à une multitude de citoyens ulcérés. De gauche, d’extrême gauche, de droite, d’extrême droite auxquels s’ajoutent les inévitables déçus.
Ce qui accable les macronistes, c’est que, comme tous les nouveaux riches, ils ne connaissent pas le mot « décence ».
Un jeune militant LREM parisien, faisant campagne pour Agnès Buzyn dans le 17e arrondissement à Paris, témoigne des raisons de son engagement au sein du
La politique africaine de Macron nous emmène droit dans un mur de pisé à la vitesse d’un taxi-brousse hors d’âge.
« Vous, vous n’êtes rien ! » Mais au fait, ça ne vous fait penser à rien ?
Du côté de l’internaute qui théorise du complot, l’affaire est entendue. Deux années de suite, les mêmes gens, dans le même salon, allez, allez… À coup sûr, l’Élysée engage des acteurs.
Alors que la judiciarisation de la société envahit tous les actes de la vie quotidienne, les cas flagrants de dévoiement de la justice, entre abus et déni, se multiplient et nuisent à la cohésion sociale.
On nous confie que la stratégie électorale consistera à « changer d’électorat », c’est-à-dire à récupérer à droite ce qu’ils perdent à gauche ; ça, on le sent venir depuis longtemps.
La France a glissé sans s’en rendre compte dans une autocratie, un pouvoir personnel, qui n’est plus du tout une démocratie libérale.
Deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ?
Thermostat de la pièce sur moins douze. Le macronisme entre dans son ère glaciaire.
Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?
S’attaquer au vrai problème, ce serait renforcer la laïcité en lui instaurant une réalité constitutionnelle de neutralité totale dans l’espace public, collectif et politique. Qui en est capable ?
En somme, c’est à la fois abandon et négation du modèle républicain. Et c’est peut-être de là que vient le problème. L’assimilation républicaine n’est plus.
Oui, Brune Poirson a raison, la démocratie dans notre pays s’efface au profit d’un totalitarisme soft. Mais pas pour les raisons qu’elle invoque.
Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?
Emmanuel Macron s’est à nouveau présenté comme le visionnaire et le promoteur d’une Europe forte et indépendante…
L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.
Il voit des espions russes partout !
Décidément cette campagne des municipales est passionnante.
C’est pas « un peu beaucoup » vieux monde, tout ça ?
Complotisme, quand tu nous tiens…
Succédané de politique, le macronisme est le succès d’un technocrate pris à son propre jeu.
Ce que le Président a annoncé à l’issue du quatrième conseil de défense écologique ne satisfait personne.
Emmanuel Macron voulait en finir avec les partis ? C’est chose faite. Le sien avec les autres.
L’humilité ne franchira jamais le seuil de l’Élysée.
Dans un grand discours à l’École de guerre (française, encore), Emmanuel Macron a averti son auditoire que « les intérêts vitaux de la France ont désormais une dimension européenne ».
Peut-on imaginer, alors, qu’un telle loi puisse être instituée contre vents et marées ?
L’impatience de ce pouvoir a définitivement fait perdre patience à une multitude de citoyens ulcérés. De gauche, d’extrême gauche, de droite, d’extrême droite auxquels s’ajoutent les inévitables déçus.
Ce qui accable les macronistes, c’est que, comme tous les nouveaux riches, ils ne connaissent pas le mot « décence ».
Un jeune militant LREM parisien, faisant campagne pour Agnès Buzyn dans le 17e arrondissement à Paris, témoigne des raisons de son engagement au sein du
La politique africaine de Macron nous emmène droit dans un mur de pisé à la vitesse d’un taxi-brousse hors d’âge.
« Vous, vous n’êtes rien ! » Mais au fait, ça ne vous fait penser à rien ?
Du côté de l’internaute qui théorise du complot, l’affaire est entendue. Deux années de suite, les mêmes gens, dans le même salon, allez, allez… À coup sûr, l’Élysée engage des acteurs.
Alors que la judiciarisation de la société envahit tous les actes de la vie quotidienne, les cas flagrants de dévoiement de la justice, entre abus et déni, se multiplient et nuisent à la cohésion sociale.
On nous confie que la stratégie électorale consistera à « changer d’électorat », c’est-à-dire à récupérer à droite ce qu’ils perdent à gauche ; ça, on le sent venir depuis longtemps.
La France a glissé sans s’en rendre compte dans une autocratie, un pouvoir personnel, qui n’est plus du tout une démocratie libérale.
Deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ?
Thermostat de la pièce sur moins douze. Le macronisme entre dans son ère glaciaire.
Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?
S’attaquer au vrai problème, ce serait renforcer la laïcité en lui instaurant une réalité constitutionnelle de neutralité totale dans l’espace public, collectif et politique. Qui en est capable ?
En somme, c’est à la fois abandon et négation du modèle républicain. Et c’est peut-être de là que vient le problème. L’assimilation républicaine n’est plus.
Oui, Brune Poirson a raison, la démocratie dans notre pays s’efface au profit d’un totalitarisme soft. Mais pas pour les raisons qu’elle invoque.
Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?
Emmanuel Macron s’est à nouveau présenté comme le visionnaire et le promoteur d’une Europe forte et indépendante…
L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.
Il voit des espions russes partout !
Décidément cette campagne des municipales est passionnante.
C’est pas « un peu beaucoup » vieux monde, tout ça ?
Complotisme, quand tu nous tiens…
Succédané de politique, le macronisme est le succès d’un technocrate pris à son propre jeu.
Ce que le Président a annoncé à l’issue du quatrième conseil de défense écologique ne satisfait personne.
Emmanuel Macron voulait en finir avec les partis ? C’est chose faite. Le sien avec les autres.
L’humilité ne franchira jamais le seuil de l’Élysée.
Dans un grand discours à l’École de guerre (française, encore), Emmanuel Macron a averti son auditoire que « les intérêts vitaux de la France ont désormais une dimension européenne ».
Peut-on imaginer, alors, qu’un telle loi puisse être instituée contre vents et marées ?
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