Emmanuel Macron
Trois années pour changer la donne. C’est court…
Alors, est-ce que l’ordre libéral-libertaire fera, en France, son temps ?
Emmanuel Macron entendait mobiliser afin de transformer cette élection en une sorte de référendum « pour » ou « contre » l’Europe, « pour » ou « contre » lui. Les Français l’ont entendu : la liste menée par Emmanuel Macron a perdu.
Aujourd’hui, jour de deuil, le glas a sonné dans toutes nos églises : le dragon a triomphé.
Certes, le Rassemblement national arrive en tête de ce scrutin, avec 24 % des voix, et pourra envoyer à Bruxelles une vingtaine d’élus. Mais Macron et La République en marche sont loin d’être défaits.
Les trois priorités de la droite sont la nation, l’efficacité économique et la conservation des valeurs traditionnelles telles que la famille. Macron n’appartient à aucune de ces trois familles…
Emmanuel Macron pense être « la providence électorale » en s’affichant pour la liste Renaissance, mais le résultat pourrait être inattendu…
Pourquoi la construction européenne menace-t-elle la paix ? Parce qu’elle est elle-même une idéologie, ce qui veut dire un projet messianique.
À la fanfare du régiment, Nathalie Loiseau aurait fait grosse caisse.
Le 26 mai, on saura sans équivoque si Emmanuel Macron a été un bon ou un mauvais acteur, mais les sifflets éventuels ne lui feront pas quitter la scène.
La presse régionale quotidienne : très important ! C’est celle qu’on lit sur le coin du zinc, le matin, en prenant un café.
Il nous avait avertis : Emmanuel Macron fera tout pour imposer sa vision « progressiste » de l’Europe (« l’arc progressiste »).
On reproche à Bannon de soutenir les populistes ? Mais que faisait Obama, en 2017, quand il soutenait Macron ?
Un Lawrence d’Arabie, en somme.
Faute d’arguments susceptibles d’entraîner les foules, les listes pro-européennes ont trouvé un moyen qu’ils croient imparable pour déconsidérer leurs adversaires : c’est le retour des années
Ne nous laissons pas enfermer dans le vote utile, qui n’est utile que pour des considérations politiciennes nous éloignant des préoccupations pour le devenir de notre nation.
Pour Boulevard Voltaire, Marine Le Pen revient sur le grand meeting qui a rassemblé, samedi à Milan, un grand nombre de partis « nationaux »,
Pas d’élus pour DLF n’apporte qu’un député de plus pour le RN, des élus DLF ajoutent 4 ou 5 députés au camp national.
Cette année, j’ai envie de me lâcher, de me faire plaisir, loin des calculs électoraux, et tant pis si je tombe dans un piège macronien…
Je serais gilet jaune, j’aurais furieusement envie de prendre Emmanuel Macron au mot, de voter. Et de voter contre.
Les solutions qu’envisage Emmanuel Macron, loin de pallier la ségrégation, l’accentuent en créant de nouveaux privilèges.
Celle qui souffrira le plus de cette modeste campagne publicitaire est bien la tête de liste, dont le charisme est resté au vestiaire.
Emmanuel Macron était tâcheron à l’Élysée et travaillait dur sur le chantier.
Une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique.
Une enseignante « gilet jaune », militante syndicale, placée en garde à vue pour « injure publique envers le président de la République ».
Qui lui dira que le bon plaisir ne commande pas de s’asseoir sur les usages ?
Il existe un Saint Louis, il n’existera jamais de saint Macron.
Le 26 mai, jour symbolique de la fête des Mères, nous dira si le Père de la Nation a vaincu son ennemi…
Trois années pour changer la donne. C’est court…
Alors, est-ce que l’ordre libéral-libertaire fera, en France, son temps ?
Emmanuel Macron entendait mobiliser afin de transformer cette élection en une sorte de référendum « pour » ou « contre » l’Europe, « pour » ou « contre » lui. Les Français l’ont entendu : la liste menée par Emmanuel Macron a perdu.
Aujourd’hui, jour de deuil, le glas a sonné dans toutes nos églises : le dragon a triomphé.
Certes, le Rassemblement national arrive en tête de ce scrutin, avec 24 % des voix, et pourra envoyer à Bruxelles une vingtaine d’élus. Mais Macron et La République en marche sont loin d’être défaits.
Les trois priorités de la droite sont la nation, l’efficacité économique et la conservation des valeurs traditionnelles telles que la famille. Macron n’appartient à aucune de ces trois familles…
Emmanuel Macron pense être « la providence électorale » en s’affichant pour la liste Renaissance, mais le résultat pourrait être inattendu…
Pourquoi la construction européenne menace-t-elle la paix ? Parce qu’elle est elle-même une idéologie, ce qui veut dire un projet messianique.
À la fanfare du régiment, Nathalie Loiseau aurait fait grosse caisse.
Le 26 mai, on saura sans équivoque si Emmanuel Macron a été un bon ou un mauvais acteur, mais les sifflets éventuels ne lui feront pas quitter la scène.
La presse régionale quotidienne : très important ! C’est celle qu’on lit sur le coin du zinc, le matin, en prenant un café.
Il nous avait avertis : Emmanuel Macron fera tout pour imposer sa vision « progressiste » de l’Europe (« l’arc progressiste »).
On reproche à Bannon de soutenir les populistes ? Mais que faisait Obama, en 2017, quand il soutenait Macron ?
Un Lawrence d’Arabie, en somme.
Faute d’arguments susceptibles d’entraîner les foules, les listes pro-européennes ont trouvé un moyen qu’ils croient imparable pour déconsidérer leurs adversaires : c’est le retour des années
Ne nous laissons pas enfermer dans le vote utile, qui n’est utile que pour des considérations politiciennes nous éloignant des préoccupations pour le devenir de notre nation.
Pour Boulevard Voltaire, Marine Le Pen revient sur le grand meeting qui a rassemblé, samedi à Milan, un grand nombre de partis « nationaux »,
Pas d’élus pour DLF n’apporte qu’un député de plus pour le RN, des élus DLF ajoutent 4 ou 5 députés au camp national.
Cette année, j’ai envie de me lâcher, de me faire plaisir, loin des calculs électoraux, et tant pis si je tombe dans un piège macronien…
Je serais gilet jaune, j’aurais furieusement envie de prendre Emmanuel Macron au mot, de voter. Et de voter contre.
Les solutions qu’envisage Emmanuel Macron, loin de pallier la ségrégation, l’accentuent en créant de nouveaux privilèges.
Celle qui souffrira le plus de cette modeste campagne publicitaire est bien la tête de liste, dont le charisme est resté au vestiaire.
Emmanuel Macron était tâcheron à l’Élysée et travaillait dur sur le chantier.
Une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique.
Une enseignante « gilet jaune », militante syndicale, placée en garde à vue pour « injure publique envers le président de la République ».
Qui lui dira que le bon plaisir ne commande pas de s’asseoir sur les usages ?
Il existe un Saint Louis, il n’existera jamais de saint Macron.
Le 26 mai, jour symbolique de la fête des Mères, nous dira si le Père de la Nation a vaincu son ennemi…
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