Emmanuel Macron
Le pays déboussolé cherchera une solution pour faire oublier les erreurs de ce trop jeune Président dont l’arrogance aura mis le feu.
Il n’est pas sûr que les discussions philosophiques à venir avec Christophe Castaner puissent suffire à combler le vide.
Un conseiller s’en va, l’autre pense à partir, mais celui-là intrigue pour rester…
Ce n’est pas la violence qui a forcé Macron à revoir sa copie, mais le soutien indéfectible de l’opinion.
Ah, qu’il est bon de s’enfoncer chaque jour davantage dans l’impopularité.
Jugée à ces nouvelles révélations, la thèse élyséenne de ces deux seuls textos « lunaires » paraît bien fragile.
La plupart des casseurs, les vrais, n’ont pas été inquiétés.
Espoir, enfin. Une prière, quasiment un exorcisme…
Guilllaume Bernard analyse les vœux du Président Macron, mais aussi les conséquences du mouvement des gilets jaunes sur toute la vie politique : « Aucune offre
S’il veut avoir une chance de retrouver quelque crédit, Emmanuel Macron doit dire toute la vérité sur cette affaire. Faute de quoi…
Le piège est en effet grossier.
Un rapide petit tour de France à travers la presse régionale semble bien nous indiquer qu’il n’y a pas eu le feu que sur les ronds-points, où les irréductibles gilets jaunes brûlaient des palettes pour se réchauffer.
On est resté sur notre faim, tant l’exercice de contrition a été à peine allusif, voire inexistant.
Et, il faut bien l’avouer, le chef de l’État avait l’air plutôt en forme : l’air marin de Brégançon, sans doute…
Des deux parties en présence, il y en forcément une qui ment.
À avoir méprisé et avoir trop confiance en lui, il a perdu celle des Français et gagné leur mépris. Et ça, c’est fatal.
Fin d’année extrêmement compliquée pour Emmanuel Macron. Analyse, au micro de Boulevard Voltaire, de Damien Lempereur, porte-parole de Debout la France. Après les gilets jaunes,
Après les dernières révélations sur l’affaire Benalla par le journal Mediapart, Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, donne son point de vue sur cette affaire qui
…le verbe n’avait pas su cacher l’échec.
Vous avez le pouvoir d’amnistie personnelle. Prenez ces mesures. Elles vous donneront un sursis. Et, surtout, elles vous grandiront. Mais en êtes-vous capable ?
voici que Jean-Michel Aphatie effectue un retournement de veste complet.
Certes, cette parodie d’exécution est de mauvais goût, mais évoquer de telles charges contre les responsables, n’est-ce pas dramatiser l’affaire plus qu’elle ne le mérite ?
Ils sont passés par ici, ils repasseront par là…
Notre jeune « génie » national, dont les retraités sont la cible privilégiée, est paradoxalement condamné à une sorte de retraite à l’Élysée.
Le bon sens a déserté le pays.
…le Président fixe l’objectif d’un air grave et solennel.
Le mouvement canaris a permis le retour de la parole, autour d’un barbecue, d’un godet ou d’une clope.
On se souvient des célèbres vœux de De Gaulle en 1967 : « Que sera 1968 ? L’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. »
Le pays déboussolé cherchera une solution pour faire oublier les erreurs de ce trop jeune Président dont l’arrogance aura mis le feu.
Il n’est pas sûr que les discussions philosophiques à venir avec Christophe Castaner puissent suffire à combler le vide.
Un conseiller s’en va, l’autre pense à partir, mais celui-là intrigue pour rester…
Ce n’est pas la violence qui a forcé Macron à revoir sa copie, mais le soutien indéfectible de l’opinion.
Ah, qu’il est bon de s’enfoncer chaque jour davantage dans l’impopularité.
Jugée à ces nouvelles révélations, la thèse élyséenne de ces deux seuls textos « lunaires » paraît bien fragile.
La plupart des casseurs, les vrais, n’ont pas été inquiétés.
Espoir, enfin. Une prière, quasiment un exorcisme…
Guilllaume Bernard analyse les vœux du Président Macron, mais aussi les conséquences du mouvement des gilets jaunes sur toute la vie politique : « Aucune offre
S’il veut avoir une chance de retrouver quelque crédit, Emmanuel Macron doit dire toute la vérité sur cette affaire. Faute de quoi…
Le piège est en effet grossier.
Un rapide petit tour de France à travers la presse régionale semble bien nous indiquer qu’il n’y a pas eu le feu que sur les ronds-points, où les irréductibles gilets jaunes brûlaient des palettes pour se réchauffer.
On est resté sur notre faim, tant l’exercice de contrition a été à peine allusif, voire inexistant.
Et, il faut bien l’avouer, le chef de l’État avait l’air plutôt en forme : l’air marin de Brégançon, sans doute…
Des deux parties en présence, il y en forcément une qui ment.
À avoir méprisé et avoir trop confiance en lui, il a perdu celle des Français et gagné leur mépris. Et ça, c’est fatal.
Fin d’année extrêmement compliquée pour Emmanuel Macron. Analyse, au micro de Boulevard Voltaire, de Damien Lempereur, porte-parole de Debout la France. Après les gilets jaunes,
Après les dernières révélations sur l’affaire Benalla par le journal Mediapart, Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, donne son point de vue sur cette affaire qui
…le verbe n’avait pas su cacher l’échec.
Vous avez le pouvoir d’amnistie personnelle. Prenez ces mesures. Elles vous donneront un sursis. Et, surtout, elles vous grandiront. Mais en êtes-vous capable ?
voici que Jean-Michel Aphatie effectue un retournement de veste complet.
Certes, cette parodie d’exécution est de mauvais goût, mais évoquer de telles charges contre les responsables, n’est-ce pas dramatiser l’affaire plus qu’elle ne le mérite ?
Ils sont passés par ici, ils repasseront par là…
Notre jeune « génie » national, dont les retraités sont la cible privilégiée, est paradoxalement condamné à une sorte de retraite à l’Élysée.
Le bon sens a déserté le pays.
…le Président fixe l’objectif d’un air grave et solennel.
Le mouvement canaris a permis le retour de la parole, autour d’un barbecue, d’un godet ou d’une clope.
On se souvient des célèbres vœux de De Gaulle en 1967 : « Que sera 1968 ? L’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. »
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