Emmanuel Macron
La Banque de France annonce un taux de croissance de 0,4 % au premier trimestre 2019.
Et voilà que s’invite dans ce débat notre Macron hexagonal, venu balayer d’un effet de manche le système démocratique de nos voisins helvétiques…
Ce grand débat qui devait faire oublier les images des violences de la fin 2018 ne les a en rien fait disparaître.
…mais n’est pas de Gaulle qui veut !
Il poursuit, avec assurance, sa campagne électorale en vue des européennes sans que le CSA, pourtant alerté par l’opposition, ni la presse ne s’en offusquent.
Au bout de quatre heures, il parlait encore, il parlait toujours. Quel débat ! Pensez très fort à moi quand vous irez voter, les enfants !
Depuis des décennies, la France attendait son sauveur. Pour l’instant, son Président cherche d’abord à se sauver lui-même !
…le rappel de notre ambassadeur à Rome est une manière, pour Emmanuel Macron, de mettre en scène, de se mettre en scène, à quatre mois des élections européennes…
Tous les commentateurs le disent : Emmanuel Macron n’est jamais aussi fort que quand il est en campagne.
À quand Merkel venant présider le Conseil des ministres à l’Élysée ?
D’abord, le besoin d’ordre, suscité par la médiatisation de la « violence » des gilets jaunes, dramatisée par le gouvernement…
Grand débat par-ci, grand débat par-là. Sous perfusion. En cachets ou suppositoires. Matin, midi, soir. Ad nauseam.
Tel un directeur des ressources humaines qui divise ses salariés pour mieux régner, Macron promeut une opposition morcelée en micro-partis.
Emmanuel Macron s’est déjà engagé dans une campagne électorale nationale et, au mépris de toutes les règles d’équité entre les partis politiques, il use de son mandat pour convaincre un électorat qui lui sera fort utile en mai.
Un « Gitan », c’est d’abord un Français. Il est aussi français qu’un djihadiste qui revient de quelques années de séjour en Syrie…
Comme la place de la République, le grand débat est une nasse dans laquelle le pouvoir entend noyer ce poisson détestable qu’est le peuple.
Macron, dix-huit mois après : un fiasco, une grosse grosse panne…
Le temps qui passe n’est pas l’ennemi des gilets jaunes mais leur plus sûr allié, désormais.
Quel leader inattendu notre Président inattendu de 2017 sortira-t-il de sa manche ? Nul ne le sait encore. Mais on le verrait bien prendre le contre-pied de ses adversaires.
Tout se passe comme s’il peinait à admettre que les gens puissent réfléchir par eux-mêmes : il faut donc penser à leur place pour éviter qu’ils ne se trompent.
Aux quelques journalistes invités à l’Élysée pour une rencontre avec le Grand Mamamouchi, celui-ci a fait part de ses états d’âme.
Il a besoin d’un tuteur, en l’occurrence d’une tutrice, pour l’empêcher de faire trop de bêtises ! Que serait-ce si Brigitte n’était pas à ses côtés ?
Décidément, il faut qu’Emmanuel Macron soit en dehors de son pays pour exprimer ce qu’il pense tout bas en son palais de l’Élysée.
Cinq années de baisse sont significatives, mais une amélioration ponctuelle ne prouve strictement rien.
Comme si gouverner contre le peuple ne suffisait plus, il convient encore de le faire sans et contre lui.
Chacun jugera. Pour ce qui nous concerne, la chose est claire.
Les héritiers de Mai 68 encostardés qui s’érigent en défenseurs de l’ordre : certainement l’une des grandes impostures de notre époque.
En comptant large, quelques milliers de « foulards rouges » se sont rassemblés place de la Nation, témoignant ainsi de l’absence de socle sociologique du macronisme.
La Banque de France annonce un taux de croissance de 0,4 % au premier trimestre 2019.
Et voilà que s’invite dans ce débat notre Macron hexagonal, venu balayer d’un effet de manche le système démocratique de nos voisins helvétiques…
Ce grand débat qui devait faire oublier les images des violences de la fin 2018 ne les a en rien fait disparaître.
…mais n’est pas de Gaulle qui veut !
Il poursuit, avec assurance, sa campagne électorale en vue des européennes sans que le CSA, pourtant alerté par l’opposition, ni la presse ne s’en offusquent.
Au bout de quatre heures, il parlait encore, il parlait toujours. Quel débat ! Pensez très fort à moi quand vous irez voter, les enfants !
Depuis des décennies, la France attendait son sauveur. Pour l’instant, son Président cherche d’abord à se sauver lui-même !
…le rappel de notre ambassadeur à Rome est une manière, pour Emmanuel Macron, de mettre en scène, de se mettre en scène, à quatre mois des élections européennes…
Tous les commentateurs le disent : Emmanuel Macron n’est jamais aussi fort que quand il est en campagne.
À quand Merkel venant présider le Conseil des ministres à l’Élysée ?
D’abord, le besoin d’ordre, suscité par la médiatisation de la « violence » des gilets jaunes, dramatisée par le gouvernement…
Grand débat par-ci, grand débat par-là. Sous perfusion. En cachets ou suppositoires. Matin, midi, soir. Ad nauseam.
Tel un directeur des ressources humaines qui divise ses salariés pour mieux régner, Macron promeut une opposition morcelée en micro-partis.
Emmanuel Macron s’est déjà engagé dans une campagne électorale nationale et, au mépris de toutes les règles d’équité entre les partis politiques, il use de son mandat pour convaincre un électorat qui lui sera fort utile en mai.
Un « Gitan », c’est d’abord un Français. Il est aussi français qu’un djihadiste qui revient de quelques années de séjour en Syrie…
Comme la place de la République, le grand débat est une nasse dans laquelle le pouvoir entend noyer ce poisson détestable qu’est le peuple.
Macron, dix-huit mois après : un fiasco, une grosse grosse panne…
Le temps qui passe n’est pas l’ennemi des gilets jaunes mais leur plus sûr allié, désormais.
Quel leader inattendu notre Président inattendu de 2017 sortira-t-il de sa manche ? Nul ne le sait encore. Mais on le verrait bien prendre le contre-pied de ses adversaires.
Tout se passe comme s’il peinait à admettre que les gens puissent réfléchir par eux-mêmes : il faut donc penser à leur place pour éviter qu’ils ne se trompent.
Aux quelques journalistes invités à l’Élysée pour une rencontre avec le Grand Mamamouchi, celui-ci a fait part de ses états d’âme.
Il a besoin d’un tuteur, en l’occurrence d’une tutrice, pour l’empêcher de faire trop de bêtises ! Que serait-ce si Brigitte n’était pas à ses côtés ?
Décidément, il faut qu’Emmanuel Macron soit en dehors de son pays pour exprimer ce qu’il pense tout bas en son palais de l’Élysée.
Cinq années de baisse sont significatives, mais une amélioration ponctuelle ne prouve strictement rien.
Comme si gouverner contre le peuple ne suffisait plus, il convient encore de le faire sans et contre lui.
Chacun jugera. Pour ce qui nous concerne, la chose est claire.
Les héritiers de Mai 68 encostardés qui s’érigent en défenseurs de l’ordre : certainement l’une des grandes impostures de notre époque.
En comptant large, quelques milliers de « foulards rouges » se sont rassemblés place de la Nation, témoignant ainsi de l’absence de socle sociologique du macronisme.
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