Emmanuel Macron
Emmanuel Macron s’adresse à « mes chères Françaises, mes chers Français » mais réduit le fait d’être français à la citoyenneté française…
Emmanuel Macron a lancé le coup d’envoi du débat national devant 653 maires normands : il s’est exprimé durant plus de six heures et demie.
Un taiseux, le Jean-Yves, disions-nous.
Notre Président s’en est donné à cœur joie dans son exercice préféré : se mettre en vedette et enfumer les Français.
L’élève de Paul Ricœur sait pourtant que le dialogue tord le bras à n’importe quelle attaque. Mais l’art de la souplesse lui est étranger.
Auteur d’Entrer en stratégie, le général Vincent Desportes analyse, au micro de Boulevard Voltaire, la stratégie, sur les plans national et international, du Président Macron.
Ce n’est pas pactiser avec le diable que de souhaiter la réussite de son pays.
Si le Président reste sur son nuage protégé, s’il ne se résout pas à descendre dans l’arène, il continuera à être méprisé et traité comme il l’est tous les samedis
Ce samedi n° 9, les gilets jaunes sont revenus sur le boulevard, sous mes fenêtres. Ils ont monté des barricades au carrefour.
Au micro de Boulevard Voltaire, le député (LR) du Lot Aurélien Pradié, qui réagit après la publication de la lettre aux Français du président de
Après l’acte IX des gilets jaunes, samedi dernier, et la publication de la lettre d’Emmanuel Macron aux Français, dimanche soir, réaction au micro de Boulevard
Le sénateur (LR) Sébastien Meurant réagit au micro de Boulevard Voltaire après la publication de la lettre d’Emmanuel Macron aux Français. Emmanuel Macron s’est fendu
Notre Président abuse de la rhétorique, tente de reprendre la main, ouvre des portes qui conduisent à ses objectifs, en referme d’autres, notamment en matière fiscale.
La lettre d’Emmanuel Macron aux Français ? Autant de mots pour dire aussi peu de choses, c’est une forme d’exploit.
Vous êtes bien l’homme que l’ancien monde a imposé à la France en lui faisant le coup de la révolution…
C’est LE slogan que l’on entend dans toutes les manifestations, sur tous les tons et dans tous les niveaux de langue.
Le pouvoir fait durer le mouvement en soufflant sans cesse sur les braises d’une façon trop grossière pour ne pas être voulue.
Du point de vue de Salvini, qui voudrait voir se former un grand bloc de droite après les prochaines élections au Parlement européen, ces discussions s’inscrivent dans la suite logique de ses discussions avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán…
Une seule cérémonie, et pas devant n’importe qui : le 1er régiment du train parachutiste, à Cugnaux, près de Toulouse.
Il est bon de rappeler au Président et à ses acolytes qu’ils sont au service des Français mais que l’inverse n’est pas vrai.
Emmanuel Macron, champion malgré lui de l’Europe techno-libérale depuis l’annonce de la mise à la retraite prochaine d’Angela Merkel, se retrouve ainsi dans la position du repoussoir idéal pour tous les « lépreux » du Vieux Continent.
Imagine-t-on où nous en serions, aujourd’hui, si l’un des gendarmes, pour réagir au fameux boxeur, avait sorti son arme et l’avait utilisée.
Retour en arrière : en 2017, les startupers et les baby-boomers s’étaient coalisés pour élire une élite mondialisée, et ce, avec près de 26 % d’abstention au second tour de l’élection présidentielle…
Sachant que les trains qui arrivent à l’heure n’intéressent personne et que seuls ceux qui déraillent feront de l’audience, il faut le choc des images, toujours plus frappantes que le poids des mots.
Immigration, islamisme, ces mots que nos élites répugnent à prononcer, ces maux qu’elles ont longtemps reproché aux Français, soucieux de sauvegarder leur identité et leur culture, de dénoncer.
Combien de samedis ?
Il est déplorable que son secrétariat d’État ait été forcé et lui évacué dans l’après midi du 5 : ce n’était ni l’ancien ni le nouveau, mais de l’anti-République !
Alors que le mouvement des gilets jaunes semble repartir, après une courte « trêve des confiseurs », Boulevard Voltaire a interviewé Benjamin Cauchy, l’un des porte-parole historiques
Emmanuel Macron s’adresse à « mes chères Françaises, mes chers Français » mais réduit le fait d’être français à la citoyenneté française…
Emmanuel Macron a lancé le coup d’envoi du débat national devant 653 maires normands : il s’est exprimé durant plus de six heures et demie.
Un taiseux, le Jean-Yves, disions-nous.
Notre Président s’en est donné à cœur joie dans son exercice préféré : se mettre en vedette et enfumer les Français.
L’élève de Paul Ricœur sait pourtant que le dialogue tord le bras à n’importe quelle attaque. Mais l’art de la souplesse lui est étranger.
Auteur d’Entrer en stratégie, le général Vincent Desportes analyse, au micro de Boulevard Voltaire, la stratégie, sur les plans national et international, du Président Macron.
Ce n’est pas pactiser avec le diable que de souhaiter la réussite de son pays.
Si le Président reste sur son nuage protégé, s’il ne se résout pas à descendre dans l’arène, il continuera à être méprisé et traité comme il l’est tous les samedis
Ce samedi n° 9, les gilets jaunes sont revenus sur le boulevard, sous mes fenêtres. Ils ont monté des barricades au carrefour.
Au micro de Boulevard Voltaire, le député (LR) du Lot Aurélien Pradié, qui réagit après la publication de la lettre aux Français du président de
Après l’acte IX des gilets jaunes, samedi dernier, et la publication de la lettre d’Emmanuel Macron aux Français, dimanche soir, réaction au micro de Boulevard
Le sénateur (LR) Sébastien Meurant réagit au micro de Boulevard Voltaire après la publication de la lettre d’Emmanuel Macron aux Français. Emmanuel Macron s’est fendu
Notre Président abuse de la rhétorique, tente de reprendre la main, ouvre des portes qui conduisent à ses objectifs, en referme d’autres, notamment en matière fiscale.
La lettre d’Emmanuel Macron aux Français ? Autant de mots pour dire aussi peu de choses, c’est une forme d’exploit.
Vous êtes bien l’homme que l’ancien monde a imposé à la France en lui faisant le coup de la révolution…
C’est LE slogan que l’on entend dans toutes les manifestations, sur tous les tons et dans tous les niveaux de langue.
Le pouvoir fait durer le mouvement en soufflant sans cesse sur les braises d’une façon trop grossière pour ne pas être voulue.
Du point de vue de Salvini, qui voudrait voir se former un grand bloc de droite après les prochaines élections au Parlement européen, ces discussions s’inscrivent dans la suite logique de ses discussions avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán…
Une seule cérémonie, et pas devant n’importe qui : le 1er régiment du train parachutiste, à Cugnaux, près de Toulouse.
Il est bon de rappeler au Président et à ses acolytes qu’ils sont au service des Français mais que l’inverse n’est pas vrai.
Emmanuel Macron, champion malgré lui de l’Europe techno-libérale depuis l’annonce de la mise à la retraite prochaine d’Angela Merkel, se retrouve ainsi dans la position du repoussoir idéal pour tous les « lépreux » du Vieux Continent.
Imagine-t-on où nous en serions, aujourd’hui, si l’un des gendarmes, pour réagir au fameux boxeur, avait sorti son arme et l’avait utilisée.
Retour en arrière : en 2017, les startupers et les baby-boomers s’étaient coalisés pour élire une élite mondialisée, et ce, avec près de 26 % d’abstention au second tour de l’élection présidentielle…
Sachant que les trains qui arrivent à l’heure n’intéressent personne et que seuls ceux qui déraillent feront de l’audience, il faut le choc des images, toujours plus frappantes que le poids des mots.
Immigration, islamisme, ces mots que nos élites répugnent à prononcer, ces maux qu’elles ont longtemps reproché aux Français, soucieux de sauvegarder leur identité et leur culture, de dénoncer.
Combien de samedis ?
Il est déplorable que son secrétariat d’État ait été forcé et lui évacué dans l’après midi du 5 : ce n’était ni l’ancien ni le nouveau, mais de l’anti-République !
Alors que le mouvement des gilets jaunes semble repartir, après une courte « trêve des confiseurs », Boulevard Voltaire a interviewé Benjamin Cauchy, l’un des porte-parole historiques
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées