Emmanuel Macron
Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Yann Moix présente la particularité d’exploser les compteurs de l’idéologie Bisounours.
Accablants, ces allers-retours entre l’énorme entreprise des cousins et un membre des plus hautes instances politiques de l’État.
Si l’on résume, Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan voudraient s’unir, mais tout en faisant chambre à part.
Eric Piolle utilise sa fonction de premier magistrat d’une grande ville pour servir l’idéologie immigrationniste.
Un coup de com’ voyant au service d’une idéologie, indigne de qui prétend être « en même temps » le président (intelligent) de tous les Français.
Le plus décevant pour un authentique patriote, ce ne sont pas tant les coups portés par l’adversaire que les errances de son propre camp.
Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.
Édouard Philippe (qui ne fait qu’appliquer la volonté d’Emmanuel Macron) préfère passer en force. On n’a plus qu’à se taire.
Les conversations avec son hôte russe avaient dû être rudes qui lui ont fait sourdre un zeste d’adrénaline dont la journaliste a fait les frais.
Sous la monarchie, tout sujet pouvait en principe accéder au roi. Il suffisait de se présenter chapeauté, l’épée au côté.
L’exercice s’annonce à hauts risques.
L’immigration et l’insécurité sont les questions prioritaires pour de nombreux Français mais les cabinets dont notre Président est issu refusent de les voir.
La vérité est qu’Emmanuel Macron est sans doute le seul Président de droite que l’on ait eu depuis François Mitterrand.
La croissance camoufle ces mauvais résultats.
Pour qu’ils viennent peut-être poursuivre la fête chez nous et souffler d’autres bougies ?
Alors, qu’au moins nos dirigeants osent ce qu’ont osé les révolutionnaires dont ils se réclament.
Il ne reste plus à M. Macron qu’à passer aux actes.
Pas de face à face. Ils défilent d’un après l’autre, comme dans un entretien d’embauche…
M. Macron a été, jusque-là, un homme chanceux. Or, notre moteur économique se grippe quelque peu.
Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
Macron a-t-il pensé que le grand empereur était quand même le petit-fils de Charles Martel ?
Il manque deux détails à ce beau roman gaullien : soumettre ce projet à référendum et mettre sa démission dans la balance.
Un joli prix de consolation qui vient à point nommé après les mauvaises notes – pour ne pas dire le bonnet d’âne – obtenues sur la scène internationale…
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Le sacrifice du Colonel Beltrame, tel que le définit le président, nous enseigne une vision épique et héroïque de la France, plus authentique que toutes les chicayas partisanes.
Au fait, qui sont donc ces « gauchos » ?
Les conflits du monde d’avant sont très utiles au nouveau monde selon Macron.
Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Yann Moix présente la particularité d’exploser les compteurs de l’idéologie Bisounours.
Accablants, ces allers-retours entre l’énorme entreprise des cousins et un membre des plus hautes instances politiques de l’État.
Si l’on résume, Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan voudraient s’unir, mais tout en faisant chambre à part.
Eric Piolle utilise sa fonction de premier magistrat d’une grande ville pour servir l’idéologie immigrationniste.
Un coup de com’ voyant au service d’une idéologie, indigne de qui prétend être « en même temps » le président (intelligent) de tous les Français.
Le plus décevant pour un authentique patriote, ce ne sont pas tant les coups portés par l’adversaire que les errances de son propre camp.
Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.
Édouard Philippe (qui ne fait qu’appliquer la volonté d’Emmanuel Macron) préfère passer en force. On n’a plus qu’à se taire.
Les conversations avec son hôte russe avaient dû être rudes qui lui ont fait sourdre un zeste d’adrénaline dont la journaliste a fait les frais.
Sous la monarchie, tout sujet pouvait en principe accéder au roi. Il suffisait de se présenter chapeauté, l’épée au côté.
L’exercice s’annonce à hauts risques.
L’immigration et l’insécurité sont les questions prioritaires pour de nombreux Français mais les cabinets dont notre Président est issu refusent de les voir.
La vérité est qu’Emmanuel Macron est sans doute le seul Président de droite que l’on ait eu depuis François Mitterrand.
La croissance camoufle ces mauvais résultats.
Pour qu’ils viennent peut-être poursuivre la fête chez nous et souffler d’autres bougies ?
Alors, qu’au moins nos dirigeants osent ce qu’ont osé les révolutionnaires dont ils se réclament.
Il ne reste plus à M. Macron qu’à passer aux actes.
Pas de face à face. Ils défilent d’un après l’autre, comme dans un entretien d’embauche…
M. Macron a été, jusque-là, un homme chanceux. Or, notre moteur économique se grippe quelque peu.
Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
Macron a-t-il pensé que le grand empereur était quand même le petit-fils de Charles Martel ?
Il manque deux détails à ce beau roman gaullien : soumettre ce projet à référendum et mettre sa démission dans la balance.
Un joli prix de consolation qui vient à point nommé après les mauvaises notes – pour ne pas dire le bonnet d’âne – obtenues sur la scène internationale…
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Le sacrifice du Colonel Beltrame, tel que le définit le président, nous enseigne une vision épique et héroïque de la France, plus authentique que toutes les chicayas partisanes.
Au fait, qui sont donc ces « gauchos » ?
Les conflits du monde d’avant sont très utiles au nouveau monde selon Macron.
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