Emmanuel Macron
Dieu merci, le bon sens reste une vertu de la France périphérique des ronds-points.
Macron s’est bien gardé de rappeler que le gouvernement ferait financer toutes ces mesures par les contribuables en puisant, une fois de plus, dans les poches des Français.
En d’autres temps, on aurait dit que « le compte n’y est pas ».
La question migratoire et celle, identitaire, qui en découle de fait sont vite évacuées.
Mais qu’il réprime ses envies de jouer de nouveau un rôle politique !
On est chez Racine : les issues sont fermées et les personnages ne peuvent que mourir à la fin.
Il ne serait pas étonnant que les gilets jaunes n’aboutissent à rien… pour l’instant.
Il n’est, en effet, pas possible de tenir un pays à coups d’opérations de maintien de l’ordre répétées.
Les citoyens attendent son retour prévu en début de semaine avec impatience, sinon curiosité.
Il devrait commencer par reconnaître ses fautes et prendre publiquement la ferme résolution de ne plus offenser le peuple français.
L’aspect le plus surprenant de cette mort est sa dimension suicidaire…
Emmanuel Macron, qui devrait prendre la parole lundi ou mardi (ou peut-être avant ?), ferait bien de méditer ces propos.
Mercredi à 15 heures, Benjamin Griveaux lance un « au revoir à touteszetàtous » soulagé, après son compte rendu hebdomadaire du Conseil des ministres, exercice périlleux en ces jours de révolte populaire.
Pendant que les Français se battent pour leur pouvoir d’achat, ils ne regardent pas vers Marrakech. Au-delà du pouvoir d’achat, il faut aussi maintenir le pouvoir d’être !
Emmanuel Macron semble être désormais contraint de se bunkériser dans le palais de l’Élysée…
Quelle image va, à nouveau, donner notre pays de lui-même au reste du monde ?
On a le droit de ne pas aimer ce Président, mais se glorifier de prétendre le chasser en dehors des chemins démocratiques est une honte.
Comediante ! Tragediante !
Le président de la République sait qu’un danger de débordements représente, en réalité, une occasion unique, pour lui, d’apparaître dans quelques jours comme le garant de l’ordre.
Celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin…
L’acte IV des manifestations de gilets jaunes, le 8 décembre, doit donc impérativement cibler le funeste projet de Marrakech…
Les sondages de popularité parlent d’eux-mêmes : malgré la curée médiatique, l’un continue à tutoyer des sommets. Malgré le soutien médiatique, l’autre n’en finit plus de sombrer.
La seule question qui se pose, aujourd’hui, est celle de la durée d’un régime discrédité aux yeux du monde entier…
Pas certain, cependant, que cela ne suffise à éteindre l’incendie allumé par Emmanuel Macron…
Ne pas être accablé d’impôts et de taxes pour pouvoir se loger, se chauffer, se nourrir correctement, se déplacer ne ressemble pas à un caprice d’enfant.
Le général de Villiers bénéficie d’une autre stature qu’Édouard Philippe pour incarner la fonction de Premier ministre de la France.
On en conclura donc qu’il existe de « bonnes » et de « mauvaises » insurrections…
Macron et ses affidés, ce sont des amateurs, pas des professionnels…
Dieu merci, le bon sens reste une vertu de la France périphérique des ronds-points.
Macron s’est bien gardé de rappeler que le gouvernement ferait financer toutes ces mesures par les contribuables en puisant, une fois de plus, dans les poches des Français.
En d’autres temps, on aurait dit que « le compte n’y est pas ».
La question migratoire et celle, identitaire, qui en découle de fait sont vite évacuées.
Mais qu’il réprime ses envies de jouer de nouveau un rôle politique !
On est chez Racine : les issues sont fermées et les personnages ne peuvent que mourir à la fin.
Il ne serait pas étonnant que les gilets jaunes n’aboutissent à rien… pour l’instant.
Il n’est, en effet, pas possible de tenir un pays à coups d’opérations de maintien de l’ordre répétées.
Les citoyens attendent son retour prévu en début de semaine avec impatience, sinon curiosité.
Il devrait commencer par reconnaître ses fautes et prendre publiquement la ferme résolution de ne plus offenser le peuple français.
L’aspect le plus surprenant de cette mort est sa dimension suicidaire…
Emmanuel Macron, qui devrait prendre la parole lundi ou mardi (ou peut-être avant ?), ferait bien de méditer ces propos.
Mercredi à 15 heures, Benjamin Griveaux lance un « au revoir à touteszetàtous » soulagé, après son compte rendu hebdomadaire du Conseil des ministres, exercice périlleux en ces jours de révolte populaire.
Pendant que les Français se battent pour leur pouvoir d’achat, ils ne regardent pas vers Marrakech. Au-delà du pouvoir d’achat, il faut aussi maintenir le pouvoir d’être !
Emmanuel Macron semble être désormais contraint de se bunkériser dans le palais de l’Élysée…
Quelle image va, à nouveau, donner notre pays de lui-même au reste du monde ?
On a le droit de ne pas aimer ce Président, mais se glorifier de prétendre le chasser en dehors des chemins démocratiques est une honte.
Comediante ! Tragediante !
Le président de la République sait qu’un danger de débordements représente, en réalité, une occasion unique, pour lui, d’apparaître dans quelques jours comme le garant de l’ordre.
Celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin…
L’acte IV des manifestations de gilets jaunes, le 8 décembre, doit donc impérativement cibler le funeste projet de Marrakech…
Les sondages de popularité parlent d’eux-mêmes : malgré la curée médiatique, l’un continue à tutoyer des sommets. Malgré le soutien médiatique, l’autre n’en finit plus de sombrer.
La seule question qui se pose, aujourd’hui, est celle de la durée d’un régime discrédité aux yeux du monde entier…
Pas certain, cependant, que cela ne suffise à éteindre l’incendie allumé par Emmanuel Macron…
Ne pas être accablé d’impôts et de taxes pour pouvoir se loger, se chauffer, se nourrir correctement, se déplacer ne ressemble pas à un caprice d’enfant.
Le général de Villiers bénéficie d’une autre stature qu’Édouard Philippe pour incarner la fonction de Premier ministre de la France.
On en conclura donc qu’il existe de « bonnes » et de « mauvaises » insurrections…
Macron et ses affidés, ce sont des amateurs, pas des professionnels…
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