Emmanuel Macron
Dans un orchestre de cuivres, Emmanuel Macron joue du triangle.
Il parlait de nouveau monde, etc. Il n’en fallait pas plus pour que les Français de l’époque de Kennedy ne se rejouent un petit remake.
L’amateurisme de l’équipe entourant le Président se trouve confirmé par l’ex-pitbull à son pépère… qui ajoute : « Il s’est fait avoir comme un lapin de six semaines. »
Comme les boulettes de pétrole qui viennent se répandre sur les plages du Var, les bourdes présidentielles s’accumulent sur les rives du pouvoir.
Emmanuel Macron a déclaré avec doigté qu’il « aimait chaque enfant de la République quelles que soient ses bêtises ». L’amour ne doit pas suffire pour stopper la délinquance.
Bref, celui qui entendait rétablir la verticalité du pouvoir a parlé. Pour ne rien dire, une fois de plus.
Dire que l’on raille la goujaterie machiste de leur propre président…
Le Petit Prince était triste. Il n’avait pas la pêche. La position sur le fauteuil, sans doute : inconfortable. L’éclairage : trop bas. Le drapeau : trop haut.
Quant à Emmanuel Macron, qui attend une discussion avec MBS « dans les prochains jours », il ne paraît pas pressé « que la vérité et la clarté soient établies ».
Exit les « sociétés civiles » et autres facéties du Nouveau Monde…
Castaner, le Poniatowski de Macron ? N’exagérons pas !
Considérer que le français est devenu un simple langage universel dont l’incarnation géographique pourrait tout aussi bien se situer dans le bassin du Congo apparaît mortifère pour notre civilisation.
Plus un homme politique de droite se rapproche de l’orée du grand territoire sylvestre dans lequel se sont réfugiés les plus sages des druides de notre civilisation, plus il est taxé de populisme…
Notre vénéré Président est allé prendre un bain de foule dans l’ancienne halle Freyssinet reconvertie en Station (prononcer stéïcheune) F.
Le sujet n’est pas anodin : la langue de Molière, c’est notre Commonwealth à nous.
Elle sait d’où vient le souffle dominant et, surtout, jusqu’où il peut la porter.
Alors, il n’est pas impossible que not’ Président se dise qu’une vacance prolongée de quelques ministres, voire du gouvernement tout entier, ça ferait remonter sa cote, qui sait ?
Mais, en attendant, dormez en paix, braves gens, Édouard Philippe patrouille.
Ils montrent surtout l’exemple d’une alliance qui se dessine et se réalisera, à coup sûr, au Parlement européen.
On croyait le temps des lettres passé.
Quelles qu’en soient les raisons, en désertant le combat qui était le sien, Gérard Collomb a ainsi démontré le manque de courage d’un gouvernement, dont la sécurité n’a manifestement jamais été la priorité.
Visiblement, dans le parti du Président, certains veulent eux aussi leur label « gauche-Aquarius ».
Emmanuel Macron est le chef. Et il aime le faire sentir. Même si, derrière lui, une certaine cheftaine tente de le remettre sur le chemin de la tempérance.
Emmanuel Macron n’a pu s’empêcher d’y glisser un message politique…
Et il ne se gêne même pas !
Son mépris glaçant n’avait rien de commun avec la distance imposée par un véritable chef d’État.
« Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s’apparente à une crise politique », a déclaré, mercredi, sans rire, Benjamin Griveaux
Il a précédemment adopté sans tambour ni trompette la croix de Lorraine sur son blason présidentiel. Comme s’il était adoubé par le grand homme…
Dans un orchestre de cuivres, Emmanuel Macron joue du triangle.
Il parlait de nouveau monde, etc. Il n’en fallait pas plus pour que les Français de l’époque de Kennedy ne se rejouent un petit remake.
L’amateurisme de l’équipe entourant le Président se trouve confirmé par l’ex-pitbull à son pépère… qui ajoute : « Il s’est fait avoir comme un lapin de six semaines. »
Comme les boulettes de pétrole qui viennent se répandre sur les plages du Var, les bourdes présidentielles s’accumulent sur les rives du pouvoir.
Emmanuel Macron a déclaré avec doigté qu’il « aimait chaque enfant de la République quelles que soient ses bêtises ». L’amour ne doit pas suffire pour stopper la délinquance.
Bref, celui qui entendait rétablir la verticalité du pouvoir a parlé. Pour ne rien dire, une fois de plus.
Dire que l’on raille la goujaterie machiste de leur propre président…
Le Petit Prince était triste. Il n’avait pas la pêche. La position sur le fauteuil, sans doute : inconfortable. L’éclairage : trop bas. Le drapeau : trop haut.
Quant à Emmanuel Macron, qui attend une discussion avec MBS « dans les prochains jours », il ne paraît pas pressé « que la vérité et la clarté soient établies ».
Exit les « sociétés civiles » et autres facéties du Nouveau Monde…
Castaner, le Poniatowski de Macron ? N’exagérons pas !
Considérer que le français est devenu un simple langage universel dont l’incarnation géographique pourrait tout aussi bien se situer dans le bassin du Congo apparaît mortifère pour notre civilisation.
Plus un homme politique de droite se rapproche de l’orée du grand territoire sylvestre dans lequel se sont réfugiés les plus sages des druides de notre civilisation, plus il est taxé de populisme…
Notre vénéré Président est allé prendre un bain de foule dans l’ancienne halle Freyssinet reconvertie en Station (prononcer stéïcheune) F.
Le sujet n’est pas anodin : la langue de Molière, c’est notre Commonwealth à nous.
Elle sait d’où vient le souffle dominant et, surtout, jusqu’où il peut la porter.
Alors, il n’est pas impossible que not’ Président se dise qu’une vacance prolongée de quelques ministres, voire du gouvernement tout entier, ça ferait remonter sa cote, qui sait ?
Mais, en attendant, dormez en paix, braves gens, Édouard Philippe patrouille.
Ils montrent surtout l’exemple d’une alliance qui se dessine et se réalisera, à coup sûr, au Parlement européen.
On croyait le temps des lettres passé.
Quelles qu’en soient les raisons, en désertant le combat qui était le sien, Gérard Collomb a ainsi démontré le manque de courage d’un gouvernement, dont la sécurité n’a manifestement jamais été la priorité.
Visiblement, dans le parti du Président, certains veulent eux aussi leur label « gauche-Aquarius ».
Emmanuel Macron est le chef. Et il aime le faire sentir. Même si, derrière lui, une certaine cheftaine tente de le remettre sur le chemin de la tempérance.
Emmanuel Macron n’a pu s’empêcher d’y glisser un message politique…
Et il ne se gêne même pas !
Son mépris glaçant n’avait rien de commun avec la distance imposée par un véritable chef d’État.
« Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s’apparente à une crise politique », a déclaré, mercredi, sans rire, Benjamin Griveaux
Il a précédemment adopté sans tambour ni trompette la croix de Lorraine sur son blason présidentiel. Comme s’il était adoubé par le grand homme…
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées