Emmanuel Macron
Première depuis 2001, la récente visite présidentielle française en Serbie s’est révélée être un acte politique manqué.
Macron comptait sur la notoriété de l’écologiste, espérant que la vanité lui ferait oublier ses convictions.
Les drapeaux algériens flottant à trois reprises en juillet dans les villes de France font donc partie de ces sujets à éviter pour Emmanuel Macron et son monde.
Cordonnier est toujours le plus mal chaussé.
On ne peut pas faire l’innocent en feignant de croire que le drapeau algérien n’a qu’une valeur sentimentale, sans signification politique.
Le programme de l’Union européenne devient de plus en plus obsolète auprès du public serbe, malgré tous les efforts des uns et des autres.
M. Macron a raison, la France doit jouer un rôle important dans les Balkans et les Serbes, pas trop rancuniers, sont même prêts à lui redonner cette place.
Espérons que l’astéroïde ne fera pas flamber trop de voitures, vendredi soir.
Gonflé, le monsieur ! Ainsi donc, à propos de Rugy, le Président ne veut pas d’une République de la délation !
Emmanuel Macron s’est planté en défenseur des militaires, des pompiers « abondamment sifflés » le 14 juillet. Que dire ? Qu’il n’est vraiment pas beau de mentir ?
le 14 juillet 2019 a fait voir qu’il y a désormais trois France qui se font face : place de la Concorde, celle du système patricien, sifflé ; sur les Champs, celle de la plèbe malheureuse, matraquée ; et à l’Étoile, celle des banlieues…
Non seulement, nos autorités ne sont pas capables de susciter le respect unanime des Français, mais elles sont incapables de faire respecter la France.
Souvenez-vous des dîners organisés par Emmanuel Macron à Bercy lorsqu’il était ministre de l’Économie et du Numérique.
M. Macron, malgré ses rodomontades, est sur la même ligne que son mentor M. Hollande : faire semblant de réformer.
Rarement critique fut aussi forte contre un Président français.
Macron, libéral décomplexé, au nom de l’efficacité, donne libre cours à la curée.
Imagine-t-on, si la Grande Mosquée de Paris était en partie détruite dans un incendie, des voix réclamer qu’on la restaure en la détournant de sa vocation initiale ?
À constater le degré de mauvaise foi de notre République, on a le droit de s’interroger : le Président doit-il encore ouvrir la bouche ?
Emmanuel Macron n’a pas pu s’empêcher de revenir sur les dernières fausses notes de son année scolaire…
Marine Le Pen devra donc laisser de côté sa volonté d’imposer l’hégémonie de son parti aux opposants à Emmanuel Macron et comprendre que la pluralité est une valeur ajoutée pour proposer une alternative fiable.
On cherche toujours la troupe des 150 Français qui devaient sortir de la loterie macronienne, chargés de leurs citoyennes propositions pour faire entendre raison au climat…
La réalité est simple : l’Union européenne est devenue obèse et ingouvernable dans un système dominé par la technocratie.
Les ex nous rassurent : ils sont là sans l’être.
En effet, alors qu’un certain nombre de compétences ont été dévolues aux régions ou aux départements, les fonctionnaires qui s’occupaient de celles-ci n’ont pas été transférés.
Ce n’était pas Georges Pompidou qui parlait en anglais aux chefs des gouvernements espagnol et portugais.
Assurément, Emmanuel Macron, mû par une sentimentalité impolitique largement dictée par son tropisme mondialiste, commet une grave erreur…
Or, dans l’ombre de cette ténébreuse affaire, il y a un homme, et qui n’est pas le premier venu : Emmanuel Macron…
Enfin Macron vint, tenant Brigitte par la main.
Première depuis 2001, la récente visite présidentielle française en Serbie s’est révélée être un acte politique manqué.
Macron comptait sur la notoriété de l’écologiste, espérant que la vanité lui ferait oublier ses convictions.
Les drapeaux algériens flottant à trois reprises en juillet dans les villes de France font donc partie de ces sujets à éviter pour Emmanuel Macron et son monde.
Cordonnier est toujours le plus mal chaussé.
On ne peut pas faire l’innocent en feignant de croire que le drapeau algérien n’a qu’une valeur sentimentale, sans signification politique.
Le programme de l’Union européenne devient de plus en plus obsolète auprès du public serbe, malgré tous les efforts des uns et des autres.
M. Macron a raison, la France doit jouer un rôle important dans les Balkans et les Serbes, pas trop rancuniers, sont même prêts à lui redonner cette place.
Espérons que l’astéroïde ne fera pas flamber trop de voitures, vendredi soir.
Gonflé, le monsieur ! Ainsi donc, à propos de Rugy, le Président ne veut pas d’une République de la délation !
Emmanuel Macron s’est planté en défenseur des militaires, des pompiers « abondamment sifflés » le 14 juillet. Que dire ? Qu’il n’est vraiment pas beau de mentir ?
le 14 juillet 2019 a fait voir qu’il y a désormais trois France qui se font face : place de la Concorde, celle du système patricien, sifflé ; sur les Champs, celle de la plèbe malheureuse, matraquée ; et à l’Étoile, celle des banlieues…
Non seulement, nos autorités ne sont pas capables de susciter le respect unanime des Français, mais elles sont incapables de faire respecter la France.
Souvenez-vous des dîners organisés par Emmanuel Macron à Bercy lorsqu’il était ministre de l’Économie et du Numérique.
M. Macron, malgré ses rodomontades, est sur la même ligne que son mentor M. Hollande : faire semblant de réformer.
Rarement critique fut aussi forte contre un Président français.
Macron, libéral décomplexé, au nom de l’efficacité, donne libre cours à la curée.
Imagine-t-on, si la Grande Mosquée de Paris était en partie détruite dans un incendie, des voix réclamer qu’on la restaure en la détournant de sa vocation initiale ?
À constater le degré de mauvaise foi de notre République, on a le droit de s’interroger : le Président doit-il encore ouvrir la bouche ?
Emmanuel Macron n’a pas pu s’empêcher de revenir sur les dernières fausses notes de son année scolaire…
Marine Le Pen devra donc laisser de côté sa volonté d’imposer l’hégémonie de son parti aux opposants à Emmanuel Macron et comprendre que la pluralité est une valeur ajoutée pour proposer une alternative fiable.
On cherche toujours la troupe des 150 Français qui devaient sortir de la loterie macronienne, chargés de leurs citoyennes propositions pour faire entendre raison au climat…
La réalité est simple : l’Union européenne est devenue obèse et ingouvernable dans un système dominé par la technocratie.
Les ex nous rassurent : ils sont là sans l’être.
En effet, alors qu’un certain nombre de compétences ont été dévolues aux régions ou aux départements, les fonctionnaires qui s’occupaient de celles-ci n’ont pas été transférés.
Ce n’était pas Georges Pompidou qui parlait en anglais aux chefs des gouvernements espagnol et portugais.
Assurément, Emmanuel Macron, mû par une sentimentalité impolitique largement dictée par son tropisme mondialiste, commet une grave erreur…
Or, dans l’ombre de cette ténébreuse affaire, il y a un homme, et qui n’est pas le premier venu : Emmanuel Macron…
Enfin Macron vint, tenant Brigitte par la main.
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