Emmanuel Macron
L’avenir de l’Europe et de la France est entre leurs mains.
Sur les déclarations de Manu l’extra-lucide, on ne peut que déplorer une fois encore l’argent public gaspillé à produire des énarques qui parlent avec assurance de choses dont ils ignorent tout.
Pourtant, il se trouve toujours, au plus haut niveau de l’État, des « responsables » pour continuer de parler de « blague »…
Les propos récents qu’il a tenus, comparant la situation mondiale à celle de l’entre-deux-guerres, sont au minimum irresponsables…
Ce genre de parallélisme déplacé, anachronique, où l’on se donne le beau rôle et le privilège de donner le mauvais à qui on veut, peut aussi vous revenir en boomerang. Tôt ou tard.
Cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…
À Verdun, le jeu de tabou consistera probablement à ne pas prononcer le nom de ce maréchal de France qui défila sur un cheval blanc le 14 juillet 1919 sous l’Arc de Triomphe.
Et voilà, nous y sommes : les années 30, le fascisme à l’horizon et puis la guerre, les tickets de rationnement, l’occupation…
Emmanuel Macron instrumentalise l’Histoire à des fins purement politiciennes…
La France a, à sa tête, le Président le plus giscardien et le plus béatement europhile en la personne d’Emmanuel Macron.
Mais n’en fait-il pas un peu trop ?
Et alors que la campagne est encore loin de nous, ils y sont déjà entrés tête baissée, sentant sans doute que les choses n’étaient pas gagnées…
Pour reprendre la main, Jupiter utilise une méthode vieille comme le monde : porter le combat sur la scène internationale pour faire oublier le tumulte intérieur !
On oublie l’histoire particulière de ces nations si longtemps opprimées sous le joug communiste et qui probablement en ont acquis aujourd’hui une conception plus stricte et exigeante de leur identité.
À Verdun, nous avons eu droit à une espèce de parodie. Les soldats morts à Verdun ne méritaient pas cela.
Il va falloir aller chercher les voix à la fourchette à escargot ! Y compris dans les prisons.
Non, Monsieur le Président, la France n’a pas à rougir de sa victoire face à la réconciliation européenne.
Les voyages de Macron semblent le plonger dans une étrange exaltation…
Macron fossoyeur des nations au profit d’une Europe mondialiste et de plus en plus islamisée …
…cette élite, satisfaite d’elle-même, sûre de détenir la vérité, méprisante pour le menu peuple.
M. Mélenchon fait de la politique. Qui pourrait le lui reprocher ?
Comment un « chef des armées », qui a évité le service militaire, insulté la présence française en Algérie et salué la mémoire d’un traître, peut-il avoir le culot de minimiser le rôle et les sacrifices des poilus et de leurs chefs…
Quoi qu’il fasse, tout lui revient en pleine face.
Sous Hollande, on piétinait les tombes des poilus. Sous Macron, on piétine la mémoire.
Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite.
Maintenant, on n’honore l’armée que quand on a besoin d’elle, comme d’un dépanneur en cas de panne.
Aussitôt atteint une marche, il faut viser la suivante.
Cette fluidité est la marque de fabrique du macronisme : Macron n’est, en fait, qu’une jeune pousse des cabinets ministériels socialistes aux abois.
L’avenir de l’Europe et de la France est entre leurs mains.
Sur les déclarations de Manu l’extra-lucide, on ne peut que déplorer une fois encore l’argent public gaspillé à produire des énarques qui parlent avec assurance de choses dont ils ignorent tout.
Pourtant, il se trouve toujours, au plus haut niveau de l’État, des « responsables » pour continuer de parler de « blague »…
Les propos récents qu’il a tenus, comparant la situation mondiale à celle de l’entre-deux-guerres, sont au minimum irresponsables…
Ce genre de parallélisme déplacé, anachronique, où l’on se donne le beau rôle et le privilège de donner le mauvais à qui on veut, peut aussi vous revenir en boomerang. Tôt ou tard.
Cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…
À Verdun, le jeu de tabou consistera probablement à ne pas prononcer le nom de ce maréchal de France qui défila sur un cheval blanc le 14 juillet 1919 sous l’Arc de Triomphe.
Et voilà, nous y sommes : les années 30, le fascisme à l’horizon et puis la guerre, les tickets de rationnement, l’occupation…
Emmanuel Macron instrumentalise l’Histoire à des fins purement politiciennes…
La France a, à sa tête, le Président le plus giscardien et le plus béatement europhile en la personne d’Emmanuel Macron.
Mais n’en fait-il pas un peu trop ?
Et alors que la campagne est encore loin de nous, ils y sont déjà entrés tête baissée, sentant sans doute que les choses n’étaient pas gagnées…
Pour reprendre la main, Jupiter utilise une méthode vieille comme le monde : porter le combat sur la scène internationale pour faire oublier le tumulte intérieur !
On oublie l’histoire particulière de ces nations si longtemps opprimées sous le joug communiste et qui probablement en ont acquis aujourd’hui une conception plus stricte et exigeante de leur identité.
À Verdun, nous avons eu droit à une espèce de parodie. Les soldats morts à Verdun ne méritaient pas cela.
Il va falloir aller chercher les voix à la fourchette à escargot ! Y compris dans les prisons.
Non, Monsieur le Président, la France n’a pas à rougir de sa victoire face à la réconciliation européenne.
Les voyages de Macron semblent le plonger dans une étrange exaltation…
Macron fossoyeur des nations au profit d’une Europe mondialiste et de plus en plus islamisée …
…cette élite, satisfaite d’elle-même, sûre de détenir la vérité, méprisante pour le menu peuple.
M. Mélenchon fait de la politique. Qui pourrait le lui reprocher ?
Comment un « chef des armées », qui a évité le service militaire, insulté la présence française en Algérie et salué la mémoire d’un traître, peut-il avoir le culot de minimiser le rôle et les sacrifices des poilus et de leurs chefs…
Quoi qu’il fasse, tout lui revient en pleine face.
Sous Hollande, on piétinait les tombes des poilus. Sous Macron, on piétine la mémoire.
Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite.
Maintenant, on n’honore l’armée que quand on a besoin d’elle, comme d’un dépanneur en cas de panne.
Aussitôt atteint une marche, il faut viser la suivante.
Cette fluidité est la marque de fabrique du macronisme : Macron n’est, en fait, qu’une jeune pousse des cabinets ministériels socialistes aux abois.
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