Emmanuel Macron
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
Il se crée donc parfois un curieux rapport entre le pouvoir et son « meilleur ennemi »…
Tout récemment, Emmanuel Macron a été élevé au rang de chevalier de l’ordre de l’Éléphant par la reine de Danemark.
L’ordre libéral-libertaire doit, de fait, accomplir jusqu’au bout son darwinisme social.
Emmanuel Macron a-t-il l’intelligence tant du cœur que de situation que l’on attend d’un chef ?
Du coup, montagne qui accouche d’une souris ? Ou taupinière qui nous aurait pondu une paramécie. La réponse aux prochaines échéances électorales.
Si Macron espérait glaner des voix en faisant le tour de l’EHPAD présidentiel à l’heure du thé dansant, tel un candidat aux cantonales, c’est raté.
En attendant, Emmanuel Macron devrait clore sa tournée sur un feu d’artifice. La marque des grands artistes, n’est-il pas ?
Cacophonie et duplicité résument donc l’attitude de ceux qui nous gouvernent, trop intelligents pour les pauvres Français qui les ont élus.
Nos responsables politiques n’ont peut-être pas mesuré toutes les conséquences de leur « insincérité » avouée.
Comme quoi, en la matière, la République peut se montrer aussi intransigeante que le comte de Chambord.
Ce devait être un grand débat national et ça devient du stand-up ; un peu comme Jamel Debbouze – les rires en moins. Ainsi Emmanuel
La prochaine fois, il suffira de virer un « vieux », par exemple Le Drian, de faire la sortie des écoles ou d’aller chercher le jeune vieux Jean François-Poncet et on aura pété le score !
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
Les écarts d’intentions de vote sont minces. Tout est bon à prendre et Macron l’a bien compris.
Décidément, l’exemple vient du bas, dans ce pays.
Un simple gardien de la paix ne saurait, en dehors de ses éventuelles fautes personnelles, assumer pénalement et civilement une telle responsabilité.
Macron ne cédera pas, lui qui n’a jamais connu l’échec.
Prenez les émissions de cette scie d’Élise Lucet, « Cash investigation » et « Envoyé spécial » : toujours à voir le mauvais côté des choses.
Cessons de voler leur enfance !
C’est une évidence qu’en polarisant le débat européen et national, Emmanuel Macron joue son assurance-vie. Son va-tout aussi.
Chassez le naturel et il revient au galop.
Aux échecs, on est là pour tuer l’autre. Au go, on se contente de se répartir le terrain ; à son avantage, évidemment.
Comme dans La Lettre volée d’Edgar Allan Poe, l’argent est là, sous notre nez.
Dans ce grand brouhaha, les questions nationales et sociales sont éludées.
« Recadré par le président, Castaner n’a plus droit à l’erreur. » Certes, mais le président s’est-il « recadré » lui-même ?
Emmanuel Macron aime faire peuple en périphérie et faire roi au milieu d’une cour.
Ce livre, ou plutôt cette grande lettre ouverte, est, vous l’aurez compris, un long réquisitoire contre un Président éloigné de son peuple…
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
Il se crée donc parfois un curieux rapport entre le pouvoir et son « meilleur ennemi »…
Tout récemment, Emmanuel Macron a été élevé au rang de chevalier de l’ordre de l’Éléphant par la reine de Danemark.
L’ordre libéral-libertaire doit, de fait, accomplir jusqu’au bout son darwinisme social.
Emmanuel Macron a-t-il l’intelligence tant du cœur que de situation que l’on attend d’un chef ?
Du coup, montagne qui accouche d’une souris ? Ou taupinière qui nous aurait pondu une paramécie. La réponse aux prochaines échéances électorales.
Si Macron espérait glaner des voix en faisant le tour de l’EHPAD présidentiel à l’heure du thé dansant, tel un candidat aux cantonales, c’est raté.
En attendant, Emmanuel Macron devrait clore sa tournée sur un feu d’artifice. La marque des grands artistes, n’est-il pas ?
Cacophonie et duplicité résument donc l’attitude de ceux qui nous gouvernent, trop intelligents pour les pauvres Français qui les ont élus.
Nos responsables politiques n’ont peut-être pas mesuré toutes les conséquences de leur « insincérité » avouée.
Comme quoi, en la matière, la République peut se montrer aussi intransigeante que le comte de Chambord.
Ce devait être un grand débat national et ça devient du stand-up ; un peu comme Jamel Debbouze – les rires en moins. Ainsi Emmanuel
La prochaine fois, il suffira de virer un « vieux », par exemple Le Drian, de faire la sortie des écoles ou d’aller chercher le jeune vieux Jean François-Poncet et on aura pété le score !
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
Les écarts d’intentions de vote sont minces. Tout est bon à prendre et Macron l’a bien compris.
Décidément, l’exemple vient du bas, dans ce pays.
Un simple gardien de la paix ne saurait, en dehors de ses éventuelles fautes personnelles, assumer pénalement et civilement une telle responsabilité.
Macron ne cédera pas, lui qui n’a jamais connu l’échec.
Prenez les émissions de cette scie d’Élise Lucet, « Cash investigation » et « Envoyé spécial » : toujours à voir le mauvais côté des choses.
Cessons de voler leur enfance !
C’est une évidence qu’en polarisant le débat européen et national, Emmanuel Macron joue son assurance-vie. Son va-tout aussi.
Chassez le naturel et il revient au galop.
Aux échecs, on est là pour tuer l’autre. Au go, on se contente de se répartir le terrain ; à son avantage, évidemment.
Comme dans La Lettre volée d’Edgar Allan Poe, l’argent est là, sous notre nez.
Dans ce grand brouhaha, les questions nationales et sociales sont éludées.
« Recadré par le président, Castaner n’a plus droit à l’erreur. » Certes, mais le président s’est-il « recadré » lui-même ?
Emmanuel Macron aime faire peuple en périphérie et faire roi au milieu d’une cour.
Ce livre, ou plutôt cette grande lettre ouverte, est, vous l’aurez compris, un long réquisitoire contre un Président éloigné de son peuple…
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