Emmanuel Macron
Parti sur son élan d’honorer la contribution bien réelle et méritoire des combattants africains au débarquement en Provence, Emmanuel Macron n’a pas su s’arrêter à temps.
Il ne s’agit pas d’embrasser Vladimir Poutine sur la bouche, pas plus d’ailleurs que Donald Trump, mais de regarder les réalités en face.
Maître Jacques à Brégançon, Macron risque de n’être plus que la mouche du coche à Biarritz, un coche dont le cocher s’appelle Trump…
Sans surestimer les échanges entre les deux, la proximité surjouée donne un semblant de légitimité à cet impérialisme macronien qui ne pourrait pas se contenter de leur détestation commune de François Hollande.
Qui est le chat, qui est la souris ? Qu’importe ! Au bout du compte, Macron s’enorgueillira d’avoir accompli son devoir et Poutine pourra se moquer du matamore de la politique
Tout cela est très beau, mais comment ne pas voir que cela sonne faux…
On n’est pas certain que les oies du Capitole sauvèrent Rome, comme disait Talleyrand, mais, à coup sûr, Renzi va sauver l’Italie.
…la rapide évolution de la photo de famille montre à quel point notre Président s’inscrit désormais à rebours de ce sens de l’Histoire que la gauche sociétale invoque…
Alors, à quoi nous engage concrètement cette gratitude non gratuite de la France envers les troupes africaines ?
La France n’a pas attendu Emmanuel Macron pour reconnaître la part prise par l’Afrique dans la libération du territoire national.
Avouez que trop de complaisance à l’égard du camp macronien ne contribue pas à clarifier les positions.
L’euphémisme du mot « incivilités » trahit l’inconsistance de la pensée politique qui règne en haut de l’État.
Les Français ne doivent pas se laisser attirer par les appâts qu’on leur tend mais, plutôt, démasquer les charlatans de la politique ou du climat.
Le nouveau Macron est arrivé. C’est une chroniqueuse de BFM qui nous le dit.
Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.
Emmanuel Macron serait-il donc un piètre visionnaire de l’évolution du risque terroriste et de la politique internationale…
Bonnes vacances en cet été 2029, en dépit du froid, ce que certains catastrophistes qualifient de mini-ère glaciaire, due à la sous-activité cyclique du soleil…
Jamais un ministre de l’Intérieur n’aura tiré vers le bas, de façon aussi manifeste et rapide, l’image de l’institution dont il a la charge.
Sans légitimer quelque agression que ce soit, il est impératif de poser la question suivante : la présidence Macron joue-t-elle sciemment avec le feu de l’ultraviolence ?
Comme l’avait montré Henry Kissinger, la politique internationale impose le réalisme et doit viser l’équilibre. L’un et l’autre passent par les nations.
Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
…cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé.
En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.
« Je suis la fiancée du Président. »
Bonnes vacances puisqu’apparemment elles ont d’heureux effets.
Jeudi 25 juillet, le couple présidentiel a plié bagage pour se rendre dans son lieu de villégiature, le fort de Brégançon.
Comme si, après les gilets jaunes et les débordements algériens, le corps de l’État pouvait se permettre le luxe d’une nouvelle fracture.
M. Macron a été membre du Parti socialiste. Il a développé sa carrière grâce à des amitiés socialistes.
Parti sur son élan d’honorer la contribution bien réelle et méritoire des combattants africains au débarquement en Provence, Emmanuel Macron n’a pas su s’arrêter à temps.
Il ne s’agit pas d’embrasser Vladimir Poutine sur la bouche, pas plus d’ailleurs que Donald Trump, mais de regarder les réalités en face.
Maître Jacques à Brégançon, Macron risque de n’être plus que la mouche du coche à Biarritz, un coche dont le cocher s’appelle Trump…
Sans surestimer les échanges entre les deux, la proximité surjouée donne un semblant de légitimité à cet impérialisme macronien qui ne pourrait pas se contenter de leur détestation commune de François Hollande.
Qui est le chat, qui est la souris ? Qu’importe ! Au bout du compte, Macron s’enorgueillira d’avoir accompli son devoir et Poutine pourra se moquer du matamore de la politique
Tout cela est très beau, mais comment ne pas voir que cela sonne faux…
On n’est pas certain que les oies du Capitole sauvèrent Rome, comme disait Talleyrand, mais, à coup sûr, Renzi va sauver l’Italie.
…la rapide évolution de la photo de famille montre à quel point notre Président s’inscrit désormais à rebours de ce sens de l’Histoire que la gauche sociétale invoque…
Alors, à quoi nous engage concrètement cette gratitude non gratuite de la France envers les troupes africaines ?
La France n’a pas attendu Emmanuel Macron pour reconnaître la part prise par l’Afrique dans la libération du territoire national.
Avouez que trop de complaisance à l’égard du camp macronien ne contribue pas à clarifier les positions.
L’euphémisme du mot « incivilités » trahit l’inconsistance de la pensée politique qui règne en haut de l’État.
Les Français ne doivent pas se laisser attirer par les appâts qu’on leur tend mais, plutôt, démasquer les charlatans de la politique ou du climat.
Le nouveau Macron est arrivé. C’est une chroniqueuse de BFM qui nous le dit.
Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.
Emmanuel Macron serait-il donc un piètre visionnaire de l’évolution du risque terroriste et de la politique internationale…
Bonnes vacances en cet été 2029, en dépit du froid, ce que certains catastrophistes qualifient de mini-ère glaciaire, due à la sous-activité cyclique du soleil…
Jamais un ministre de l’Intérieur n’aura tiré vers le bas, de façon aussi manifeste et rapide, l’image de l’institution dont il a la charge.
Sans légitimer quelque agression que ce soit, il est impératif de poser la question suivante : la présidence Macron joue-t-elle sciemment avec le feu de l’ultraviolence ?
Comme l’avait montré Henry Kissinger, la politique internationale impose le réalisme et doit viser l’équilibre. L’un et l’autre passent par les nations.
Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
…cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé.
En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.
« Je suis la fiancée du Président. »
Bonnes vacances puisqu’apparemment elles ont d’heureux effets.
Jeudi 25 juillet, le couple présidentiel a plié bagage pour se rendre dans son lieu de villégiature, le fort de Brégançon.
Comme si, après les gilets jaunes et les débordements algériens, le corps de l’État pouvait se permettre le luxe d’une nouvelle fracture.
M. Macron a été membre du Parti socialiste. Il a développé sa carrière grâce à des amitiés socialistes.
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