Emmanuel Macron
Qui, de nos grands-pères, était patriote ou nationaliste ? Au moment où il fallait monter à l’assaut derrière le drapeau, tout le monde s’en fichait bien.
Une fuite en avant à rebours de l’Histoire au moment où les peuples européens veulent, au contraire, recouvrer leur souveraineté confisquée…
Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?
Grognon il était, grognon il resterait.
Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…
D’où vient la tradition du ravivage de la flamme, quelle fut la plus terrible erreur de Clemenceau, pourquoi « itinérance » est tout sauf le mot d’un
Faut-il s’attendre à voir arriver le Président sur les barrages routiers ?
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
Ces autoproclamés « progressistes », dont M. Macron se veut le héraut, qui lisent le présent et l’avenir avec la grille des années 30 se fourvoient et nous trompent.
Vous, je ne sais pas, mais moi, je ne comprends absolument rien aux discours du Président…
Leur nombre explose : ils étaient officiellement 13.000 en 2016, 25.000 en 2017 et 40.000 en 2018.
Avec son béret rouge, ses gants blancs et son drapeau tricolore, cet homme a le visage du mal.
Il aurait voulu insinuer dans les esprits que le christianisme, notamment le catholicisme, est responsable de l’antisémitisme qu’il ne s’y serait pas pris autrement.
En attendant ce nouveau numéro de com’ tendancieuse, il me semble que se profilent, depuis déjà quelque temps, des menaces de guerre civile bien française que le Président-qui-voit-tout-en-Europe ne voit pas.
Notons que le Président n’a pas répondu à la question…
Pourquoi ouvrir la polémique ? Jupiter seul le sait.
Emmanuel Macron est vraiment dans son rôle, toute cette semaine : celui du collecteur de mémoires et du transmetteur, du pédagogue du roman national.
Des résistants en peau de lapin sortent de leur tranchée moquettée et hurlent aux pires heures de notre histoire…
Emmanuel Macron mise sur l’essoufflement du mouvement. Sur la base de ce pari, il pense pouvoir négliger sa communication.
M. Macron a promis du vent et son gouvernement est à son image…
Face à cette montée du ras-le-bol, l’État s’agite et cela se ressent à travers trois faits marquants…
Puisse la raison l’emporter sur votre suffisance.
Dans quelle cervelle a bien pu germer le concept ?
Le syndicat de police VIGI appelle à manifester le 17 novembre. Son Secrétaire général Alexandre Langlois s’en explique. Il réagit, par ailleurs, à l’annonce, dans
…et lui remémorer ses promesses de campagne.
Force est de constater que l’Union européenne s’est constituée sur la haine des nations, voire du judéo-christianisme.
Il faut croire que Benjamin Griveaux est particulièrement sensible aux reproches du Monsieur Propre de la majorité…
Le monde combattant n’aura donc pas été entendu. Quoi d’étonnant ?
Qui, de nos grands-pères, était patriote ou nationaliste ? Au moment où il fallait monter à l’assaut derrière le drapeau, tout le monde s’en fichait bien.
Une fuite en avant à rebours de l’Histoire au moment où les peuples européens veulent, au contraire, recouvrer leur souveraineté confisquée…
Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?
Grognon il était, grognon il resterait.
Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…
D’où vient la tradition du ravivage de la flamme, quelle fut la plus terrible erreur de Clemenceau, pourquoi « itinérance » est tout sauf le mot d’un
Faut-il s’attendre à voir arriver le Président sur les barrages routiers ?
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
Ces autoproclamés « progressistes », dont M. Macron se veut le héraut, qui lisent le présent et l’avenir avec la grille des années 30 se fourvoient et nous trompent.
Vous, je ne sais pas, mais moi, je ne comprends absolument rien aux discours du Président…
Leur nombre explose : ils étaient officiellement 13.000 en 2016, 25.000 en 2017 et 40.000 en 2018.
Avec son béret rouge, ses gants blancs et son drapeau tricolore, cet homme a le visage du mal.
Il aurait voulu insinuer dans les esprits que le christianisme, notamment le catholicisme, est responsable de l’antisémitisme qu’il ne s’y serait pas pris autrement.
En attendant ce nouveau numéro de com’ tendancieuse, il me semble que se profilent, depuis déjà quelque temps, des menaces de guerre civile bien française que le Président-qui-voit-tout-en-Europe ne voit pas.
Notons que le Président n’a pas répondu à la question…
Pourquoi ouvrir la polémique ? Jupiter seul le sait.
Emmanuel Macron est vraiment dans son rôle, toute cette semaine : celui du collecteur de mémoires et du transmetteur, du pédagogue du roman national.
Des résistants en peau de lapin sortent de leur tranchée moquettée et hurlent aux pires heures de notre histoire…
Emmanuel Macron mise sur l’essoufflement du mouvement. Sur la base de ce pari, il pense pouvoir négliger sa communication.
M. Macron a promis du vent et son gouvernement est à son image…
Face à cette montée du ras-le-bol, l’État s’agite et cela se ressent à travers trois faits marquants…
Puisse la raison l’emporter sur votre suffisance.
Dans quelle cervelle a bien pu germer le concept ?
Le syndicat de police VIGI appelle à manifester le 17 novembre. Son Secrétaire général Alexandre Langlois s’en explique. Il réagit, par ailleurs, à l’annonce, dans
…et lui remémorer ses promesses de campagne.
Force est de constater que l’Union européenne s’est constituée sur la haine des nations, voire du judéo-christianisme.
Il faut croire que Benjamin Griveaux est particulièrement sensible aux reproches du Monsieur Propre de la majorité…
Le monde combattant n’aura donc pas été entendu. Quoi d’étonnant ?
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées