Emmanuel Macron
Pour passer de la déconstruction à la proposition, la communication ne suffira pas. Sinon, c’est le vent qui emportera l’OTAN.
En deux déclarations, il vient d’en dire plus que Poutine en 20 ans…
Les Français ont donc flairé le loup dans le flou…
Ces paroles lénifiantes sont les mêmes que celles du directeur, du professeur et de toute la hiérarchie scolaire, qui usent de l’euphémisation pour ne pas avoir à user de la coercition.
Il est donc à mettre au crédit d’Emmanuel Macron d’avoir enfin pris acte de la fin de cette géopolitique du siècle dernier, censée opposer « empire du bien » et « axe du mal ».
La Chine s’étant maintenant bien éveillée, il est urgent que la France sorte de sa torpeur et se remette à produire au moins autant de richesses qu’elle en consomme.
Le Président, en tout cas, ne vend pas la peau de Marine Le Pen avant l’heure.
Benalla n’est pas Pierre Richard, qui ne sait rien mais dira tout.
La France a mis en place un système absurde qui transforme en Français de papiers et en allocataires sociaux une foule étrangère…
La vraie menace est ailleurs : « Le problème, ce n’est pas le voile. Ce sont les dividendes excessifs donnés aux actionnaires. » Non mais…
On ne peut « en même temps » vouloir l’immigration de masse en provenance de pays musulmans et prétendre s’attaquer à l’hydre de l’islamisme.
À deux ans et demi de l’échéance, la stratégie du face-à-face exclusif avec Marine Le Pen pourrait se révéler un piège pour Emmanuel Macron.
On ne crée pas une nation avec des minorités.
La Toussaint 2019 d’Emmanuel Macron, elle aussi, est rouge. De honte, pour ceux qui se souviennent.
Tugdual Denis, directeur adjoint de la rédaction de Valeurs actuelles, s’exprime sur Boulevard Voltaire à l’occasion de l’entretien exclusif qu’Emmanuel Macron leur a accordé dans
Emmanuel Macron est non seulement dépassé, mais très affaibli.
Tout ce qui se passe en Syrie en ce moment n’est, certes, pas du cinéma, mais ressemble diablement à un spectacle conçu et réalisé par les acteurs principaux.
Dans « ce n’est qu’une étape », je sens, pour ma part, un caprice de petit joueur perdant qui ne peut supporter le verdict des réalités.
Une semaine horssol, sans radio ni télé, sans même Boulevard Voltaire. Et, au retour, je m’aperçois que rien n’a changé. Enfin, presque rien.
Lundi matin, sur RTL, le Président de la République s’est exprimé sur l’islamisme et le communautarisme : Valérie Boyer lui répond.
Le peuple attend avec impatience que le pouvoir cesse de tourner autour de ce problème crucial mais l’aborde, l’affronte et communique les moyens de gagner ce combat.
Ce sondage est une mine d’informations, non seulement sur la perception d’Emmanuel Macron, mais aussi, en creux, sur les attentes des Français.
Ce qui est frappant, dans cette évolution de l’opinion publique, c’est qu’elle touche tous les milieux, tous les âges et toutes les couleurs politiques.
Sommes-nous réellement sérieux ? N’est-ce pas la manifestation d’une insupportable hypocrisie ?
Un président de la République ne peut se contenter de fredonner, au sujet du foulard islamique : « Tout va très bien, Madame la Marquise ! »
On peut d’ores et déjà prendre les paris que, dans les semaines et les mois qui vont venir, le port du voile va se propager à grande vitesse dans le pays…
Depuis qu’Emmanuel Macron a compris qu’un second tour face à Marine Le Pen, en 2022, serait peut-être autre chose qu’une simple formalité, ça carbure du neurone…
Ils sont plus soucieux de l’unité de la France que notre Président mondialiste !
Pour passer de la déconstruction à la proposition, la communication ne suffira pas. Sinon, c’est le vent qui emportera l’OTAN.
En deux déclarations, il vient d’en dire plus que Poutine en 20 ans…
Les Français ont donc flairé le loup dans le flou…
Ces paroles lénifiantes sont les mêmes que celles du directeur, du professeur et de toute la hiérarchie scolaire, qui usent de l’euphémisation pour ne pas avoir à user de la coercition.
Il est donc à mettre au crédit d’Emmanuel Macron d’avoir enfin pris acte de la fin de cette géopolitique du siècle dernier, censée opposer « empire du bien » et « axe du mal ».
La Chine s’étant maintenant bien éveillée, il est urgent que la France sorte de sa torpeur et se remette à produire au moins autant de richesses qu’elle en consomme.
Le Président, en tout cas, ne vend pas la peau de Marine Le Pen avant l’heure.
Benalla n’est pas Pierre Richard, qui ne sait rien mais dira tout.
La France a mis en place un système absurde qui transforme en Français de papiers et en allocataires sociaux une foule étrangère…
La vraie menace est ailleurs : « Le problème, ce n’est pas le voile. Ce sont les dividendes excessifs donnés aux actionnaires. » Non mais…
On ne peut « en même temps » vouloir l’immigration de masse en provenance de pays musulmans et prétendre s’attaquer à l’hydre de l’islamisme.
À deux ans et demi de l’échéance, la stratégie du face-à-face exclusif avec Marine Le Pen pourrait se révéler un piège pour Emmanuel Macron.
On ne crée pas une nation avec des minorités.
La Toussaint 2019 d’Emmanuel Macron, elle aussi, est rouge. De honte, pour ceux qui se souviennent.
Tugdual Denis, directeur adjoint de la rédaction de Valeurs actuelles, s’exprime sur Boulevard Voltaire à l’occasion de l’entretien exclusif qu’Emmanuel Macron leur a accordé dans
Emmanuel Macron est non seulement dépassé, mais très affaibli.
Tout ce qui se passe en Syrie en ce moment n’est, certes, pas du cinéma, mais ressemble diablement à un spectacle conçu et réalisé par les acteurs principaux.
Dans « ce n’est qu’une étape », je sens, pour ma part, un caprice de petit joueur perdant qui ne peut supporter le verdict des réalités.
Une semaine horssol, sans radio ni télé, sans même Boulevard Voltaire. Et, au retour, je m’aperçois que rien n’a changé. Enfin, presque rien.
Lundi matin, sur RTL, le Président de la République s’est exprimé sur l’islamisme et le communautarisme : Valérie Boyer lui répond.
Le peuple attend avec impatience que le pouvoir cesse de tourner autour de ce problème crucial mais l’aborde, l’affronte et communique les moyens de gagner ce combat.
Ce sondage est une mine d’informations, non seulement sur la perception d’Emmanuel Macron, mais aussi, en creux, sur les attentes des Français.
Ce qui est frappant, dans cette évolution de l’opinion publique, c’est qu’elle touche tous les milieux, tous les âges et toutes les couleurs politiques.
Sommes-nous réellement sérieux ? N’est-ce pas la manifestation d’une insupportable hypocrisie ?
Un président de la République ne peut se contenter de fredonner, au sujet du foulard islamique : « Tout va très bien, Madame la Marquise ! »
On peut d’ores et déjà prendre les paris que, dans les semaines et les mois qui vont venir, le port du voile va se propager à grande vitesse dans le pays…
Depuis qu’Emmanuel Macron a compris qu’un second tour face à Marine Le Pen, en 2022, serait peut-être autre chose qu’une simple formalité, ça carbure du neurone…
Ils sont plus soucieux de l’unité de la France que notre Président mondialiste !
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