Emmanuel Macron
Ni les députés, ni des élus locaux suffisamment puissants, ni même les sénateurs dont le pouvoir est limité, ni le référendum dont l’initiative n’est pas populaire ne peuvent compenser le déséquilibre de nos institutions.
Macron agite la chimère du chaos pour imposer l’idée de l’Union européenne. C’est son credo, l’alpha et l’oméga de sa conviction politique qu’il annonce sempiternellement.
Macron cristallise la rancœur parce qu’il est trop jeune, trop diplômé, trop belle gueule, trop sûr d’être dans le vrai.
À l’occasion de son dernier ouvrage Paris Napoléon(s) : Guide du Paris des deux empereurs, l’historien Dimitri Casali répond aux questions de Boulevard Voltaire devant
Et un Emmanuel Macron qui, à la façon d’un Jacques Brel, tente de « faire rejaillir le feu de l’ancien volcan »…
Et de s’accrocher à ce mot comme à une bouée de sauvetage !
En fait, Emmanuel Macron n’est plus que le Président des macronistes du premier tour de la présidentielle…
Ce sont bien les oubliés qui se rappellent à lui subitement et en nombre malgré les avertissements désintéressés, bien sûr, de la presse bien-pensante…
Il y a deux jours, Emmanuel Macron reconnaissait son échec à réconcilier le peuple et ses dirigeants. Le peuple a confirmé.
S’engager à rendre compte de ses engagements, ça n’engage à rien !
Ce mouvement fera date car il a permis au peuple de prendre conscience de sa force d’action – et de blocage – et de réflexion.
Le but : faire baisser la fièvre jaune des gilets qui monte, qui monte…
Le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables.
Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.
Ce mardi dernier, Daniel Cohn-Bendit venait au secours du gouvernement…
Je résume avec un « débrief » concis pour ne pas abuser de la patience des lecteurs, à l’inverse de la prestation du Président.
Une armée européenne pour protéger Ankara contre Moscou, peut-être ? Il fallait y penser.
Un floutage du sens des mots et une logorrhée qui remplace peu à peu tout discours dialectique construit…
Donald Trump, spécialiste de la réponse du berger à la bergère (du « counterpunch », comme il dit), ne manque jamais de faire monter les enchères, ne laissant jamais aucun affront impuni.
Aujourd’hui, c’est le « en même temps » macronien, mais c’est toujours la recherche du feu qui mouille ou de l’eau qui brûle.
Le grand public n’oubliera pas facilement cette légèreté, lui qui garde un souvenir héroïque des victimes de la Grande Guerre. Cela pèsera sur l’image de la France en Serbie pour les années à venir.
Une guerre des valeurs avant d’être celle des territoires. Une guerre de tranchées.
Pour les plus anciens, on connaissait les beaux lolos de Gina Lollobrigida, mais le bololo ?
Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.
En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !
Le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée.
La marche dans les sables mouvants de la subjectivité s’annonce rude.
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à
Ni les députés, ni des élus locaux suffisamment puissants, ni même les sénateurs dont le pouvoir est limité, ni le référendum dont l’initiative n’est pas populaire ne peuvent compenser le déséquilibre de nos institutions.
Macron agite la chimère du chaos pour imposer l’idée de l’Union européenne. C’est son credo, l’alpha et l’oméga de sa conviction politique qu’il annonce sempiternellement.
Macron cristallise la rancœur parce qu’il est trop jeune, trop diplômé, trop belle gueule, trop sûr d’être dans le vrai.
À l’occasion de son dernier ouvrage Paris Napoléon(s) : Guide du Paris des deux empereurs, l’historien Dimitri Casali répond aux questions de Boulevard Voltaire devant
Et un Emmanuel Macron qui, à la façon d’un Jacques Brel, tente de « faire rejaillir le feu de l’ancien volcan »…
Et de s’accrocher à ce mot comme à une bouée de sauvetage !
En fait, Emmanuel Macron n’est plus que le Président des macronistes du premier tour de la présidentielle…
Ce sont bien les oubliés qui se rappellent à lui subitement et en nombre malgré les avertissements désintéressés, bien sûr, de la presse bien-pensante…
Il y a deux jours, Emmanuel Macron reconnaissait son échec à réconcilier le peuple et ses dirigeants. Le peuple a confirmé.
S’engager à rendre compte de ses engagements, ça n’engage à rien !
Ce mouvement fera date car il a permis au peuple de prendre conscience de sa force d’action – et de blocage – et de réflexion.
Le but : faire baisser la fièvre jaune des gilets qui monte, qui monte…
Le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables.
Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.
Ce mardi dernier, Daniel Cohn-Bendit venait au secours du gouvernement…
Je résume avec un « débrief » concis pour ne pas abuser de la patience des lecteurs, à l’inverse de la prestation du Président.
Une armée européenne pour protéger Ankara contre Moscou, peut-être ? Il fallait y penser.
Un floutage du sens des mots et une logorrhée qui remplace peu à peu tout discours dialectique construit…
Donald Trump, spécialiste de la réponse du berger à la bergère (du « counterpunch », comme il dit), ne manque jamais de faire monter les enchères, ne laissant jamais aucun affront impuni.
Aujourd’hui, c’est le « en même temps » macronien, mais c’est toujours la recherche du feu qui mouille ou de l’eau qui brûle.
Le grand public n’oubliera pas facilement cette légèreté, lui qui garde un souvenir héroïque des victimes de la Grande Guerre. Cela pèsera sur l’image de la France en Serbie pour les années à venir.
Une guerre des valeurs avant d’être celle des territoires. Une guerre de tranchées.
Pour les plus anciens, on connaissait les beaux lolos de Gina Lollobrigida, mais le bololo ?
Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.
En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !
Le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée.
La marche dans les sables mouvants de la subjectivité s’annonce rude.
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à
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