Emmanuel Macron
Macron, qui a été élu avec à peine plus de 43 % des inscrits, soit nettement moins d’un Français sur deux, pourrait voir la liste qu’il soutient l’emporter avec 21 ou 22 % des suffrages.
Le 10 mai, le Conseil constitutionnel a rendu un avis favorable à la tenue d’un référendum d’initiative partagée concernant la vente de la société publique Aéroports de Paris.
Qui l’eût cru ?
On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.
S’il s’est permis de faire la leçon à une dame de 73 ans, peut-être aurait-il pu la rééditer pour les « deux garçons »…
Nous étions nombreux à nous demander comment ce quasi-inconnu qu’était Emmanuel Macron avait réussi à s’imposer aussi rapidement dans le paysage politique français…
Il est tout de même très contestable de voir se lancer dans une campagne électorale un chef de l’État supposé être le président de tous les Français.
Le RN n’a même plus besoin de prouver qu’il est le centre du débat public puisque ses adversaires le font pour lui.
Un président de la République ne doit pas laisser choir sa fonction au niveau des guerres partisanes.
Désormais, elle trace sa route au cœur de la France des ronds-points et des zones rurales oubliées.
Il est bien plus facile de mettre en place des interdictions et des taxes en tout genre que de redresser la situation économique du pays ou de satisfaire aux revendications des gilets jaunes.
Ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.
Finalement, qu’on le regrette ou non, l’intérêt de cette élection se résume au duel entre Macron et Marine Le Pen…
L’action de longue durée, assurée par tout un peuple dirigé par une suite d’hommes avisés et opiniâtres, est plus efficace que le volontarisme d’un seul.
La supercherie éclate aux yeux de tous, aujourd’hui. Le nouveau monde n’était qu’un leurre, qu’un simple slogan de campagne électorale. Cette élection fut une fausse route.
La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
Que ce lieu soit éternellement préservé et pieusement conservé.
La réalité est assez simple, elle tient en quatre mots : « totale perte de crédibilité » d’Emmanuel Macron…
Il se voulait Jupiter ? Il n’était que Triboulet.
Pratique, ce président italien, car il permet de passer par-dessus ces ploucs de souverainistes italiens…
En un mot, l’art de parler pour ne rien dire, d’enfoncer des portes ouvertes et d’enfiler des perles d’inculture…
L ’idée d’envoyer la population baguenauder dans la pampa environnante durant une visite présidentielle est à creuser sérieusement.
L’irrépressible désir des politiques de laisser leur nom dans la pierre comme un chien lève la patte au coin de la rue pour marquer son territoire.
Le Président Macron a construit sa campagne fulgurante et dégagiste en nous promettant qu’un nouveau monde allait succéder à l’ancien. On a vu.
Qui a conseillé aux gilets jaunes de réclamer un RIC ? Qui a lancé ces mots d’ordre conduisant nécessairement à l’échec ?
La formule mérite médaille au concours Lépine de l’oxymore.
Assurément, le sujet du vote blanc, balayé d’un revers d’arrogance par Macron, reviendra sur le tapis républicain !
Macron, qui a été élu avec à peine plus de 43 % des inscrits, soit nettement moins d’un Français sur deux, pourrait voir la liste qu’il soutient l’emporter avec 21 ou 22 % des suffrages.
Le 10 mai, le Conseil constitutionnel a rendu un avis favorable à la tenue d’un référendum d’initiative partagée concernant la vente de la société publique Aéroports de Paris.
Qui l’eût cru ?
On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.
S’il s’est permis de faire la leçon à une dame de 73 ans, peut-être aurait-il pu la rééditer pour les « deux garçons »…
Nous étions nombreux à nous demander comment ce quasi-inconnu qu’était Emmanuel Macron avait réussi à s’imposer aussi rapidement dans le paysage politique français…
Il est tout de même très contestable de voir se lancer dans une campagne électorale un chef de l’État supposé être le président de tous les Français.
Le RN n’a même plus besoin de prouver qu’il est le centre du débat public puisque ses adversaires le font pour lui.
Un président de la République ne doit pas laisser choir sa fonction au niveau des guerres partisanes.
Désormais, elle trace sa route au cœur de la France des ronds-points et des zones rurales oubliées.
Il est bien plus facile de mettre en place des interdictions et des taxes en tout genre que de redresser la situation économique du pays ou de satisfaire aux revendications des gilets jaunes.
Ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.
Finalement, qu’on le regrette ou non, l’intérêt de cette élection se résume au duel entre Macron et Marine Le Pen…
L’action de longue durée, assurée par tout un peuple dirigé par une suite d’hommes avisés et opiniâtres, est plus efficace que le volontarisme d’un seul.
La supercherie éclate aux yeux de tous, aujourd’hui. Le nouveau monde n’était qu’un leurre, qu’un simple slogan de campagne électorale. Cette élection fut une fausse route.
La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
Que ce lieu soit éternellement préservé et pieusement conservé.
La réalité est assez simple, elle tient en quatre mots : « totale perte de crédibilité » d’Emmanuel Macron…
Il se voulait Jupiter ? Il n’était que Triboulet.
Pratique, ce président italien, car il permet de passer par-dessus ces ploucs de souverainistes italiens…
En un mot, l’art de parler pour ne rien dire, d’enfoncer des portes ouvertes et d’enfiler des perles d’inculture…
L ’idée d’envoyer la population baguenauder dans la pampa environnante durant une visite présidentielle est à creuser sérieusement.
L’irrépressible désir des politiques de laisser leur nom dans la pierre comme un chien lève la patte au coin de la rue pour marquer son territoire.
Le Président Macron a construit sa campagne fulgurante et dégagiste en nous promettant qu’un nouveau monde allait succéder à l’ancien. On a vu.
Qui a conseillé aux gilets jaunes de réclamer un RIC ? Qui a lancé ces mots d’ordre conduisant nécessairement à l’échec ?
La formule mérite médaille au concours Lépine de l’oxymore.
Assurément, le sujet du vote blanc, balayé d’un revers d’arrogance par Macron, reviendra sur le tapis républicain !
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